Le printemps était bien là. Les arbres étaient en fleur et de petits bourgeons commençaient à germer sur les rebords de la route. Je n'osais même pas imaginer à quoi ressemblait la maison de Caleb en se moment. Ça devait être forêt et jardins fleuris.
- À cette période, la roseraie est baigné de soleil et les roses rouges et jaunes ressortent beaucoup plus du lot, m'avait repondu Caleb. Ce sont les préférés de mon père alors le jardinier les mets plus en avant.
- J'aime beaucoup les hortensias.
- Mes préféré sont les orchidées noires avoua Caleb. Les favoris de la mère sont les Camélias alors il y en a des tas derrière le petit salon à la baie vitrée.
Dans l'appartement où je vivais avant la disparition, le voisin du bas faisait pousser de magnifiques Camélias. Il m'en offrait même pour mes anniversaires alors que c'était les choses les plus précieuses de son monde depuis la mort de sa femme.
Il continua à parler jusqu'à ce que l'on aperçoit la ville tendis que je regardais les petits bourgeons au bords de la route. Il se mit alors à courir et se dirigea vers un coin éloigné du centre ville en me distancant de beaucoup.
Nous avions beaucoup de chance que Jazz soit apparue récemment. La ville était fraîche et propre. Dans le cas contraire, nous aurions fait face à une Ville Fantôme. Une ville qui n'aurait pas prit vie depuis un lapsus de temps allons de quelques mois à quelques années. Par exemple, la ville où j'avais rencontrée l'institutrice en était une et avait du être désertée depuis au moins 24 bons mois. Atterrir dans une Ville Fantôme était toujours très dur et déprimant, mais ne parlons pas de mauvaises choses. En tant que ville neuve, les voitures etaient encore sur la route ou garer sur les bas-côtés. Certains même continuaient à tourner.Caleb m'avait menée jusqu'à une résidence plutôt chic et s'acharnait à essayer de trouver une maison ouverte. A quoi bon lui parler maintenant ? Il n'ecouterait sûrement pas. Alors j'allais au bout de l'allée et admirais la ville à travers les arbres en l'attendant. Il finit par revenir et s' accroupir les mains sur son visage, tout transpirant. Il navaut même pas daigner retirer le sac de son dos.
- Laquelle tu préfère?
- Quoi ?
- Quelle maison te plaît le plus ?
Il soupira et capitule sous mon regard engageant :
- Celle avec le carbet et la marquise, dit-il en se passant une main dans des cheveux crasseux. Elle n'est pas mal
- Moi j'aime bien celle à deux étages avec la fenêtre qui ressemble à celle des châteaux de princesses et la balançoire dans l'arbre.
- On aurait dit la maison de la famille idéale.
- J'ai vécu dans un appartement en centre ville de ma naissance à la disparition. Alors pour moi, tu as raison ça représente la maison idéale.
Il se releva et ajusta la selle du sac. Caleb avait secoué et frapper toutes les portes de la résidence aucunes n'avaient cédé. Pauvre diable. Il avait presque atteins des limites alors je nz le fis pas souffrir plus longtemps :
-Si la pierre d'entrée est fermée, tu a toujours l'option entrée par celle de derrière, la fenêtre ou le toit, dis-je en montrant du pouce la maison que Cale avait choisis.
Et c'est ainsi que je me retrouvais à tirer Caleb a travers la fenêtre après l'avoir fait avec nos sacs respectifs. Il ne dit pas autant de manieres que moi et ne gena pas pour écraser les belles tulipes soigneusement entreposer au sol.
-J'en ai des plus belles chez moi, se vanta-t-il dans une râle pour se hisser dans le salon.
Une fois dans la maison, il se dirigea sans plus attendre vers la dame de bain, et malheureusement pour moi, il n'y en avait qu'une seule dans toute la maison. Alors en attendant, je vidais le frigidaire de deux quart. Il me fallu attendre deux heures avant de comprendre que Caleb ne sortirait pas avant d'avoir complètement réparer ces semaines de restrictions d'eau.
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A Sleepy World [EN PAUSE]
Science-FictionAlex est une adolescente prise dans un monde alternatif. Elle doit se débrouiller seule dans un monde où les personnes n'apparaissent que rarement et dans des périodes irrégulières. Pourtant, après sept ans d'irrégularités, quelqu'un reste à ses côt...