Chapitre 10

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Je marche dans les ruelles de NewYork, à la recherche d'un nouveau travail. J'ai passé la journée à passer mes demandes d'emploies et à la longue, j'ai commencé à être fatigué. Quelque chose attire mon attention, des Néons de plusieurs couleurs qui brillent sur une petit établissement, il était écrit, The Queen's bar. Depuis la première foi que je suis allé au bar, je doit avouer, que j'ai commencé à aimer ça. Alors j'entre dans le bar pour boire un coup. La première chose que je vois, une femme à moitié nu se promenant avec des verres de boissons. Un bar de Streap-tease. Je m'assoie à une table et demande une bière. Pendant ce temps je regarde au tour de moi. Des femmes qui font des danses aux hommes pervers qui mettent de l'argents dans leur sous-vêtements, des femmes qui dansent au tour d'un poteau, des hommes qui lance de l'argents sur la scène. Des hommes pervers et des femmes à moitiés nues partout. Une fois d'avoir eu ma bière, je consulte tout ce qu'il y a dans le bar. Mais... cet homme... me dit quelque chose. Il ma vu, il me fixe avec se même air pédophile. Il lâche son cigare et s'approche de moi. Je fait comme si rien n'était, comme si je ne l'avais pas vu. Je me retourne de l'autre coter pour boire une autre gorger de bière, il n'en reste plus.
{Garde ton calme...}
Cet homme est devant moi, il à une barbe près rasé, des cheveux brun léché par en arrière qui lui donne un air sérieux. De proche il à l'air plus jeune, du genre 35 ans.
- Je vous sert un autre verre?
Me demande-t-il avec sa voix d'homme, extrêmement grave. Il à un accent spéciale, je ne serais distinguer qu'elle est l'origine de cette accent.
- Non merci.
{Qu'es qu'il me veut?}
Il suffisait qu'il claque des doigts pour quelqu'un lui apporte une chaise pour qu'il puisse s'assoir à ma table.
- Première fois que vous venez dans mon bar de danseuses?
- C'est votre bar?
- Oui, aimez vous ça?
- Eeeh... ouais.
{Je ment.}
Je gigote de la jambe, je tremble des mains, j'ignore pourquoi mais cet homme me fait peur.
- Ayez pas peur. Il me sourie, avec ses dents magnifiquement droites et blanches, mais se sourire est loin de me rassurer. Je m'appelle Mark Bridge, vous?
Il me tend la main pour que je puisse la serrer, mais je ne le fait pas, et je ne répond pas à sa question non plus.
- Vous êtes prudente, j'adore ça.
Il prend une gorger de sa bière. Alors dans qu'elle bar de danseuses travaillez vous?
- Pardon?
- Vous... pardonnez moi, vous êtes danseuse n'es pas?
- Non...
Je le dévisage, comment il peut passer que je travaille dans un bar de Streap-tease?
- Vous devriez je vous observais au bar l'autre soir, vous dansiez vraiment bien. Vous savez très bien vous déhanchez.
- Et bien merci, mais c'est pas mon genre de travailler dans un bar de Streap-tease.
Il rit, il rit super fort que j'ai l'impression que tout le monde peu l'entendre malgré la musique.
- Nous n'aimons pas l'expression Streap-tease, nous préférons danseuse.
- Désolé.
- Ce n'ai rien, bref, vous êtes à la recherche d'un travaille?
J'hésite de répondre.
- ... Non.
- Vous mentez.
Il lève un sourcil, et sourie. Je n'aime pas cet homme.
- Où voulez vous en venir?
- Je vous et vu distribuer des demandes d'emploies devant mon bar, alors peut-être que cela pourrait vous intéressez de travailler pour moi.
- Ici, en travaillant comme danseuse?
- Oui.
Je n'ai même pas eu le temps de réfléchir, que je répond :
- Désolé je doit y aller.
Je me lève d'aussitôt, juste avant que je sorte Mark, m'appelle.
- Attendez. Je me retourne. Pensez y un instant je vous en pris. Il prend ma main entre les siennes et dépose son menton sur ses mains. Vous avez du potentiel, je vous veux absolument dans mon bar et sachez que j'ai toujours se que je veux.
Je retire mes mains des siennes, le regarde avec des couteaux dans les yeux.
- Je doit y aller.
Sur le point d'ouvrir la porte, il dit une dernière phrase :
- Pensez à l'argent que vous pourriez vous faire.
Je m'arrête. {Non, B continu ton chemin, c'est un connard ce mec.}
J'alterne et croise des bras.
- Combien?
- Tout dépend.
- Je veux un chiffre.
- 1000$ par semaines mais tout dépend des clients.
Je sort du bar, époustouflé. {Il vient de m'offrir un emploie, je pourrais gagner 1000$ par semaines ou presque, comme ça je pourrais continuer à payer mon loyer et économiser pour l'université. Non, c'est un non jamais je travaillerai dans un bar de Streap-tease.}

J'ai besoin de conseil, j'ai besoin de quelqu'un à qui parler, mais je ne peu pas, c'est n'importe quoi. Je ne sais pas pourquoi, mais je pleur. Je pleur parce que peut-être c'est le seul moyen d'avoir de l'argent. Mais je me suis dit d'attendre pendant une semaine, si personne ne m'a encore appelé ça sera la seule solution. Mon Iphone sonne, c'est Jason. Je répond en essuyant mes larmes.
- Salut, Jay...
- B, ça... ça va?
- Oui, tout va bien.
- Je ne te croie pas, attend reste chez toi et j'arrive.
Il raccroche. Je me lève de mon lit, et va au toilette. Je me regarde dans le miroir, j'essuie une dernière fois mes larmes. {Tout va bien aller, arrête d'y penser, il te reste encore une semaine.} TOC TOC!
- Salut.
- Ça va B?
- Tout va bien Jay, inquiète toi pas.
Il entre dans mon appartement. Nous avons discuté de plusieurs choses. Il a surtout remarqué que je manquais de nourriture dans mon frigo et dans mon placard.
- Tu sais, si tu à besoin d'aide avec l'argent, je peu t'aider.
- Non, surtout pas Jay, garde ton argent pour toi.
- Je m'inquiète pour toi.
- T'a pas de besoin.
- Pourtant je le vois, dans tes yeux.
Il scrute mon regard, il est à quelque centimètres de moi, devant moi. J'ai soudainement envie d'aller marcher. Nous marchons, moi avec les mains dans mes poches car j'aurais trop l'envie de prendre sa main dans la mienne. Nous sommes au parc, assis sur les même balançoires que la dernière fois. Je commence soudainement à pleurer, j'ignore pourquoi je pleur. J'ignore pourquoi je suis ici, avec lui.
- Pourquoi tu pleur?
Me demande-t-il.
- J'en sais rien, il y a tellement de chose qui se passe dans ma tête. Tellement de questions sans réponse, tellement d'injustice.
- de quoi tu parle?
Je le dévisage, son regard est si brun et profond.
- Tu sais, je t'es dit que j'habitais au Tennessee?
- Oui?
{Je dois lui en parler, il le mérite. Surtout parce que je l'aime.}
- J'habitais la bas avec mes parents, des personnes égoïstes, qui n'ont aucune pitié pour qui que se sois, surtout en vers moi. Mes parents était les plus dangereux du Tennessee et du Texas, tout le monde avait peur d'eux, même la police. Ils voulaient que je devienne comme eux, un criminel. Mais je ne voulais pas. Ça à pris 2 ans avant que la DPJ décide de venir me prendre. J'avais 7 ans... J'ai changé de famille d'accueil 10 fois, parce que personne me voulais ils disaient que j'étais une honte pour la société. Même qu'un jour, j'ai seulement voulu me faire des amis, mais ils ont fait semblant que je les est frappés pour le pur plaisirs, alors ma cinquième famille d'accueil m'a frappé au coup de ceinture sur les fesses. J'ai eu une enfance extrêmement difficile tu comprend? Et à mes 16 ans je me suis enfuie, et j'ai déménagé ici.
Il à pitié de moi, ça se vois dans ses yeux. Il prend mon visage entre ses mains et me dit :
- Pourquoi tu voulais pas m'en parler?
- Parce que j'avais peur que tu change ton opinion sur moi.
Il essuie mes larmes avec ses pouces et m'embrasse. On est là, à s'enlacer sur chacune de nos balançoire. Je s'avais qu'à ce moment je n'avais plus à avoir peur, qu'il seras la à chaque moment de ma vie. Qu'il sera là pour me réchauffer quand je vais avoir froid. Tout mes problèmes on disparue pendant une fraction de seconde.
- Tout va bien aller, ok fait mon confiance.
- Tu comprend pas Jay, je vie encore dans l'ombre de mon passer, j'ai perdu mon boulot, j'ai déposé des demandes d'emploies sans réponse, je risque de vivre dans la rue si je trouve pas de travail, je risque de perdre tout se que j'ai construite avec acharnement Jay.
- On va trouver une solution.
Il me sert dans ses bras. Tu sais, savoir que tu as passer une enfance difficile ne fait que de plus t'aimer.
J'ai tout d'un coup penser à Mark Bridge et à son offre d'emploie qui ne m'intéresse aucunement pas, mais j'ai besoin d'argent, une semaine, encore une putain de semaine.

Lycéenne et StreapteaseuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant