Chapitre 33 : La clé

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Ambre

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Ambre

-Aller Ambre réveille toi ! Tu reprends les cours aujourd'hui ! Crie ma mère en ouvrant d'un geste brusque mes rideaux

La lumière entre rapidement dans la chambre, et je cache mon visage avec ma couette pour éviter de qu'elle ne m'aveugle.

Malheureusement pour moi, ma mère s'approche de mon lit avant de m'arracher la couverture.

-Mamannn...grognais-je. Je suis trop fatigué pour aller au lycée. Ait pitié de ta fille.

-Tu vas au lycée. Aller dans dix minutes tu es en bas pour le petit déjeuner.

-Mais maman...

-Je fais ça pour ton bien. Tu me remerciera plus tard quand tu auras un travail qui te permettra de gagner assez d'argent pour nourrir tes enfants.

Elle quitte la chambre, puis je me redresse pour m'asseoir.

Je passe une main dans mes cheveux, avant d'attraper mon téléphone.

Sarah me propose qu'elle et sa mère nous emmène au lycée.

Merci ma biche.

Ça m'évitera de marcher une bonne dizaine de minutes dès le matin.

Je quitte le lit pour me rendre dans ma salle de bain. Puis après une douche rapide, je m'habille.

Mon uniforme ne m'avait vraiment pas manqué.

Dans le miroir, je me tourne à plusieurs reprise en essayant de baisser le plus possible ma jupe d'écolière. Elle est beaucoup trop courte.

Je mets ma veste bleue marine, avant de m'asseoir sur ma chaise de bureau pour me maquiller.

Comme d'habitude j'opte pour un léger make-up, et n'oublie pas d'appliquer un peu de fond de teint sur ma blessure au cou.

Je laisse mes cheveux légèrement ondulé lâcher, coiffé ma frange rideaux, et sors enfin de ma chambre après m'être parfumé.

Yuki se trouvait dans le couloir, et jouer avec un de ses jouets qu'Andréa avait dû lui acheter.

Ce chiot est tout petit, qui ne pourrait pas l'aimer.

Arrivé devant lui, il lève la tête vers moi, la bouche ouverte, sa langue sortie. Je le prends dans mes bras et lorsqu'il veut me lécher la joue, je l'évite de justesse avant de lui dire :

-Désolé Yuki...je sais que c'est ta façon de me dire bonjour mais là, je viens juste de me maquiller.

La plus part des gens me traiteraient de folle s'ils me voyaient parler à un chien, mais qui sait...peut-être qu'il me comprend.

Une fois devant les escaliers, je repose Yuki par terre, qui les dévale une à une pour rejoindre la pièce à vivre.

À peine un pied posé sur une marche, je me retrouve propulser en avant.

La facilité où l'amour Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant