Chapitre 23

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-Il pleut.

Oui il pleuvait. Il pleuvait et il faisait froid. Il pleuvait et il n'y avait rien à faire d'autre que de compter les gouttes de pluies.

- Oui, j'ai vu.

Nous étions le lendemain de la soirée ombres chinoises improvisé de Caleb. Et nous étions coincés car il pleuvait vraiment des cordes. Caleb avait décidé que nous resterions ici jusqu'à ce qu'il cesse de pleuvoir. Mais je connaissait se genre d'averses qui durait des jours entiers, et nous serions coincés ici pour un bon moment.

N'en pouvant plus, je me detachais de la fenêtre aux tulipes écrasés et me dirigeai vers la porte d'entrée.

- Où vas-tu ?

- Faire un tour, il fait beau aujourd'hui !

- Il pleut !

- J'ai vu.

Je me moquais de lui. Alors je me retournait vers lui. Il fronca les sourcils avant de faire un signe de la main comme pour dire "j'abondonne". Autre avantage que j'avais en étant seule, je n'avais pas à me justifier et j'étais libre de les mouvements. Mais jaurais fait la même chose pour Caleb. Juste par peur qu'il ne se volatilise durant mon absence.

Un parapluie et les clefs dans la poche et je m'en allais vers la maison de les rêves. Heureusement pour moi, j'avais pris des bottes car avec les quelques heures de pluies incessantes, les rues étaient déjà inondés. Malheureusement pour moi, la porte de derrière était verrouillée à triple tour et toutes les fenêtres toutes bloqués. Seule solution : la cabane.

Une cabane dans l'arbre avec des poster et des dessins, des provisions de bonbons pour tout un mois. Depuis cette cabane, je pouvais voir presque tout les toit de la résidence, et plus important encore, je pouvais accéder au toit et à la fenêtre de la maison.

- Il pleut des cordes et la seule idée que tu as, c'est de jouer les équilibriste sur une branche à 4 mètres du sol tout ca pour entrer dans une maison ?

J'entendais Caleb d'ici. Si je pourrais et que je me blessais, il lacheverais sûrement avec ses petits bras à spaghetti. Mais peu importe, ça allait être amusant de jouer les trompe la mort sous la pluie.
Je regardais en bas mon parapluie s'envoler dans l'allée et rayer une jolie voiture bleu nuit planté là. Je me degageais de la cabane et mis un pied mal assuré sur une branche mouillée. En une fractiin de seconde, je lachais tout et magripais à une intersectise entre les planches de la cabane, les deux pieds sur la branche qui subissait les rafales de vent de plein fouet. Je soufflais. C'était dangereux et exitant, comme si l'adrénaline avait surgit dans mon sang en même temps que les gouttes de pluie sur ma peau. Était-ce le fait de risuer sa vie ou le stresse, je n'en savais rien mais je commençais à sourir et même à ricaner. Et puis je lâchait la cabane pour le mettre à califourchon sur la branche. Et plus j'avançait, plus je me sentais vivante. Comme lorsque je laissais prendre mon pied au dessus du vide, au moins six étages entre le sol et moi, et sans garantis de savoir si le sol tiendrait mon poid durant mon sommeille. C'était... bon.

Arrivé au bout de la branche, je posais un pied sur la gouttière. Puis l'autre. Et je lachais la branche. Je commençais alors à grimper les briques de la maison alors que des pics de glace s'ecrasaient sur ma peau, les mains, les joues, le crâne, traversaient les vêtements et venaient paralyser mon dos, les jambes et rentrais y dans mes bottes. Je forçait de les mains glissantes pour ouvrir la fenêtre qui glissa dans problèmes. J'y rentrais avec soulagement et la refermais tout aussi rapidement.

Quelle idée de mettre unnshort de sport ? Mes cuisses et les jambes portaient des traces de griffures et mes mains étaient meurtris. J'étais gelée et tremblante, mais malgré tout, très fière de moi. L'adrenaline toujours presente en moi.

Un regard à où j'avais atterri m'indiqua que j'étais dans la chambre d'un petit garçon. Lit en voiture de cours, carte du monde sur le mur et dinosaures. Je pris la serviette qui était accrochée à l'armoire Et descendis, non dans etre passer me changer avec des vêtements chauds dans la chambre parentale. Tout ici était idéal et différent de ce que j'avais connu dans le petit appartement dans lequel je vivais.

