Chapitre 32

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Un pied devant l'autre. Pas de gestes brusques. Ne pas faire attention aux loups qui grognaient à mes pieds. Ne surtout pas penché vers le sol. Ne surtout pas pensé à ce qu'il pourrais arriver si je tombais.

Faire confiance à Caleb.

Caleb qui m'attendait déjà s l autre côté. Il avait proposé cela de façon à pouvoir me rattraper directement quand moi j'arriverai. Ça avait été Un moment de stressé autant pour lui que pour moi mais il y était arrivé alors il n'y avait pas de raisons que je ni arrive pas. Même si la barre de métal où je devait mettre le pied était incroyablement petite. Même si je n'avais pas foie en cette solution. Mais il n'y en avait pas d'autre alors autant le faire.

-Regarde devant toi !

Je me figeais sur place. Mon pied avait glissé et je m'étais rattrapée à temps. Mon coeur battait à tout rompre dans ma poitrine c'était incroyable. Les deux bras toujours ouvert s part et d'autre de mon corp et mon sac toujours cinglé à mon dos, je repris la progression après avoir souffler une bonne dizaine de fois. Arrivé à l'intersection, l'espace était déjà beaucoup plus grand pour accueillir mes deux pieds en même temps. Là je me posais un peu. Plus que trois mètres minimum à parcourir pour rejoindre Caleb.

- Ca y es. Tu y es presque. Regarde moi maintenant, je t'attend.

J'hochais la tête et recommenca mon funanbulisme en direction de lui. Mais les chiens ne l'entendaient pas de cette oreille. Ils commencèrent à frapper la classe de leurs pattes, déstabilisant ainsi la barre de fer sur laquelle je subissais les turbulances.

- Aaah !

Je me retrouvais suspendu dessus le vide... pas vraiment du vide... Plus ûvude avec des loups fous qui continuaient à frapper leurs pattes sur la vitre qui ne rêvaient que du moment où je lacherais cette fichue barre. Pourquoi ils ne l'avaient pas fait quand c'était Caleb qui passait ?

- Tiens bon ! Remonte, Alexandra.

- Fermé là juste Caleb ! J'ai... hé m'en sortirais mieux si tu ne me déconcentrées pas !

Je le vis serrer ses lèvres entre elles et froncé de sourcils. Du coin de l'oeil, j'apercevais même son pansement à la joue. Les deux bras tendu s le corps par dessus le vide, j'essayais de me calmer. Puis, prenant en compte les agitements à mes pieds, je commençais à pousser sur les bras pour remonter, utilsant mes pieds pour lieux faire. Puis je passais un piedde l'autre côté et le retrouvais finalement le ventre à m'accrocher contre le mouvement du barreau. Je repris mon souffle et commençais ma traversée sur le ventre en ne regardant que la poussière devant moi jusqu'à sentir les bras de Caleb entourer mon ventre. Je le laissais faire les forces m'ayant presque toutes quittés. Je regardais Caleb et son pansement et pensais "C'est terminer, enfin !"

- Tu l'as fait... et je l'ai fait. C'était facile, non ?

-Parles pour toi. Je n'ai jamais... non rien

Il me regarda un instant et se tourna en passant une main dans ses cheveux.De mon côté jebretirzis la sueur de mon front.

-Maintenant on peu se balader n'importe où sur le pâté de maison. Et en faisant attention, on peut même descendre et les semer en passant de l'autre côté.

Il détaillait ce qu'il disait en montrant des points invisibles du doigt. Je regardais dans le Mc Donald les loups se rabattre sur la vitre avant d'abandonner et de rejoindre la rue pour nous observer en montrant des dents. J'espérais vraiment qu'ils allaient disparaître vite. Je ne supportais pas cette impressio omni présente de danger. Je voyais bien que même Caleb ressentais cette sensation. Je le voyait trembler de partout et essayer de la cacher. Il devait être près de la crise de nerfs de la façon qu'il riait sans raisons. Je m'étallais sur le toit de fatigue en essayant d'oublier les bruits que faisaient les loups un peu plus bas.

A Sleepy World    [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant