Mon Motard [Ennemy To Lover]

𝑪​𝒉​𝒂​𝒑​𝒊​𝒕​𝒓​𝒆​ ​𝑿​𝑿​𝑽​𝑰​

Cela faisait désormais un mois que j'avais quittée l'Espagne et j'avais trouvée un petit-ami. Il était gentil, protecteur, attentioné et beau.
Je n'aurais pas pu rêver mieu. Et Lorenzo n'a plus cherché à me contacter.
Depuis que nous avions couché ensemble et que j'ai prise la pillule le lendemain.
Je sais que ce n'est pas bon pour la santé mais c'était ma seule option.

Mon nouveau copain s'appel Loris. Mais en ce moment il me paraît assez distant..
C'est assez bizarre je trouve mais après il a d'autres occupations alors je comprends.

Au fait, j'avais repris contact avec Lydia et lui ai racontée tout les détails de ce qu'il s'était passé.

Lorenzo avait trouvé également une copine de ce que Lydia m'avait dit.

Je me baladais dans les couloirs comme à mon habitude et je voyais Lorenzo de loin. Il devait être à environ 20 mètres et il avait l'air de se précipiter vers...
Moi ?

Je ne veux pas lui reparler. Je me dépêcha d'aller dans la bibliothèque la plus proche du lycée et me cacha dans les rangées.

Je patiente quelques minutes et une fois que j'étais certaine de l'avoir évitée je sorta de la rangée mais c'était un grossière erreur.. Lorenzo m'avait suivi et il se rapprocha de moi mais je ne pouvais aller nul part car il se trouvait une rangée de livre à ma droite et à ma gauche et il se trouvait un mur derrière moi.

J'étais piégée. Puisque je ne pouvais pas m'échapper j'imagine que je vais devoir écouter ce qu'il veut me dire.

Lorenzo était désormais à 1 mètre de moi.
-Éléna. Je sais que tu ne veux pas me parler mais je dois te dire quelque chose. Dit-il.

-Tu veux quoi ? Demandai-je, agacée.

Il sorta son téléphone de sa poche et me montra une photo.
Dessus se trouvait la copine de Lorenzo entrain d'embrasser MON copain ?!
Je suis sûre que c'est faux. Après tout il veut juste me pourrir la vie.

Il fait partie de la mafia alors faire une photo montée ne devrait pas lui poser de problème.

-C'est un montage. Tu as failli m'avoir mais tu ne m'auras pas deux fois. Affirmai-je.

-Non. Crois moi cette fois-ci. Dit-il.

Je l'ignora et passa à côté de lui en lui mettant un coup d'épaule.
Je sorta de la bibliothèque et je ne pouvais pas en croire mes yeux. Lorenzo avait raison.

Mon petit-ami me trompait sous mes yeux.
Soudain mon regard croisa le sien et il repoussa immédiatement la fille.

-Ce n'est pas ce que tu crois ! M'affirma-t-il.

-Tu me trompes sous mes yeux en plus. Bravo. Dis-je, énérvée.

Je sentis des mains se poser sur ma taille et un corp se coller contre le mien.

-C'est qui lui ?! Demanda Loris.

-Je suis son copain, un problème ? Demanda la voix grave qui se trouvait derrière moi.

-Tu mens, Éléna ne me tromperait en aucun cas, elle est tellement folle de moi et naïve. Dit Loris sur un ton moqueur.

Il s'est bien joué de moi. Sur un coup de tête je pris la tête de Lorenzo et je l'embrassa. Il accentua le baiser et jouait avec mes cheveux en enroulant ses doigts dedans.

Loris nous regardait avec un air choqué.
Il parta en trombe mais la copine à Lorenzo le retenu par le poignet.

-Et moi ? Demanda-t-elle.

-Tu es qu'une p*te, je me servais de toi pour subvenir à mes plaisirs. Annonça Loris.
Elle nous regarda, son regard mélangé tristesse et haine. Elle se rapprocha de moi et me gifla.

Elle n'eut le temps de partir que Lorenzo sort un flingue et le pose contre sa tempe.

Quoi ?.... qu'est-ce qu'il est entrain de se passer ?!

Elle s'excusa et s'agenouilla au sol en lui demandant pitié.
Il lui tire une balle entre ses deux yeux.
Mon sang se glace sur place. Son sang gicle sur moi. Mes membres tremblent, je n'arrive plus à bouger... je suis terrorisée.

Je savais que Lorenzo était le boss d'une mafia... mais est-il réellement capable de tuer une réponse sans aucune once de pitié ?
Ce type est un monstre.

-Je voulais juste t'informer que ton copain te tromper. Désormais nous n'aurons plus à nous revoir. Affirma-t-il.
Il range son arme et s'essuie ses mains avec un mouchoir.
Le sang de la fille se vide et son corps s'effondre au sol.

J'observe que une professeur vien dans cette direction. Je tourna la tête mais Lorenzo avait disparu. Je cours me cacher dans la bibliothèque et elle poussa un cri, un cri si fort que d'autres professeurs entendèrent.

Elle s'évanouissa et un autre professeur appela la police. Une alarme nous fit signe d'évacuer immédiatement le lycée et tout le monde le fit.

𝑎​ ​𝑠​𝑢​𝑖​𝑣​𝑟​𝑒​..