Après le combat, j'avais placé ma mère sur ma licorne et nous étions retournés au bateau. Peter et tous les enfants perdus ainsi que mon père nous attendais impatiemment. A notre retour nous avions été acclamés par tous nos amis. Nous sommes tous rentrés chez nous, heureux, avec le sourire, car nous savions que plus rien ne nous empêcherais d'être heureux.
Mes parents avaient décidé de ne pas repartir du pays imaginaire, afin de pouvoir continuer a rester ensemble.
Et moi j'avais enfin trouvé ma place. Je savais que je ne partirais jamais du pays imaginaire. Je me rappelle de ce soir la comme si c'était hier.***
Je me réveillais, et me levais de mon lit. Est-ce que tout ce que j'avais vécu n'étais qu'un rêve ? Je paniquais, avec la peur terrible d'être restée une petite orpheline perdue qui rêvais de Peter Pan. Je me précipitais a la fenêtre et observais les étoiles briller de mille feux. Je sortais en courant de ma chambre et me retrouvais dehors. J'aperçu le paysage du pays imaginaire et soupirais avec soulagement. Je sursautais en entendant des pas derrière moi.
-Madame Pan, me dit Peter en me faisant un doux baise main.
-Monsieur Pan ! Dis-je en riant.
Il me colla contre lui, et se mit a danser doucement, au son des voix des fées qui chantaient afin de fêter le départ de Crochet.
-Je t'aime Peter, avais-je déclaré doucement en le regardant dans les yeux.
-Je t'aime Wendy.
-Restes avec moi pour l'éternité.
-C'est bien ce que je compte faire.
Ses yeux étaient brillants, plus brillants que jamais, aussi brillants que les étoiles. Je me rappelais du jour ou j'avais fait le vœux d'être enfin heureuse, et je savais qu'il était exaucé a présent.
C'est a cet instant que Peter m'embrassa et que je comprit l'une des leçons les plus importantes :
Les vœux se réalisent toujours, nous devons juste avoir la force et le courage de se battre pour les réaliser. Alors bas-toi pour réaliser tes rêves.
VOUS LISEZ
Peter Pan
FantastikJ'ouvrais la fenêtre et criais : -Je souhaite être heureuse ! Criais-je en regardant l'étoile, Oui ! Je veux être heureuse et partir d'ici ! Une larme coula sur ma joue, tandis que le vent frais me caressais. Je l'essuyais, honteuse de pleurer sans...