† Vengeance †

7. Laurent & Noémie ( partie 3 )

  Laurent n'était plus là, mais il ne doit pas être bien loin, car le jardin est grand, mais il est clôturé, il ne s'est pas escaladé deux mètres dans l'état où il est.

- Putain Élisa, le couteau qui était sur la table à disparu.

- Quel couteau ?

- Celui avec lequel tu as tué le vieux monsieur.

- Merde ! Faut qu'on aille prendre nos armes. Fais chier !

On est donc allé prendre nos armes en vitesse. On est ensuite retourné au jardin, il ne peut être qu'ici, je ne vois pas autrement.

- Élisa va vers le fond du jardin, moi, je regarde près de la piscine ou est-ce qu'il pourrait être !

- Fais attention, les piranhas sont encore dans l'eau.

- Ne t'inquiète pas, fais attention à toi aussi, il est armé, mais il est blessé donc il est un peu handicapé !

Elisa part dans le fond du jardin, moi, je me dirige vers la piscine, je vais près de là ou il était attaché, les gouttes sur le sol sont encore là, donc je peux encore suivre ses traces. Je suis les traces d'eau, puis elles s'arrêtent en plein milieu de la terrasse. C'est étrange. Puis je viens de réfléchir. Nous étions dans la cuisine pour le soigner, de la cuisine, nous ne voyons pas qui rentre dans la maison depuis le jardin, il est peut-être en haut ? Je vais vite chercher Élisa.

- Élisa, je pense qu'il est à l'étage dans la maison.

- Co... Comment ? Ah, mais oui! Il est sûrement passé par le salon puis par les escaliers.

On a retiré nos costumes, on avait trop chaud là-dedans, puis Laurent, si on le retrouve, on le tue. Au départ, on voulait le garder en vie, mais là, c'est foutu.

Nous sommes rentrées dans la maison, nous n'avons pas fait de bruit pour éviter qu'il sache que nous montons. C'est sur la pointe des pieds que nous montons les escaliers. Élisa va dans la salle de bains, moi dans la chambre de mon oncle. Il n'y a rien dans la chambre, puis j'entends un cri "PAULINNNNNNE", j'ai couru vers elle, elle était dans la salle de bains, la fenêtre était ouverte. Il a sauté, il a dû se casser quelque chose, car il y a du sang par terre.

- Putain de merde. Il a réussi à sortir.
Dit Élisa énervée !

- Il ne peut pas être bien loin, partons vite !

À toute vitesse, nous allons dans la voiture, je vais au volant. Pas le temps de mettre la ceinture, on part directement,

- Droite ou gauche ? Merde.
Dis-je.

- À droit, c'est la forêt, je pense qu'il aurait plus pris à gauche '
Dit Élisa.

J'ai donc pris à gauche, je roule doucement, il se cache peut-être, puis au loin. On l'aperçoit, il hurle

- Au secours, aideeeeez moi !

Il nous faisait des signes pour qu'on s'arrête, il ne se doutait pas qui nous étions. Nous avons peut-être dit nos prénoms devant lui, mais il nous a sûrement oubliées.

Je me suis arrêté et j'ai dis :

- Je peux vous aidez ?

- Ouiiiiiii, j'ai été torture s'il vous plaît amenez moi à l'hôpital et appelez la police.

- Montez !

Puis soudain, il a reconnu ma voix.

- C'e... C'e.... C'est vous ?

Élisa s'est retournée et lui a foutu un coup de taser. Il l'a bien mérité !

Une fois à la maison, nous l'avons attaché sur une chaise, on attendait son réveil.

Une fois réveillé, Élisa dit :

- Bon, il se fait nuit, on ne va pas perdre du temps avec toi. On va te jeter dans l'eau avec les piranhas. Tu l'as mérité !

Il ne dit rien, de toute manière, je pense qu'il savait que c'était la fin donc quoi qu'il dise, ça n'allait pas arranger les choses.

Élisa et moi l'avions pris, puis jeté dans la piscine.

- J'espère que tu as vécu une belle vie, sache que la mienne, tu as détruit ! Pauvre con.
Dit Élisa.

La tête de Laurent était sous l'eau, il était occupé à se noyer, les trois piranhas se déchaînaient également sur lui. Je pense que là, il doit souffrir, mais d'ici quelques secondes, il ne sera plus parmi nous.

- Bon débarras.
Dis-je

- Par contre, il y a un problème. Il va falloir nettoyer la piscine.

- Merde, je n'y avais pas pensé.

- Bon, on va trouver un moyen, comme d'habitude !

C'est avec joie, mais avec prudence que nous nettoyons la piscine, fière de notre journée assez mouvementée.

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�� La suite dans le chapitre 8 ��