Chapitre 41 : L'indice

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Ambre

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Ambre

Je fouille frénétiquement la maison, déjà prête mais en proie à la panique parce que deux éléments essentiels manquent : ma veste d'uniforme et mon sac. Les Pogues m'attendent devant la maison, dans le van, et chaque minute qui passe alourdit la pression. Le bruit des moteurs qui ronronnent à l'extérieur me stresse encore plus.

-Yuki ! Je crie, espérant que mon petit chiot golden retriever ne soit pas la cause de ma frustration. Je sais qu'il a l'habitude de traîner mes affaires dans les coins les plus improbables.

Je m'accroupis pour regarder sous le canapé, et comme je m'y attendais, je trouve ma veste roulée en boule, presque indétectable. Je la tire de là, la dépoussière rapidement et la passe sur mes épaules. Je soupire de soulagement, mais le répit est de courte durée.

-Et maintenant, où est mon sac ? Je marmonne, luttant contre l'énervement qui monte.

C'est alors que Klaus, adossé à la porte d'entrée avec son sourire moqueur, se penche et me tend mon sac.

Tu l'avais laissé ici, princesse. Prête à partir maintenant ?

Je m'empare de mon sac sans un mot, trop pressée pour répondre à ses taquineries.

-Merci. je grommelle à peine, avant de me diriger vers la porte.

Je m'arrête une dernière fois pour caresser la tête de Yuki, qui me regarde avec ses grands yeux innocents, comme s'il n'avait rien à voir avec la pagaille de ce matin.

-Toi et moi on règlera nos compte quand je reviens ce soir. dis-je en souriant, avant de sortir enfin rejoindre les autres.

Je fouille frénétiquement la maison, déjà prête mais en proie à la panique. Ma veste d'uniforme et mon sac ont disparu, et chaque minute qui passe augmente la pression. Le bruit des moteurs du van des Pogues, qui ronronne dehors, ne fait qu'aggraver mon stress.

— Yuki ! je crie, espérant que mon petit chiot golden retriever n'est pas la cause de ma frustration. Je sais qu'il a l'habitude de traîner mes affaires dans les coins les plus improbables.

Je m'accroupis et regarde sous le canapé. Comme je m'y attendais, je découvre ma veste roulée en boule, presque invisible. Je la tire de là, la dépoussière rapidement, et la passe sur mes épaules avec un soupir de soulagement. Le répit est de courte durée cependant.

— Et maintenant, où est mon sac ? je marmonne, luttant contre l'énervement croissant.

C'est alors que Klaus, adossé à la porte d'entrée avec un sourire moqueur, se penche et me tend mon sac.

— Tu l'avais laissé ici, princesse. Prête à partir maintenant ?

Je prends mon sac sans un mot, trop pressée pour répondre à ses taquineries.

La facilité où l'amour Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant