𝑪​𝒉​𝒂​𝒑​𝒊​𝒕​𝒓​𝒆​ ​𝑿​𝑿​𝑰​𝑿​

846 24 0
                                    

Une nouvelle journée commença et je me réveilla, cela faisait désormais une semaine depuis l'incident dans le bureau de Lorenzo et nous nous étions ignorés pendant toute la semaine.

J'ignorais que cela allait changer.
Pour la seconde fois, un homme était venu m'informer que Lorenzo voulait me voir.

Je me préparais mentalement à toute éventualité qui pourrait se produire.
Que me voulait-il cette fois-ci ?
Je le saurais en passant le palier de cette porte.

J'entra et Lorenzo me regardait fermement.

-Éléna.  Dit-il.

-Oui ? Rétroquai-je.

-En fait je devrais partir d'ici ce soir.
La police a réussie à placer un traqueur sur moi.
Et je ne veux pas qu'elle découvre ce lieu et que tout mes employés sois menacés d'aller en prison. Dit-il.
Pourquoi est-ce que il me dit tout ça ?

Et si je t'informe de ça c'est parce que je voulais te dire quelque chose avant de partir. M'annonca-t-il.

-Oh, qu'est-ce que c'est ? Demandai-je.
Sans dire un mot, Lorenzo se rapproche de moi et m'enlace de toutes ses forces.
Son cœur bat la chamade je le sens.

-Je t'aime. Pardonne moi pour tout ce que je t'ai fais subir. Quand je sortais avec d'autre fille, je ne ressentais pas la même chose qu'avec toi..
J'ai fais le con mais tu me rends fou Éléna.
Je veux que tu m'appartiens pour toujours et je creverais chaque yeux des hommes qui te regarderont.
M'annonca-t-il.
Je sentis mes joues chauffer et mon cœur accélérer.
C'est comme-ci le temps s'était arrêté, je voulais que ce moment dure éternellement.

Lorenzo m'embrassa et j'enroule mes bras autour de sa nuque.
Il posa ses mains sur ma taille et nous nous embrassions comme-ci c'était le dernier baiser.

-Moi aussi je t'aime Lorenzo. Dis-je. Mes mots étaient sortis tout seul. Mais j'imagine qu'ils disaient vrai.

La pièce se réchauffait. Lorenzo me prit et me posa sur son bureau. Il continuait de m'embrasser et il s'arrêta.

-Tu veux le faire ? Demanda-t-il.
J'hocha la tête et ses mains parcouraient mon corp, je ne pouvais m'empêcher de frémir.

Il rapprocha son visage de mon cou et me laissa une marque.
Ma respiration devenait saccadée tandis que ses mains retiraient mon t-shirt.

Une fois mon t-shirt retiré il commença à embrasser chaque parcelle de mon corps.
Il n'y avait pas un seul endroit de mon torse que sa bouche n'avait pas touchée.

Il retira ses vêtements et mon panton et je voyais son membre se dresser devant moi.

Il m'a fait plaisir donc j'imagine que c'est à mon tour. Je descenda du bureau et m'agenouilla devant lui.

Il avait très bien compris mon message et il me regarde avec un regard séducteur et satisfait.
Il empoigne mes cheveux qui forment désormais une queue de cheval et il frotte mon visage à son membre.

Je commença à enrouler ma langue autour de son membre en faisant des vas et viens. Je l'entendais grogner et ses mains qui se resserer de plus en plus autour de mes cheveux.

Sans que je m'y attende il enfonce profondément son membre dans ma bouche jusqu'à toucher le fond de ma gorge.
Je suis à bout de souffle et il le savait très bien. Tandis que je le regardais il me souriait avec arrogance.

-Bizarrement lorsque tu as ma bite dans ta bouche tu n'as plus l'air de me détester hein. Dit-il en gloussant.
Quelle salopard, même dans des moments comme ça il trouve les bons mots pour m'énerver.
Il me lâcha et je repris de l'air avec difficulté.

Il ricana, satisfait de ma réaction.
Je me releva et il enfila une capote.
Il me posa de nouveau sur le bureau et il frottait sa bite contre ma fente.

De plus en plus fort. Soudain il commença à me pénètrer doucement. Bordel, je vais agoniser.

Je n'ai encore mis que la moitié, tu devrais pouvoir le supporter. Affirma-t-il.
Il est malade ? À croire c'est lui qui se la prend si je pouvais lui mettre une olive il fermerait sa gueule de connard !

Il continuait de l'enfoncer.
Tu es serrée, détends-toi. Dit-il.

-Ferme la, je vais te rentrer un doigt dans le cul tu vas voir c'est qui qui doit se détendre. Rétroquai-je.
Il rigola et pour se venger il commence à bouger de plus en plus vite et de plus en plus fort. Il touchait tous les bons endroits en même temps.
Je ne pouvait m'empêcher de me tortiller et de gémir et cela semblait lui plaire.

Sa respiration était saccadée et il tenait si fort le bureau que il laissait des traces.
Ses grognements était vachement doux à entendre. C'était un vrai plaisir pour les oreilles.

À mesure qu'il s'enfonçait je sentais l'apogée venir. Mais lorsque j'étais sur le point de jour il s'arrêta et se retira.

Quel culot !

-Pourquoi tu t'arrêtes ? Demandai-je.

-Hmm... pas envie. Répondit-il.

-Orh.... ok. Tu veux quoi ? Demandai-je.

-Supplie moi. Ordonna-t-il.

-Quoi ?! Jamais. Rétroquai-je.

-Très bien alors tu peux finir le travail toute seule. Annonça-t-il.
Ugh...

-S'il te plaît continue. Je supplie.

Il aquiesca et continua. Nous arrivions en même temps et nous étions exténué.
Je m'endormis et lui aussi, nous étions entrain de nous enlacer.
Et je m'endormis.


𝑎​ ​𝑠​𝑢​𝑖​𝑣​𝑟​𝑒​



Mon Motard [Ennemy To Lover]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant