Mon Motard [Ennemy To Lover]

𝑪​𝒉​𝒂​𝒑​𝒊​𝒕​𝒓​𝒆​ ​𝑿​𝑿​𝑽​𝑰​𝑰​

Notre lycée avait fermé pour un certain temps, pur la sécurité des élèves.
J'étais actuellement chez moi et je passais mes journées à regarder la télé.

Depuis le jour de l'incident, je n'ai plus revu Lorenzo. Et je ne le reverrai plus jamais j'imagine.

En ce moment, à la télé, une mafia avait apparue et elle commettait plusieurs enlèvements. Cela m'effraie alors je ne sors pratiquement jamais, appart pour faire des courses urgentes.

Et aujourd'hui, je dois les faire. Je prépara mes sacs de courses et j'y alla à pied.
Puisque il y a cette mafia qui commet beaucoup d'enlèvement, les policiers couvrent plusieurs rues.

Je pouvais donc marcher tranquillement sans rien craindre. Enfin, c'est ce que je pensais avant que un policier me plaqua brutalement contre le sol.

-Mlle Moretti Éléna, est-ce vous ? Demanda le policier qui me plaquait au sol.

-Oui. Rétroquai-je.

-Je vais devoir vous emmener avec moi. Dit-il.

-Quoi ?! Pourquoi ? Demandai-je, choquée de son annonce soudaine.

-Selon les caméra de surveillance de votre lycée, vous étiez complètement témoin des faits mais lorsque une professeur a apparue, vous vous êtes cachée. Vous faites partie des principales suspects.
Et il est fort possible que vous fassiez partie de cette mafia qui a fait apparition récemment. M'expliqua-t-il.
Bordel, je ne peux rien faire..
Mais je n'ai rien fais ! Tout ça à cause de Lorenzo !

Il était sur le point de m'emmener quand un bruit de moteur rugissait.
Je tourna ma tête et vit Lorenzo avec un casque sur sa tête.
Il s'approcha rapidement de nous et mit un coup de poing violent au policier qui s'effondra au sol.

Lorenzo me tendit la main et me fit monter sur sa moto. J'imagine que je n'ai pas d'autre choix. Je monta derrière lui et il commença à accélérer si vite que tout mes sens se mettent en alerte.

Il est fou ou quoi ?! On va faire un accident !

-Rien de cassé princesse ? Demanda-t-il sur un ton seducteur.
Mes joues sont devenus rosées.

-Non, je vais bien... Je répondis.

-Je te fais toujours autant d'effet. Dit-il en rigolant.

Je sens que je vais lui en coller une.

Toi aussi tu es une hors la loi désormais.. Dit-il.

-Hein ? Mais je n'ai rien fais ! Tout est de ta faute. Rétroquai-je.

-C'est trop tard pour se lamenter maintenant. Tu es considérée comme une criminelle de ma mafia. Affirma-t-il.
Tu ne pourras plus avoir une vie normale et tu ne pourras plus prendre de travail normal également. M'annonca-t-il.
Quoi ?! Je ne veux pas être une criminelle et faire un travail illégal !

Nous arrivons devant un immeuble.

-Où sommes-nous ? Demandai-je.

-La où je travaille. Dit-il.

Donc sa mafia se situe ici... que vais-je faire...?

Il me guida à l'intérieur et une fois à l'intérieur, chaques personnes s'inclinaient  dès qu'ils voyaient Lorenzo.

Il est vraiment respecté à ce point ?
Wow.
Nous arrivons dans une pièce qui devait être son bureau ?

Il s'assoit et me regarde droit dans les yeux.

-Alors ? Demanda-t-il.

-Alors quoi ? Rétroquai-je.

-Tu souhaites travailler pour moi ou bien tu préfères survivre dehors avec les policiers qui rodent ? Demanda-t-il.

Je vois que je n'ai pas vraiment le choix.
Mais je ne veux pas me résoudre à faire des choses criminelles.

-Si tu acceptes mais que tu me trahis, mes hommes n'hésiteront pas à te tuer au moindre faux pas. Dit-il.

Bordel... que faire ? Ma meilleure option serait d'accepter..

-J'accepte de travailler sous tes ordres. Dis-je.

Il afficha un sourire satisfait et hocha la tête.

-Très bien. Pour commencer tu travailleras juste dans les bureaux pour trier les dossiers et ensuite tu feras des choses plus explicites. M'affirma-t-il.

J'aquiesca.

-Mais... je peux t'offrir une option plus "simple". Dit-il.

-Laquelle ? Demandai-je.

-C'est de devenir ma femme. M'annonca-t-il.

-Je refuse. Répondai-je.

-Je savais que tu refuserais, mais voyons combien de temps tu tiendras.
Dit-il.
Enfin bon, ton travail commence demain matin et il y a une chambre reliée à ton bureau. M'expliqua-t-il.

Je me tourna et j'alla dans ma chambre.
Je m'affale sur le lit qui était confortable et je m'endormis dans les bras de morphée.

𝑎​ ​𝑠​𝑢​𝑖​𝑣​𝑟​𝑒​..