Vieux souvenirs...

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Il me regarde, le regard menaçant.

-Arrête de me regarder comme ça, tu vois pas que je me retiens très fort de rire de ta gueule.

Il me fit un regard sceptique... Et j'éclatai de rire une autre fois. Je me tenais après son épaule et de l'autre main je me tenais le ventre.

-Mon petit Jayson, tu dois être tombé sur la tête pour ne pas repousser cette folle.

Je m'arrêtai tout de suite de rire.

PDV Jayson Parker:

Elle peut pas s'arrêter deux secondes, ouais c'est drôle, mais pas de quoi en faire tout un plat.

  -Mon petit Jayson, tu dois être tombé sur la tête pour ne pas repousser cette folle.  

Elle s'arrêta de rire d'un coup. Sa s'annonce mal pour Rebecca. Je fit un léger sourire quand Sophie l'empoigna par le col et lui chuchota:

-Que se soit clair,  premièrement quand tu m'insulte, assure-toi de me le dire directement, et de ne pas être lâche en le disant devant moi, mais à quelqu'un d'autre. Deuxièmement, oublie le premier et ne m'insulte jamais ou tu le regretteras...

-Jayson, dit à cette cinglée de me lâcher.

-Désolé, dans mon état, je ne m'interpose pas.

Je ricanai. J'aurais trouvé une excuse, peu importe ce que s'aurait été, j'ai appris à ne pas trop me mesurer à elle. Surtout quand elle est en colère. Puis de toute façons, Rebecca est loin d'en valoir la peine.

-Tu ne pourras pas toujours te trouver des excuses Jayson, un jour tu devras avouer que tu ne veux pas tout simplement pas finir au plancher.

Je savais à quoi elle pensait. 

-Je vais finir par croire que je suis voyant, parce que je sais exactement à quoi tu penses. 

-Ah oui?

Merde, sois j'avoue, sois je dit rien, mais dans les deux cas, je vais me faire humilier... Autant être honnête jusqu'au bout. Oh je sens que je vais regretter.

-Tu as pensé à un jour de pluie.

-Mais encore...

-Sur un terrain de soccer où il y a eu un... Combat improvisé... À cause d'un malentendu...

Elle éclata de rire.

-Que de bon souvenir, ironisais-je, en tout cas, tu es pas en manque de rire minus.

-Tu veux que je te défonce, marmonna-t-elle en se calmant.

-Tu t'en prendrais à un blessé de guerre? Quelle faiblesse!

-Connard.

-Je sais que tu le penses pas minus.

J'adore ce surnom. Je lui ai sorti sa un jour, en lui faisant remarquer que j'avais une tête de plus qu'elle. Ce qui est toujours je cas...


Ne m'approchez pas!!!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant