Mon Motard [Ennemy To Lover]

𝑪​𝒉​𝒂​𝒑​𝒊​𝒕​𝒓​𝒆​ ​𝑿​𝑰​𝑰​𝑰​

Lorenzo prend soudainement un pistolet qui était dans sa poche et... il tire dans le ventre de son père sans aucune hésitation, il se plie de douleur et hurle.

-Désormais, c'est moi le boss de la mafia et ce ne sera pas toi qui décidera de ce que j'en ferais. Expliqua Lorenzo. Les gardes allaient tirer sur Lorrnzo mais ils baissèrent les armes lorsque ils se rendirent compte que c'était Lorenzo, leur nouveau chef.

-J'attendais ça, Lorenzo. Ricane son père.

-De quoi tu parles ? Demandit Lorenzo.

-J'attendais que tu te trouves une personnalité et que tu ne finisses pas comme moi. Pardonne moi pour toutes ces années à te maltraiter. Expliqua le père de Lorenzo.
Je me devais de te protéger. Dis son père.

-Mais me protéger de quoi ?! Tu m'as maltraiter toute mon enfance ! Rétroqua-t-il.

-En réalité, j'ai fais tous ça à contre cœur. Lorenzo... tu as toujours été tout pour moi, alors je ne pouvais pas te laisser mourir de leurs mains.
Dis le père de Lorenzo, les larmes coulaient sur son visage tandis que sa bouche crachaient du sang. Il était toujours par terre et son sang se vidait de plus en plus.

-Me laisse mourir par qui ? Demanda Lorenzo, il était paniqué et en état de choc total de la situation.

-De-.. Il n'eut le temps de finir sa phrase que il s'écroula par terre, sa poitrine de bougeait plus. Je regarda la scène sous le choc mais Lorenzo avait repris une expression sérieuse. C'était comme si Lorenzo n'avait plus aucun sentiment envers son père.

-Preparez son enterrement pour la fin de la semaine. Ordonna Lorenzo à ses gardes. Il me prit par la main et me mit un casque de moto sur la tête puis, il monta sur sa moto et me faisa signe de monter derrière lui.  Je ne comprenais rien à ce qu'il se passait alors je monta sur sa moto sans broncher.

Il accélérera à pleine vitesse.

-Accroche toi bien princesse. M'ordonna-t-il avec arrogance.
Je vais lui faire ravaler son sourire arrogant !

-Non ! Criai-je pour qu'il m'entends.
Il s'arrêta brusquement. Et descendit de la moto.

-Tu cherches a m'énerver Éléna ? Demanda-t-il. Je descendis de la moto à mon tour et je le regarde en le défiant.  Je retira mon casque et il retira le sien.

-C'est toi qui est arrogant. Dis-je à Lorenzo.

-Pourtant t'aime ça quand je suis arrogant non ? Rétroqua-t-il d'un ton moqueur.

-Non, je préfère rentrer avec un Uber plutôt que de rentrer avec toi. Je lui tourna le dos et parta dans une direction opposée. Lorenzo me prit soudainement par le poignet et me tira contre lui.

-Bordel Éléna ne me fait pas faire ce que je ne devrais pas faire. Dit Lorenzo.

-Et faire quoi hein ? Demandai-je avec un sourire provocateur. Lorenzo, sans dire un mot place sa main sur ma hanche et me tire contre lui. Il passe son autre main derrière ma tête et il rapproche son visage du mien.
Il m'embrasse sans dire un mot, j'essaye de le repousser mais sa poigne est trop forte.
Je suis à court d'air et mon cœur bat la chamade. Il me relache et j'halète, mes joues commencent à chauffer, je prends de lourdes respirations.

Et il me regarde avec un sourire satisfait.
T'embrasse mal. Dis-je à Lorenzo.

-Ah oui ? Pourtant tu avais l'air d'apprécier non ? Ton cœur battait la chamade contre mon torse et tu es toute rouge. Me taquine-t-il.

-Ferme la. Dis-je à Lorenzo, gênée de ses commentaires.

-Alors fait moi taire. Dit Lorenzo avec un sourire arrogant.

-Non merci, je préfère embrasser un chien. Ah pardon, j'avais oubliée que tu en étais un. Dis-je d'un ton arrogant et moqueur, ses sourcils se fronce et il dit :

-On verra si tu me traites toujours de chien quand je te ferais crier. Me taquine-t-il. Je rougis à ses mots et je regarde le sol ne voulant pas croiser de nouveau son regard.
Rien que pour une petite taquinerie tu ne peux plus me regarder dans les yeux ? Demanda-t-il. En rigolant. Il me prend par la main et me fait monter sur sa moto avant de me donner un casque. Je le mets et il monte devant moi, j'enroule mes bras autour de son torse et il démarre sa moto avant de rouler à toute allure, environ 15 minutes plus tard nous arrivons devant une villa ?!

Il me fait signe de descendre et je descends. Je le suivi jusqu'à devant la porte de son immense maison et il me fit rentrer à l'intérieur.

-C'est chez toi ? Demandai-je. Il acquiesca et en rentrant je vis une fille sur le canapé. Une blonde qui était habillée en mini jupe avec un haut très court. Elle avait de longs cheveux ondulés.

-Oh, chéri ! Tu es rentré. Elle cria en s'approchant de lui. Elle l'enlaca et l'embrassa avec la langue. Elle se collait à lui de façon sensuelle. Et Lorenzo l'embrassa langoureusement en plaçant ses mains sur ses fesses. Lorenzo me regardait avec arrogance pendant qu'il l'embrassait, comme si il était fier de voir ma colère.
Je le déteste quand il me sourit de cette manière. Mais par dessus tout ce c*nnard ose m'embrasser qu'alors il a une copine ? Ok, très bien. Je sens que je dérange ici, ils ont qu'à baiser j'en ai rien à foutre.

Je sors de la maison avec précipitation et appel un Uber

                       Pdv Lorenzo :

Quand je rentris à la maison la blonde qui me servait de plan Q me sauta dans les bras et m'embrassa en mettant la langue alors je continua le baiser en regardant Éléna avec un sourire arrogant. Éléna avait l'air énervée et c'était exactement l'émotion que je voulais voir sur son visage.
La blondasse cesse de m'embrasser et elle s'agenouille devant moi en me regardant avec un regard séducteur.

Et commence a frotter son visage contre mon engin, mais c'est bizzare. Cette fois-ci je ne ressentais aucune excitation à son égard. Je la repousse d'un coup de pied.

-Dégage de chez moi. Dis-je.

-Tu ne peux pas me faire partir comme sa... on n'a même pas encore fini ce que nous avions commencer. Me dit-elle avec un sourire pervers. Elle commence à m'énerver. Je la prends par les cheveux et je lui chuchote.

-Je te laisse une chance de m'exciter sinon je te dégage de chez moi. Dis-je avec colère.

-Merci chéri. Me remercia-t-elle, ses cheveux légèrement décoiffer. Je m'assis sur le canapé et elle commença à baisser mon pantalon et mon boxer.

𝑎​ ​𝑠​𝑢​𝑖​𝑣​𝑟​𝑒​