Les vacances (Helenie)

Chapitre XVI

Salut à tous, ce chapitre est une scène entièrement mature (🍋🚨), il n'influence absolument pas l'histoire
Bonne lecture ;)

—————

Les lèvres de Lenie se posèrent sur celles d'Helena avec une intensité palpable, un désir profond se reflétant dans chaque baiser. C'était une danse passionnée, leurs bouches s'accordant avec une parfaite harmonie, chaque mouvement empreint d'une envie irrépressible.

Bientôt, les lèvres de Lenie quittèrent celles d'Helena pour tracer une ligne brûlante le long de sa mâchoire, effleurant la peau avec la délicatesse d'une plume. Elle s'attarda sur son cou, un endroit qu'elle savait particulièrement sensible, offrant à Helena des baisers délicats qui faisaient naître des frissons à chacun de ses passages. Helena tourna instinctivement la tête, lui offrant plus de place, plus d'espace à explorer. Sa respiration se fit plus profonde, plus saccadée, au fur et à mesure que Lenie jouait avec ses sens.

Les lèvres de Lenie remontèrent ensuite doucement jusqu'à l'oreille d'Helena, son souffle chaud caressant la peau fine et douce. Elle effleura l'extrémité de son oreille de ses lèvres avant de l'attraper légèrement entre ses dents, avec une douceur taquine, un jeu qui fit soupirer Helena de plaisir.

« Détends-toi... laisse-toi faire, » murmura Lenie, sa voix basse, envoûtante, sensuelle. Ses mots glissaient comme une caresse, enveloppés dans ce souffle chaud qui fit frémir Helena de tout son corps.

Alors que Lenie continuait de déposer de légers baisers sur le cou d'Helena, ses mains commencèrent à descendre doucement, traçant un chemin langoureux vers son ventre. Mais ses doigts furent rapidement stoppés par le tissu du pull d'Helena, qui formait une barrière frustrante entre son désir et la peau douce de sa compagne.

Un léger grognement de frustration échappa à Lenie, qui recula légèrement pour tirer délicatement sur le pull. « Ce pull commence à m'agacer, » murmura-t-elle avec un sourire séducteur avant de s'en saisir, l'enlevant en une seule fluidité, avec une urgence qui trahissait son impatience. D'un geste rapide, elle se débarrassa de ses propres vêtements, ne gardant sur elle que ses sous-vêtements.

Helena, maintenant redressée sur ses coudes, suivait chaque mouvement de Lenie avec une intensité palpable. Son regard glissait lentement sur les courbes de sa compagne, ses yeux brillant d'un désir ardent. Mordillant doucement sa lèvre inférieure, elle laissait transparaître clairement l'effet que la vision de Lenie dénudée avait sur elle.

« T'es magnifique, » murmura-t-elle, sa voix basse, presque rauque, incapable de détourner les yeux de Lenie, qui s'approchait à nouveau. Il y avait une lenteur calculée dans ses gestes, un mélange de tendresse et de passion contenue. Lenie, le regard brûlant, s'était arrêtée un instant pour savourer le moment, un sourire malicieux au coin des lèvres, avant de se pencher à nouveau vers Helena, prête à reprendre là où elle s'était arrêtée, chaque mouvement promettant une intensité encore plus grande.

Lenie se pencha, attaquant doucement mais avec assurance le ventre d'Helena, ses lèvres traçant un chemin de chaleur qui fit frémir sa compagne. Chaque baiser était à la fois délicat et chargé de désir. Elle remonta lentement, savourant chaque instant, chaque frisson qu'elle provoquait, jusqu'à atteindre la poitrine d'Helena.

Sans se presser, Lenie embrassa d'abord la courbe de ses seins par-dessus le tissu noir du sous-vêtement, laissant la tension monter. Puis, avec une lenteur presque torturante, elle fit glisser le tissu sur le côté, libérant l'un des seins d'Helena. Sa bouche s'y posa immédiatement, ses lèvres et sa langue explorant chaque centimètre de peau sensible, déclenchant une vague de plaisir qui fit échapper les premiers gémissements d'Helena. Ces sons doux résonnaient comme une mélodie intime dans la pièce.