Chapitre 44

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/!\ Attention, présence de lemon dans ce chapitre ! 

Mon cœur battais la chamade, et j'avais peur qu'il ne casse. Mais comment pouvait-il se briser alors que j'étais dans les bras de Peter ?

Le garçon de mes rêves, celui dont je doutais de l'existence, celui dont j'avais secrètement rêvé, il se tenais maintenant devant moi, et il m'avouais qu'il m'aimais. Comment lui résister ? 

Il mit sa main autour de ma taille, puis m'entraîna hors de la cage. 

-Si tu veux que je changes, alors ne pars pas, je t'en supplie... Je ne le supporterais pas. Je t'aime trop pour vivre sans toi. 

Les larmes me vinrent aux yeux. 

-Oh, Peter ! Dis-je en éclatant en sanglot dans ses bras. 

Il enroula ses bras autour de moi et me serra contre lui de toute ses forces. Sa douce odeur enivrante. Croyez-le ou non, mais l'odeur de Peter nous fais planer, il sent l'odeur de l'aventure, de l'extase et de l'amour. 

-Je ne t'enfermerais plus jamais, Wendy. Laisse moi juste rester avec toi. 

Je hochais la tête, émue. Il me sourit, puis se pencha légèrement et m'embrassa. Le baiser fut d'abord très doux, puis nous nous embrassâmes avec plus de fougue. Il fut si intense que nous dûmes nous arrêter afin de reprendre notre souffle.

C'est a cet instant qu'il a gémit de douleur. Il se recroquevilla sur lui-même en murmurant mon prénom. 

-Peter ? Qu'est-ce qui t'arrive.

-M..Merci, murmura-t-il en s'écroulant par terre. 

Je m'asseyais a côtés de lui. 

-Peter relèves toi je t'en prie... Dis-je en pleurant. 

Il gémit, en fermant les yeux. Puis, je sentis ses bras trembler légèrement mais un sourire se dessina sur son visage. 

-Merci Wendy, dit-il en posant sa main sur ma joue. 

-Pourquoi tu me remercies ? Demandais-je en pleurant. 

En prononçant ces paroles, je vit ses traits changer légèrement, quelque chose avais changé en lui, mais je ne savais dire quoi. 

-Tu m'as rendu mon ombre, Wendy. 

A ces mots je m'arrêtais de parler, stupéfaite. 

-La seule chose qu'il me fallais, c'était de l'amour. Je suis tombé fou de toi, et tu m'aimes en retour. Cela a suffit a me rendre mon ombre, je suis moi a nouveau. 

Il se releva doucement, puis rapprocha son visage du mien. 

-Comment pourrais-je te remercier assez ? 

-Aimes moi a jamais, dis-je en souriant. 

Il colla joyeusement ses lèvres sur les miennes. Je le sentis me serrer contre lui de toute ses forces. 

-A jamais, madame Pan... 

Je frissonnais. 

Comment décrire le bonheur que je ressentais ? C'était un bonheur puissant, magnifique et parfait. Comme Peter. Mon cœur cognais dans ma poitrine, et j'avais l'impression de planer. Tout me semblais être irréel, comme si je me trouvais dans un rêve. 

Peter me porta dans ses bras, et je posais ma tête contre lui, humant encore son odeur délicieuse. Il volais doucement, tranquillement et je compris qu'il savourait ce moment autant que moi. Nous étions ensemble, heureux. Nous partagions ce bonheur ensemble, et cela me fit sourire de savoir que je rendais Peter heureux autant que moi je l'étais. 

Il me déposa doucement dans une clairière, au milieu de la forêt. Mes pieds nus touchèrent l'herbe humide et j'humais l'odeur de la forêt. Il se colla contre moi et déposa des baiser humides dans mon cou. Je rit doucement et me retournais, en l'embrassant a pleine bouche. Je sentis ses mains caresser mon corps doucement, et le désir nous envahit. 
Notre baiser s'intensifia et nos respirations s'accélérèrent. Il me porta et j'entourais sa taille avec mes jambes. Mes mains plongèrent dans ses doux cheveux, puis elle descendirent le long de son dos et glissèrent le long de son torse. Je sentis ses mains caresser ma jambe et remonter doucement. Je frissonnais encore tandis que je sentis ses doigts monter tout doucement. Je déboutonnais son haut et il s'écarta légèrement de moi afin de m'aider a l'enlever. Une fois torse nu, il se colla a nouveau contre moi tandis que ses mains caressaient mes cuisses doucement. Il déboutonna l'arrière de ma robe et glissa ses mains le long de mon dos. Il m'enleva ma robe doucement et je m'appliquais maintenant a enlever son pantalon. J'avais maintenant une vue du magnifique corps de Peter, presque nu devant moi. Il avança et me plaqua contre un arbre, et j'entourais a nouveau mes jambes autour de sa taille. Cette fois-ci, ses mains caressèrent ma poitrine, encore couverte par mon soutient-gorge. Il mit plus d'intensité dans ses gestes, m'écrasant un peu plus délicieusement entre l'arbre et lui. 
Soudain, il arracha mon soutient-gorge, ne pouvant plus résister. Il malaxa mon sein gauche avec force, comme si sa vie en dépendais. Je gémissais doucement, agrippant mes mains a son dos. Il s'arrêta quelques instants et me regarda et je gémissais de désir, le suppliant de ne pas s'arrêter la et de me laisser si désireuse de lui, de son corps contre le mien. 
Il rit doucement, satisfait puis me fit m'allonger dans l'herbe fraîche et humide. Il s'allongea sur moi et fit glisser sa langue le long de mon ventre. Je gémissais en me tordant de désir. 

-Oh, Peter....

Il fit glisser ses doigts le long de mon bas-ventre et caressa mon intimité a travers le tissus. Je gémissais encore et me cambrais de désir. Il déposa des petits baisers et je ne résistais plus. Mon corps tremblais de désir et mes pensées se bousculaient dans ma tête. Je perdais tout sens de la réalité lorsqu'il déposa un long baiser chaud sur mon intimité. Voyant que je ne pouvais plus attendre, il enleva doucement ma culotte avec ses dents, me rendant encore plus folle. 
Il me caressa doucement ensuite de ses doigts fins, puis les entra doucement. J'étais a la fois soulagée et désireuse d'en avoir plus. Il les enfonça un peu plus, me faisant gémir de plaisir. J'enfouis ma main droite dans ses doux cheveux, les yeux mis-clos, baignée dans un océan de plaisir. 

-Wendy, tu me rends fou, gémissa-t-il en enfonçant ses doigts plus profondément. 

Ne pouvant plus attendre, il jeta son caleçon plus loin dans l'herbe et s'enfonça en moi. Je criais de douleur et de plaisir. Ce fut doux, lent et paradisiaque. Ses coups de reins réguliers firent trembler mon corps de plus en plus et j'arrachais l'herbe de mes doigts tremblants. Je finis par exploser et lui aussi, et il s'allongea a mes côtés, me tenant serrée contre lui. J'humais doucement son odeur, tandis qu'il me regardais dans les yeux, un immense sourire aux lèvres. 


Peter PanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant