~Chapitre 19~

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À ÉCOUTER  : Troye Sivan - Wild



De : Charlie cohen

À : April Clark

Chère April,

Je suis ravie que tu m'ai envoyé un message, et secrètement j'attendais que tu fasse le premier pas ( c'est pas toujours facile pour nous les mecs ). mon voyage au Niger se passe bien, j'ai vu la vrai valeur de la vie en allant là bas. Je ne regrette rien, mis a part de t'avoir perdu. Tu vas me détesté de me voir dire ça mais je te remercie de ne pas avoir insisté pour que cette relation dure plus longtemps . Çà n'aurait pas été facile pour nous deux, tu avais raisons, les relations longue distance ne sont pas si facile que ça. J'espère tu vas bien de ton côté, que ta famille va bien aussi. Je suis navré ma connexion et plutôt mauvaise je crains de ne pouvoir t'appeler, désolé.

Charlie xxx

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Il faisait très chaud dans le bureau du proviseur, M.Stewart. Les ventilateurs au plafond ne faisaient que brasser l'air autour de nous. On pouvait même deviner qu'il avait chaud à en voir son visage aussi rouge qu'une tomate mûre, ainsi que les aréoles de transpiration sous ses aisselle. Le bureau en bois du proviseur était rangé, aucun papier ne trainaient. Il y avait juste le nécessaire cet à dire d'un taille crayon électrique, son ordinateur portable et une lampe pas très belle. Les papier et le reste était classée et rangée dans son armoire ou dans les placard de son bureau. Il avait les coudes passé et les mains croisées sur le rebord du bureau, l'horloge accroché sur sa droite m'agaçais. J'ai toujours détesté le bruit du tic tac sourd, les rares fois ou je venais dans son bureau c'est satanée horloge était là, j'étais obligé de supporter son bruit et quand, dieu merci je sortais du bureau je ne pouvais m'en empêcher de pousser un soupir de soulagement. Le pire du pire c'était l'odeur de son parfun... C'était l'H-O-R-R-E-U-R tout simplement. Mais, heureusement aujourd'hui il n'en a pas mit et l'air est respirable. Aujourd'hui nous sommes Mardi, je suis convoqué, hier quand ma mère a reçu un appel du lycée elle avait tout de suite accepter de venir « régler » les choses et m'avais accompagné dans le bureau. La mère de Jordan était assise juste à côté de son fils, tout comme nous. Elle avait les cheveux sec et blond qui étaient attachés en un chignon. Parfois elle jetait des regard méprisant à son fils, je l'ai même entendu le recalé avant que le proviseur fasse son apparition.

« Tient toi droit ! » lui avait fait t-elle la remarque.

Ma mère en avait fait autant et me regardais d'un air menaçant , ce n'était pas bon signe. Je fuyais le plus possible son regard.

- Je suis vraiment content que vous soyez venu aujourd'hui. Remercia M.Stewart en tripotant son stylo. Je vous ai convoqué car comme vous le savez vos enfants ont... (il fut prit d'une quinte de tous). Vos enfants on enfreint les règles de cet établissement. En effet vos enfants on été surprit dans la serre du lycée, normalement interdit au public. Il semble bien qu'un des élève l'ait ouverte et s'est amusé à jouer les petits malins. Dit-il en me fusillant du regard.

- Monsieur c'était Jordan qui y était en premier !! Me défendais-je.

- April ! Me gronda ma mère. Je t'en prie, arrête.

-Oui bon, ce qui est impose de savoir à jour d'aujourd'hui c'est que mademoiselle Clark et ses amis on volé un pot de peinture dans la salle de travaux pratique et l'a renverser dans la serre, monsieur Evans se trouvait à cet endroit au moment du carnage. Je ne sais pas si c'était une blague ou je ne sais qu'elle parie débile mais nous devons nous mettre d'accord sur un moyen pour le punir de leurs actes.

L'âge de raisonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant