Mon Motard [Ennemy To Lover]

𝑪​𝒉​𝒂​𝒑​𝒊​𝒕​𝒓​𝒆​ ​𝑽​𝑰​𝑰​𝑰​

Je me réveil dans une chambre, probablement la chambre de Lorenzo.
Je tourne la tête mais je ne le vis pas.

Je me leva de mon lit et descendit les marches d'escaliers. Je rejoins Lorenzo et son expression devient soudain sérieuse.

-Écoute Éléna, il est temps que tu sache la vérité. Dit-il.

-Quelle vérité ? Demandai-je avec un air étonné.

Il pousse un soupire et dit :
-Ce n'est pas vraiment ton frère... que tu avais rejoins là bas.
Je l'ai appris lorsque il a retiré le micro que j'avais collé sur ton cou discrètement.

-Que veux tu dire ? Demandai-je.

-En fait, mon père travaillait dans la mafia et ils étaient sur un nouveau projet.
Le projet "Méca-robot".
Il consite à inséré une puce dans le cerveau d'une personne et cela change son comportement et tout le reste. Ce n'est plus vraiment le même mais le produit n'est pas parfait alors, même lorsque ils insèrent la puce, il reste une partie de leurs souvenirs et sentiments. M'expliqua-t-il.

Mon visage affiche de l'étonnement.

-Et comme as-tu su que ton père lui avait inséré la puce ? Demandai-je en ravalant ma salive, je ne me sentais pas bien.

-En fait lorsque ils implantent la puce, c'est comme si ils avaient un ordinateur dans la tête, comme des robots. Et cela leur permet de recevoir les ondes émises. Alors c'est comme ça qu'il a su que tu avais un mini micro caché. Dit Lorenzo.
Cela m'effraie au plus au point.

Un frisson me parcourt.
Mais Lorenzo pose ses mains sur mes épaule pour me rassurer.
Il se rapproche de mon visage et me susurre :
-Mais ne t'inquiète pas, quiconque ose te frôlé, je le buterais à mains nues.

Un nouveau frisson me parcourt la colonne vertebrale.
On dirait que il est possessif et qu'il serait prêt à tout pour me protéger.
Il rapproche son visage du mien et je ferme les yeux.
J'attends pendant environ 5 secondes mais il ne m'embrasse toujours pas, alors j'ouvre les yeux et je le vois rigoler.

Pfft... tu verrais ta tête ! Tu pensais vraiment que j'allais t'embrasser ? Mais puisque tu n'as pas cherché à me repousser c'est que tu le voulais au fond, non ? Demanda-t-il.
Je rougis d'embrassement, je veux juste disparaître à ce moment précis.

Quel connard, je pensais que c'était ambiguë entre nous mais en fait, il reste un sacré salaud quand même !

Je vais me venger.

Je me rapproche de lui et je lui chuchote quelque chose de salace, je pensais que sa allait le choqué mais au final son visage affiche un grand sourire narquois.

Il s'approche de moi et pose ses mains sur mes hanches, il colle nos corps ensemble et s'approche de mon visage pour m'embrasser.
Et puisque nos corps sont collés... je sens quelque chose de dur se presser contre mon ventre... j'affiche un sourire satisfait, contente que ma vengance va pouvoir aboutir.

Lorsque il allait m'embrasser j'interpose ma main entre nos bouches.
Il me regarde, et je le repousse.

-Je suis désolée mais tu devras t'en occuper tout seul cette fois-ci. Annonçai-je en gloussant.

-Bordel Éléna si tu savais à quel point j'avais envie de te prendre là, maintenant. Dit-il sans aucun gêne.
Je sens mon cœur accélérer et mon cerveau ne peut s'empêcher de penser à toute sorte de scenario salace.

Je sens des papillons dans mon ventre.

-De toute façon, je préfère ton pote. Annonçai-je avec assurance, je tourne ma tête pour voir sa réaction et il affiche de la colère et de la jalousie.

Je monte les escaliers et je me précipite pour aller dans ma chambre mais une fois devant ma chambre il me retient par le poignet et me plaque contre la porte.

-Tu sais que tu me rends fou ? Demanda-t-il.

-Je ne veux pas savoir, et laisse moi tranquille. Dis-je. Même si au fond de moi je voulais tout le contraire.
Soudain, Lorenzo prendre un de mes poignets dans chacune de ses mains et il plaque chacun de mes poignets à côté de ma tête.
Tu fais quoi ?... Demandai-je timidement. Bordel, je me sens mouiller.

Il approche son visage de mon cou et le suce jusqu'à laisser une marque, ma respiration accélère et mon cœur également. Un mini son sort de ma bouche et je vois son sourire agaçant apparaître de nouveau.

-Je ne pensais pas que tu ferais un son aussi mignon pour si peu. Dit-il.
"Si peu" ?! Mon cœur et ma respiration a accéléré pour "si peu".

-Ferme la, j'ai pas fais exprès. Rétorquai-je, agacée et gênée.

Il me chuchote de nouveau quelque chose :
-Je ne pense pas que mon pote pourrait te faire mouillé autant que moi je le fais. Dit-il en souriant.

Je n'avais plus rien à rétorquer.
Il affiche un sourire vainqueur et il approche son visage du mien, son souffle chaud se fait sentir contre mon visage rosée à cause de l'effet qu'il me procure.

Sa bouche n'est qu'à quelque centimètre de la mienne mais il ne m'embrasse pas, à la place il me regarde droit dans les yeux.
Il resserre sa prise sur mes poignets et je frisonne légèrement.

J'espère que je te ferais autant d'effet la prochaine fois. Annonça-t-il fièrement.

Il m'embrasse intensément et le baiser semble durer une éternité. Tout mes sens son en éveil et j'aimerais que le temps s'arrête à cet instant précis :
Nos corps proche, le contact physique, le baiser, son souffle chaud s'écrasant contre mon visage, mon cœur et ma respiration accélérant à toute allure.

Tout était parfait.
Il rompit finalement le baiser lorsque nous étions à bout de souffle et relâche mes poignets.
J'enroule mes bras autour de sa nuque et...

𝑎​ ​𝑠​𝑢​𝑖​𝑣​𝑟​𝑒​..