Chez nous, tout était plus sobre et plus intime. Rien ne trainait jamais et ce qui devait être à sa place l'était. La chambre des patents aussi, dans les souvenir, je ne voyais qu'une chambre avec un lit, une commode et une armoire. Rien de plus. Ni photo, ni décoration, ni chaussures qui traînaient. Pour être honnête, je n'avais jamais trouvé de maison semblable à la mienne. Peut-être étions-nous jusque différents des autres familles. Plus strictes.
Arrivé dans la cuisine, je vis Caleb par la fenêtre. Je lui dit un sur a qu'il ne vit pas, absorbé dans la discussion qu'il avait avec... personne. Je m'appuyais contre la fenêtre en plissant les yeux. Il parlait face à lendroot qui devrait être la télévision et faisait de grands gestes visiblement contrarié. Il semblait être en train de hurler après celle-ci comme sur une vrai personne. Une personne cachée par le mur et non-visible. Je froncait les sourcils et m'approchais de la vitre du près que mon souffle formait de la buée sur celle-ci. Caleb sur quelque chose et fait un grand geste de la main avant de se retourner et de se prendre la tête dans les mains. Il se retourna finalement vers la maison et me remarqua enfin. S'en suivit alors un discution muette entre nous deux.

- signe la main de moi
(Salut)

-signe de la main de lui
(Hey)

- haussement d'épaules et montre de l'index en immitant une discussion
(Tu faisais quoi tout à l'heure? )

- souris et secoue la main
(Rien du tout)

- signe du "ok, alors ?"

- répond pareil à mon signe.

Je me detacha de la fenêtre et le pressa d'aller vers l'autre pour continuer à regarder on ne peut plus discrètement. Mais Caleb sen alla et je ne pu plus le voir. Que faisait-il comme ça ? Parlait-i-il à quelqu'un ? A qui ? Comment ?
Je m'assis sur une chaise et me calmais. Non, il devait se oarker à lui même. C'était juste impossible qu'il y ai une apparition aussi proche de la dernière. Et de toutes manières j'avais pu mal voir et donc mal interpréter les gestes de Caleb. Les gouttes s'ecrasaient sûrement contre le carreaux et m'enpechais de voir aussi parfaitement que je l'aurai voulu. Oui c'était ça. Mais malgré ca je me sentais un peu bizarre de l'avoir vu ainsi. Et s'il cachait quelque chose.

Je me pris la tête entre les mains en regulnt tant bien que mal ma respiration. J'étais en hyper ventilation. J'avais la tête qui tournais. J'allais sûrement mevanouir si je ne réagissait pas, alors jouvris le frigidaire qui avait presque perdu toute fraîcheur et m'emparais d'un gâteau et d'un verre de limonade en bouteille. J'allais dans le salon et mangea compulsivement jusqu'à plus faim. A la fenêtre, je mondd était redevenue gros et monotone avec seul le bruit de la pluie et moi, assise sur la moquette au milieu de jouets et de crayons éparpillés un peu partout sur le sol. Je me mis à ressentir la solitude de la solitude. Je redecouvrait ce qu'était d'être face à face avec soir même. Je n'étais plus la petite fille à qui cette solitude suffisait. Maintenant qu'il n'y avait plus personne, il me fallait de la compagnie et une présence. Je ne voulais plus etre seule. Je resentis alors le besoin à voir Caleb en face de moi. Je ne supportait plus la vue de cette maison idéale mais sans vie. C'était comme être riche dans un monde où l'argent n'avait pas de valeur. Je me levais, ouvris la porte et traversait la rue sans sentir la pluie et le froid tranchant, ni les pieds nu et gelés sur le bitume. J'ouvris la porte de la maison etrencontra le regard interrogatif de Caleb. Je sentais bien qu'il avait été en colère avant mon apparition, mais tout disparut quand il me vit.

Il s'approcha alors de moi et dans un souffle, il dit :

-Mais qu'est ce qu'on va faire de toi ?

Je souris et mes larmes se mélangeant à mes larmes je répondis dans un rire-sanglot :

- Absolument rien.

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Bonjour, bonsoir
Vous vous demandez sûrement pourquoi cette photo de couverture étrange. Et bien c'était juste pour vous remerciez de me lire et de laisser des commentaires aussi encourageants en motivants ♡
Je me suis mise sur Wattpad justement pour partager les histoires bizarre et les mettre sur écrit, est un peu compliqué mais qu'on on voit ça, ça donne envie de continuer.m !
Merci aux lectrices et lecteurs invisibles, à mes amis et à ceux qui osent sortir de l'ombre pour encourager les semi-mini-ricici écrivains que nous sommes !
Merci~

A Sleepy World    [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant