Un week-end captivant

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Juan avait passé une nuit agitée. Des cauchemars et des rêves érotiques l'avaient tenus éveillé tour à tour, toute la nuit. Depuis sept heure, il avait renoncé à se rendormir, préférant somnoler sans penser à rien, tout en regardant le jour se lever à travers la fenêtre de sa chambre. Sur les coups de sept heure trente, il entendit le parquet du couloir craquer devant sa porte et tout de suite après on frappa. 

-Oui?

Mais au lieu de la voix d'Anne lui annonçant que le petit-déjeuner était prêt, la porte s'ouvrit. Anne entra. Elle était entièrement nue et tenait des menottes dans ses mains. Elle s'approcha du lit.

-Bien dormi?

Juan n'avait pas eu le temps de remonter les draps sur lui et le regard d'Anne s'était déjà porté sur la bosse qui s'était formée instantanément dans son caleçon. 

-Ca va.

Sans attendre vraiment la réponse, Anne avait déjà attaché son poignet droit à la tête de lit, puis elle prit le temps de faire tout le tour, pour attacher le second. C'était la première fois qu'il la voyait entièrement nue. Débarrassée de son corset, de ses bas, de son maquillage et de ses accessoires. Elle était encore plus belle. 

-Cela va me couter un autre sous-vêtement?

-Non, sauf si tu me le demandes. En revanche, tu mérites une punition pour avoir parlé sans que je ne te l'autorise. 

Anne tira sur les draps pour le découvrir entièrement. Puis elle le chevaucha au niveau des genoux pour descendre son caleçon sous ses fesses libérant sa bite tendue. Elle s'effaça et le fit glisser par les chevilles pour le retirer. Elle descendit du lit et admira son oeuvre. Car il s'agissait bien de son oeuvre, c'est pour elle que le sexe de Juan pointait le plafond de la chambre. 

-Alors vilain garnement, quelle punition vais-je t'infliger. 

Juan comprit tout de suite que la question était rhétorique et qu'elle n'attendait pas de réponse. 

-Comme tu ne connais pas encore les règles de ce royaume, je veux bien être clémente, mais il faut quand-même marquer ton esprit pour que ça te serve de leçon. 

En attendant de prendre sa décision, elle utilisa le caleçon de Juan pour caresser sa peau. Elle le fit glisser le long de son bras gauche, sur son torse, sur sa hanche, jusqu'à son pied. Puis elle remonta jusqu'à sa hanche et insista sur son entre-jambe, avant de redescendre le long de sa jambe droite et de remonter jusqu'à son visage. Juan ne cessait de regarder le corps d'Anne, s'attardant sur son opulente poitrine et sur son visage. Quand elle se concentrait, ou quand elle était excitée, elle mordait légèrement sa lèvre inférieure. Anne tira subitement sur les jambes de Juan avec une force que son gabarit même musclé ne laissait pas supposer. Maintenant, il était à plat dos au milieu du matelas, les bras tendus au-dessus de sa tête. Elle souleva sa jambe droite et la fit passer par-dessus la gauche, inculquant ainsi un mouvement de rotation à l'ensemble de son corps.

-Alors voila, le moment de ma sentence. Je vais te donner dix féssées. Après chacune, je veux t'entendre faire le décompte. 

Encore une fois Juan trouvait ça puéril, mais il garda ça pour lui. La petite main de Anne, s'abattit.

-Un; deux; trois; quatre; cinq; six sept; huit; neuf.....dix.

Juan avait les deux fesses en feu. Mais le châtiment lui avait également procuré un certain plaisir, qu'il avait encore un peu de mal à assumer. Anne posa un baiser délicat sur chacune de ses fesses et le retourna, doucement. Elle caressa une nouvelle fois le corps de son collègue, mais cette fois du bout de ses doigts. Puis elle monta debout sur le matelas, offrant à son esclave une vue particulièrement directe de son entre-jambe, car elle le chevauchait au-dessus de ses épaules. Puis calmement, elle s'assit sur son visage.

Donjuan contre peau d'AnneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant