Éléonore - The Divergent World

19.

[ Quand Thomas est parti, je prends une chaise et m'asseois à côté de Mathéo. Je lui prends la main et...]
Je lui parle.
Moi : *en larme* Je t'en pris... Mon amour... Réveille toi... Ne me laisse pas toute seule... Je t'en pris...
Pendant des heures, je lui parle. De ce que j'ai fais pendant ces deux mois sans lui. Je lui dit que Thomas m'a raconté ce qu'il avait fait, que j'étais très fière de lui, et je lui ai demandé de ce réveiller pour ne pas me laisser seule, ainsi que Thomas, ces parents, Am', ses amis, et ses proches. Mais il ne s'est pas réveillé... Au bout d'un moment, j'entends la porte s'ouvrir.
Thomas : Tu es n'a pas bougé depuis toute à l'heure ?
Moi : Non, pourquoi ?
Thomas : Il est 14 heures ! Tu n'as pas faim ?!
Moi : Oh ! Je m'en étais pas rendu compte. Mais non, j'ai pas très faim en ce moment...
Thomas : El...
Moi : Quoi..?
Thomas : Il faut que tu manges ! Tu imagines si Mathéo quand il se réveille il te trouve maigre comme je sais pas quoi, ou pire : morte ! Je ne crois pas que ce soit parmi vos projets d'avenir !?
Moi : Non, c'est vrai tu as raison. Je vais rentrer et je mangerais un bout. Et après j'irais faire un somme. Je devrais revenir ce soir vers 18 heures.
Thomas : Comme tu veux, mais tu peux rester dormir aussi !
Moi : Je verrais si je suis réveille ou non ! Allez, à plus !
Thomas : À plus, au faite ! Jack veux bien nous dispenser pendant son coma, mais toi le matin et moi l'après midi. Toi il faut que tu bosse et moi que je fasse le rapport à la place de Mathéo.
Moi : D'accord, allez j'y vais !
Thomas : Ok !
Quand je suis partie, je rentre vers mon loft, et je me prends une pomme pour manger. Je veux commencer doucement car je ne suis plus habituée à manger. Je m'installe sur le canapé et je croque un morceau de la pomme. Un tout petit ! Et pourtant... Ça ne veut pas passer ! Je me force, et là, je sens qu'il va se passer quelque chose de grave. Je cours vers les toilettes, mais je ne suis pas assez rapide... Du coup je vomis à 20 mètres des toilettes. Du coup je n'ai plus envie de manger ma pomme... Je sais que Am' va vérifier, du coup je vais sur la balcon et la jette par dessus la rembarde. Maintenant, il faut que je nettois... Je pourrais appeler une femme de ménage, mais elle pourrait parler et dire que j'ai vomis. Ce qui trahirais le fait que j'ai mangé ma pomme. Après avoir tout fais, je me mets en pyjama et me couche. Bizarrement, je m'endors de suite.
Je me réveille, attention... Tenez vous prêts... Le lendemain à 5 heures du matin ! J'ai dormi 15 heures ! Je ne pensais pas que j'étais si fatigué ! Du coup je me prépare pour aller à l'hôpital, d'après Thomas, j'ai du temps de 6 heures à midi. Le temps de me préparer, d'attendre la train, et d'y arriver, j'y suis à 5 heures 40. Je ne peux pas aller le voir parce que j'ai 20 minutes d'avance ! Du coup je patiente devant sa porte, dans le couloir. À 6 heures pile, je rentre. Je m'installe sur une chaise et je lui parle. De ce que j'ai fait hier quand je suis partie et ce matin. Au début je trouvais bizarre de lui parler alors qu'il est dans le coma, mais d'après Am' il m'entend. Du coup, je répète beaucoup des phrases comme : « Je t'aime », « Tu me manques », « Reveille toi, s'il te plait... ». Enmeme tps, be lui serre la main. À midi, Thomas vient prendre le relais.
Thomas : Tu as mangé hier en rentrant ? Hier soir ? Ce matin ?
Je ne sais pas quoi répondre, je dois mentir... Encore une fois...
Moi : Hier en rentrant oui, mais pas huer soir car j'ai dormi d'une traite de 13 heures à 15 heures.
Thomas : C'est bien, et ce matin ?
Moi : Oui bien sûr !
Thomas : Alors je suis content, tu manges en rentrant ?
Moi : Oui oui, t'inquiète pas !
Thomas : Hmm...
Moi : Bon, j'y vais ! À plus !
Thomas : D'accord, bisous !
Avant de partir, je m'approche de Mathéo et je lui fais un bisous sur la bouche. Après, je m'en vais. J'arrive quand le repas à déjà commencé du coup j'évite la salle. Parce que je sais son me forcera à manger et je ne le garderais pas. Je vais vers la salle d'entrainement pour continuer de travailler mes muscles. Je tape et je retape dans un punching-ball. J'avais oublié comment ça me permettais d'oublier mes soucis et de me défouler. Du coup j'y reste longtemps. Trop longtemps. Quand je réalisé que je ne suis plus seule c'est trop tard. Jack, les leaders et les nouveau sont entrains de me regarder.
Jack : Tu n'as pas perdu ta force, tu en as gagné !
Moi : Réellement ?
Jack : Oui. On va faire des combats, tu te sens prête ?
Moi : Oui, bien sur ! Contre qui je suis ?
Jack : Mina.
Moi : D'accord !
Je me prépare au combat et j'observe sa préparation. Elle n'est pas très rapide, mais elle a de la force. Elle devait venir des sincères, rien qu'a sa posture je le vois. Et je vois ça parce que j'étais une érudite. Je me mets sur la tapis de combat et j'observe tous ses mouvements. Quand elle s'avance, j'esquive et passe dans son dos. Je pose mes mains sur ses épaules et je l'appuie dessus. En même temps, je monte mes jambes. Ce qui fait qu'elle me porte et elle n'y était pas préparé, du coup elle tombe sur le dos. J'arrive à ne pas coincé mes jambes sous elle et je me penche sur son visage. Et je lui donne un coup de poing dans le ventre. J'évite le visage pour ne pas la défigurer. Et je continue à lui donner des coups de poings mais je ne suis plus là, je suis avec Mathéo. À un moment, Jack m'arrête.
Jack : Éléonore, stop ! Arrête !
Thomas : Je vais les séparer !
Thomas vient et me prends les deux bras pour me porter plus facilement sur une épaule. Et il me sort du tapis. Pendant ce même temps, d'autre sont allés chercher Mina et l'amene à l'infirmerie.
Thomas : Putain Éléonore ! Elle ne pouvait plus bouger et tu lui faisais extrêmement mal !
Moi : Désolé... J'étais plus là.
Thomas : Il faut que tu le sortes de ton esprit ! Je vais voir avec Jack si je peux t'amener.
Moi : Où !?
Mais il est déjà parti...
Jack : Éléonore ! Tu l'as blessé ! Tu avais quoi dans la tête !?
Thomas : Mathéo... Je l'amène changer son esprit.
Jack : Bien, mais sache une chose Éléonore, c'était très beau et très bien fait.
Moi : Merci...
Thomas : Allez, viens on y va !
Moi : Ok, mais on va où ?
Thomas : Tu verras !
On prend le train, et on arrive vers l'immeuble pour les natifs avec le saut, la descente du mir et le trou. On grimpe en haut et...

Autodéfense ? Vengeance naturelle ?
Ou vont aller Thomas et El ? Une idée ?

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