don't swear ➳ cashton { slow update } ✺

0.6

(j'ai pas relu, désolée, soyez indulgents, lola x)

Point de vue de Calum

Mon match commence dans une heure et je suis encore en train de faire mon sport. Dans la salle de musculation près de chez moi, cette fois-ci. Je n'ai vraiment pas envie de voir Irwin avant le match. Je ne sais même pas encore ce que sera sa surprise. Tout ce que je sais, c'est qu'il faut que mon corps soit parfait. Donc je donne tout ce que j'ai sur les machines depuis bientôt une demi-heure. Ça m'épuise un peu mais, ça me permet de me sentir bien dans ma peau et puis, j'suis sûr que ça lui plaira aussi, si mon V est un peu plus marqué et, si mon torse a l'air plus musclé. Et les putain d'images de sa tête entre mes jambes me motivent.

Et ça y est, j'ai trouvé ce que sera sa surprise.

*

J'suis actuellement dans les vestiaires à espérer comme un idiot qu'il sera là. Et j'imagine qu'après ce petit numéro que je lui ai fait à la sortie de cours hier, il devrait venir. S'il ne le fait pas, je mettrais le paquet en cours lundi, je le provoquerait indirectement, je le rendrais dingue.

Je suis sorti de mes pensées légèrement érotiques par mon coach qui nous crie à la gueule que c'est parti, qu'on a intérêt de tout donner et ça m'étonne qu'il n'ait pas rajouté à la fin de son long discours un petit "Sinon j'vous colle une baigne", il avait l'air tellement énervé que j'avais envie d'en rire mais au lieu de ça j'ai couru sur le terrain comme tout les autres joueurs, remontant mon short une fois sur le terrain.

C'est parti.

*

On a terminé, j'ai marqué un but et fait une passe décisive. On a perdu 4 - 2. Et je me sens tellement nul. Il me regardait, bordel. Et je déteste perdre en plus de ça, j'ai même eu l'impression que ça m'a carrément passé l'envie de lui faire sa surprise. Mais maintenant que j'y ai repensé, je me sens de nouveau en forme.

Je fais d'ailleurs exprès de traîner dans les vestiaires et attends que tous les autres joueurs soient partis. J'espère qu'il est toujours là et que les gens sont presque tous partis, et là, je pourrais m'occuper de lui.

Je sors finalement après une dizaine de minutes à penser à tout et n'importe quoi dans les douches, mes cheveux sont encore trempés et j'ai remis mon fameux short moulant. Il me fait des fesses et des jambes d'enfer.

"Bon match"

Sa voix mélodieuse ainsi que son accent probablement écossais résonne dans le terrain. Me faisant remarquer que nous sommes effectivement seul. J'ignore sa remarque probablement ironique sur ce match pitoyable et marche vers lui, secouant légèrement mes cheveux mouillés pour qu'ils soient un peu plus en bataille, et il humidifie déjà ses lèvres. Top.

"Oh, Hood. Ce short me donne envie de vous prendre contre ce putain de mur. Je l'aime vraiment beaucoup."

Il a ce don, dès que j'essaie de faire un peu mon malin, de tout faire retomber et de me provoquer un peu plus. Et je déteste que ces mots me fassent tant d'effet. Je dois encore lui montrer sa surprise, et si ça continue comme ça, je n'y arriverais jamais.

Je pince mes lèvres et tourne les talons à quelques mètres de lui, lui indiquant de me suivre d'un signe de tête. Ce qu'il fit, les mains dans les poches, et ses cheveux retombant de manière absolument sexy sur son front.

On arrive dans les vestiaires et après avoir correctement fermé la porte, je le plaque au mur, déposant de doux baisers de sa mâchoire jusqu'à sa clavicule, je sens sa respiration devenir un peu plus forte tandis que je pose mes mains sur ses hanche, puis dans son dos pour finir par les poser sur ses fesses, collant nos bassins. Il ne dit rien, se contentant de gémir entre ses dents. Et ça m'plaît, il a l'air de comprendre. Une de mes mains commence à palper ses fesses, tandis que j'ouvre sa jolie chemise à carreaux rouges, descendant ma langue le long de son torse.

Il a grogné, ou gémi, j'en sais rien, c'était une sorte d'insulte, j'ai pas vraiment compris. Il a l'air vraiment déboussolé en fait. Et c'est génial de voir que moi aussi je lui fait de l'effet.

Puis quand ma langue arrive jusqu'à son joli skinny noir, je la passe rapidement à l'intérieur avant de remonter mon visage que j'enfouis dans son cou. L'étape 2 commence.

Ma main se dirige jusqu'à son jean que j'ouvre habilement, pour avoir un accès à son boxer plus facilement. Je caresse légèrement celui-ci et pose ma main à plat sur sa bosse, ça le fait grogner, j'entends un faible "fuck, do it". Et je me sens durcir, moi aussi. Ces mots et son accent sont tellement, excitants. J'en pers tout mon contrôle et passe directement, au lieu de le faire mijoter comme je l'avais prévu, ma main à l'intérieur de son caleçon, caressant sa longueur du bout des doigts.

Il frissonne. Et pour la première putain de fois, il gémit ouvertement. Ce qui m'incite à le prendre totalement dans ma main, puis je commence mes gestes, au départ très lentement, puis à chacun de ses gémissements, j'accélère.

Et son visage est tellement beau, quand il prend son pied, bordel.