Mon Motard [Ennemy To Lover]

𝑪​𝒉​𝒂​𝒑​𝒊​𝒕​𝒓​𝒆​ ​𝑿​𝑿​𝑰​𝑽​

Je sentais que mes larmes commençaient à couler sur mes joues.
Je sanglotais et Lorenzo sorta de la pièce, me laissant seule, moi et mes larmes.
Il m'avait affiché un sourire narquois juste avant de sortir de la pièce.

Comment ai-je pue tomber amoureuse de lui ? Il m'avait déjà fait le coup lorsque nous étions jeune..
À quoi je m'attendais ?

Je dois juste oublier Lorenzo et le sortir définivement de ma vie..
Mais je ne peux pas m'empêcher de l'aimer..

Je sais que si il essayait de sortir avec moi, je ne refuserais pas...
Alors je suis obligée de l'oublier pour toujours.

Je déclara à Matteo que je partirais demain matin et je lui demanda de ne pas prévenir Lorenzo.

La journée passa et le soir arriva, j'ai l'impression que les journées étaient toujours les mêmes...
Je m'installa confortablement dans mon lit et quelqu'un toqua à ma porte alors j'ouvra et je tomba sur Lorenzo ?

Il puait l'alcool.

-Éléna... j'ai besoin de toi... Dit-il.

-Ah et pourquoi ? Demandai-je.
Sans me donner aucune réponse, Lorenzo se rapproche et me plaque contre le lit.

Tu fais quoi ?-... Demandai-je.
Il est ivre alors il ne se rend pas compte de ce qu'il fait...
Ne me dis pas qu'il veut coucher avec moi...

Lorenzo se met à genoux tandis que je suis allongée.
Ses jambes sont séparée par les miennes et il commença à retirer sa ceinture.
Je pouvais voir son membre dur former une bosse sur son pantalon.

-Comme tu peux le voir, je suis vraiment excité, alors je peux le faire avec toi ? Demanda-t-il.
Je rougissa subitement. Je savais que je le voulais au fond de moi. De toute façon je ne le reverrai plus jamais dès demain matin.
J'aquiesca et Lorenzo finissa de retirer sa ceinture.
Il m'embrassait le cou et me laissa des marques.

Ses mains parcouraient le long de mon corps et chaque parcelle de mon corps qu'il touchait s'enflammait.

Je sentais ma respirarion s'accélèrer et la sienne également, son toucher devenait plus insistant quand il passa sa main sous mon t-shirt et remonta plus haut.
Sa main se rapprochait de plus en plus de ma poitrine qu'il toucha finalement.
Il était entrain de la tripoter puis il s'arrêta et retira mon t-shirt délicatement.

Il baissa son pantalon et le mien. Son membre dressé dans son sous-vêtements semblait étrangement gros..

Sans dire un mot Lorenzo posa ses mains sur mes hanches et frotta son membre dur contre ma fente.
Il accélérerait ses mouvements et je me couvra la bouche pour qu'il n'entende pas mes gémissement.

Il retira ma main de ma bouche et me susurra :
-N'empêche pas tes gémissement de sortir, je veux t'entendre crier mon nom.

Il se frotta plus fort et mes gémissements devenaient plus fort.
J'enroula mes bras autour de son torse et je ne pouvais m'empêcher de griffer son dos.
Plus il accélérerait et plus je me sentais proche de la liberation.
J'allais venir mais il s'arrêta soudainement.

Tu devras attendre princesse, ce n'est que le début... Affirma-t-il avec un sourire narquois.

Il retira mon dernier sous-vêtements qui lui empêchait l'accès à mon entrejambe.

De sa main gauche, il prend ma machoir et de l'autre il met deux de ses doigts dans ma bouche et les enfonçent profondément à l'intérieur, je tousse.
Il en rajouta un troisième avant de retirer sa main.
Ensuite, il commença par frotter ses doigts contre mon clitoris et je gémissais, mon orgasme menaçant de venir.

Il arrêta et rentra un doigt et je frémissa de plaisir.

-Une telle réaction pour un seul doigt ? Dit-il en gloussant.
Si tu es autant sensible, tu n'es pas prête pour la suite... Annonça-t-il.

Il en rentra un second et commença à les faires bouger en essayant de trouver mon point G.
Il continua ses recherches sans le trouver et il finit pas rajouter un troisième doigt.

Mon dos se cambra sous le choc et je griffa son dos assez fort pour en laisser une marque.
Il souria narquoisement et accélérera ses gestes.
Je me tortillai sous lui sans qu'il ne me laisse aucun de répit. Mais en voyant sa tête, je voyais très bien que mes réactions lui plaisait.
Il rapprocha sa bouche de la mienne et m'embrassa langoureusement.
Tandis que je frémissais sous lui.

Il retira finalement ses doigts et les léchent.

-Je pense que tu es assez détendue.
Dit-il. Il retira son boxer et son membre se dressait devant moi.
Attend, c'est la première fois que je vois une taille de la sorte...
15cm ? Non.... je dirais plutôt 22cm...

Cette chose ne peut tout simplement pas rentrer en moi.

-Désolée, mais je pense que elle est trop grosse pour moi. Dis-je.

-Vu comment tu mouilles pour moi, je pense qu'elle rentrera facilement..
Mais ne t'inquiète pas j'irais doucement. M'affirma-t-il. Je devena gênée lorsque il m'avait fait la première remarque et il gloussa.
Mais la seule chose dont j'ai peur... c'est que Lorenzo ne tient jamais ses promesses...
Il sort une capote de sa poche et l'enfile puis Lorenzo frotte son membre et il me regarde.
-Je peux ?Demande-t-il.

-Oui... Je rétorque puis il commence à enfoncer le bout doucement.
Mes jambes tremblaient énormément.
Il continuait d'enfoncer son membre à l'intérieur.. Comment cela peut-il être aussi large et long ? J'ai l'impression qu'il va me transpercer de l'intérieur.

J'entendais Lorenzo grogner pendant qu'il la rentrait. Ses cheveux était mouillés à cause de sa sueur.

Il se mordait les lèvres pour éviter de sortir toute sorte de bruit pendant qu'il la rentrait.
Tu vois que tu peux le faire ? J'ai presque tout rentré, je vais commencer à bouger. Annonça-t-il.
Son bassin commençait à faire des va et vien et lorsqu'il s'enfonçait profondément en moi j'avais l'impression qu'il touchait tout les bons endroit au bout moment.

Je ne pouvais m'empêcher de rouler des yeux.
Comment pouvait-il faire pour faire cela aussi bien ? Ses hanches commencèrent à s'accélèrer et à donner des coups de reins de plus en plus fort.
Je le sentais me remplir entièrement.

Nos langues s'entremêlaient et nos gémissement remplissaient la pièce.
Je ne savais même plus combien de fois j'étais venue.

Lorenzo finit pas donner un dernier coup de rein violent et il éjacule dans la capote. Il retire lentement son engin.

Il s'effondra, surement à cause de l'alcool et je m'endormis à mon tour.

𝑎​ ​𝑠​𝑢​𝑖​𝑣​𝑟​𝑒​