Partie 8

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POINT DE VUE D'IMRAN:

"Au clair de la lune
sahbi pierrot
Azy* donne ton phone
Que j'écrive un texto
La daronne est morte
j'ai plus de wifi
Azy donne ton code
Que je drague une gadji
Je parle ap* de plume
ici c'est le ghetto
Je finirais pas comme eux
j'te le dis et je pèse mes mots"

Je sors de l'université lorsque je vois Karima .
Elle est seul toujours avec cette tristesse dans les yeux comme pour me dire "regarde à quel point tu m'as détruit". Je suis juste sorti avec elle parce que Djamil son batard de frère s'amusait avec le coeur de ma soeur, Mawda. Il l'a trompé avec toutes les filles facile de la ville. De 1 il est sensée être mon pote alors je vois vraiment ce qu'il fou avec ma reuss* et de 2 ma soeur personne ne la touche. Je l'ai vu embrasser ma soeur donc j'ai dévierger la sienne car comme on le dit :
"Si quelqu'un te lance des pics lance lui des couteaux" sauf que là la vangeance est allée un peu trop loin cette foix. Premièrement parce que sah* Karima n'est pas une mauvaise personne et elle n'avait rien à faire dans cet histoire et pourtant je l'ai entré dedans .Elle me kiffait sincèrement. Je lui est promis la lune , le soleil , les étoiles, la terre, la poussière et tout ce qui avec. Je devais aller voir son père pour la khtob , on devait fondé une famille ensemble. Oui je lui avais promis tout cela et donc quand je lui est demandé d'aller plus loin ça n'a pas été si difficile . Malheureusement ça n'aurait pas être si facile, faire le batard puis me tirer comme si de rien n'était . Un enfant est né de cette "erreur" et aujourd'hui il a 8 mois. Même s' il a été difficile de l'assumer au début Salim est ma source de bonnheur today. Comme je le disais Karima était devant la porte de l'université , un jean un peu large et une tunique blanche s' arrétant un peu avant les genous . Elle tenait Salim dans ses bras . Hmm mon fils un bogoss comme son padré ! Je m'envence vers eux et je salut Karima elle me répond froidement depuis "l'accident "elle est devenu comme ça . On ne la vois même plus trainer dans le quartier .
Karima- ( en me tendant Salim sans vraiment me regarder) Tu peux le garder ce week ensuite Djamil viendra le prendre Lundi. Tout ce dont tu seras là (en me désignant une petite valisette ) .
Elle parlait sans respirer et sans me regarder . je pris Salim dans mes bras puis elle se retourna pour repartir.
Je rentre à la maison et je trouve ma soeur entrain de parler à quelqun depuis quelque temps elle commence à vraiment dijoncter . Elle veut héberger une go* qu'elle connaît que de FB chez nous . Le pire c'est que ma tante est d'accord. Ya rabbi*dans quel famille de ouf m'as tu envoyé ?
Elle fini de discuter puis vient vers moi. Elle me prends mon fils des bras et se met à lui sourire Salim il pleure direct mdr.
-Repose mon fils salle hafrita t es grave moche tellement ta face elle est horrible que le goss chiale*. Ça fait tiep* wAllah.
Mawda- Toi même t es jaloux de mon visage tu me dis quoi ?!
-Jaloux d'une merde ?! je crois pas nan .
Mawda- Thiiiiiiip
- WALLAH TU FAIS TROP LA OUF! JE T'AI DÉJÀ DIT D'ARRÊTER AVEC TON VIEUX BRUIT LÀ ! TU COMMENCES À ME LES CASSER
Mawda- calme toi mon imranichou d'amour
- pff toi je te promets t'as envie que je te giffle today...Je te préviens je te donne pas de fric
Mawda- mais nan mon ftère que j'aime ça n'a rien n'a j'suis pas comme ça !
- nan mais en sah Mawda tu veux quoi?!
Mawda- Bah tu vas Rokhaya elle vient demain et tu sais que le même jour j'ai cours en plus j'ai pas de gova*
- Et?!
Mawda- bah j'aimerais bien que tu ailles le faire pour moi(yeux de chat botté).
-nan!
Mawda- s' il te plait!
-nan!
Mawda- mais ...
-(je la coupe) YA ZEH* J'AI DIT NAN TU ENTENDS PAR OÙ ?!

Elle sursaute, Salim aussi,puis elle se lève pour aller dans sa chambre. Quelques minutes plustard elle revient en parlant au tel.
Elle s' assoit près de moi.
Mawda- (à la personne au tel) C'est gratuit il faut en profiter donc je t'appelais pour te dire que je pourrais pas te prendre à l'aéroport demain donc je t'envoi mon grand frère n'est ce pas Imran?!
POINT DE VUE ROKHAYA :

Lundi 02 août :
Sayez! J'allais vivre en France. Au fond ce n'est pas si mal. Je me rappelle des quelques voyages que j'ai fait là bas et c'est un très beau pays: les magasins, les centres commmerciaux, les grandes maisons de hautes coutures... mais pourtant je ne veux pas partir!
Le Québec c'est toute ma vie. Il y'a tellement de beau moments que j'y est passé avec ma mère, mon frère, mes soeurs . On s' amusaient à jouer dans la neige pour tous chopper un rhume le jour suivant, mais on s' en foutait. On était quand même heureux. J'ai mal quand je repense à ces moments mais breff il faut se faire une raison les gens autour de moi ont tous
changer et ma reine est partit. Je serré sa lettre contre mon coeur avant de parcourrir la première page en boucle. C'était devenu un rituel à chaque fois que je n'avais rien à faire je lisais sa lettre sans pour autant avoir le courage d'entamer la deuxième page.
Mais je ne pleurais pas ... Je vous ai bien dit que je ne pleurerai plus !

Il était environ 7h et le vol était programmé pour 9h. J'ai mis une robe rouge s' arrêtant en bas des genous et des talons noirs puis j'ai pris un taxi jusqu'à l'aéroport.
[...]
Me voilà dans un avion une fois de plus je relis la lettre de ma mère. Hmm Nadia pourquoi laisses tu ta fille souffrir ainsi hein ?! Tu aller si bien quand t'étais encore là maintenant ma vie n'est que déprime et morosité.
La voix annoçant le décollage me sortis de mes pensées . J'avais promis que je ne pleurerais plus mais c'est si dure ! Je ferme les yeux pour ne pas laisser échapper de larmes.
Allez! Je ne suis pas une faible ...
Je ne suis pas une faible ...
[...]
Enfin le calvert est fini. Ces septs heures de vols m'ont semblé une éternité. Mawda m'avais dis que son frère me reconnaitrais facilement car elle lui avait montré une photo de moi. Elle m'avais aussi dis qu'il a été difficile de le convaincre à venir mais qu'il a fini par céder.
Je déambule dans l'aéroport lorsque je vois un jeune homme avec une pancarte où mon nom écrit. Comme l'avait prédit Mawda il était habillé d'un t-shirt blanc , un jean, des baskets noires plus une veste en cuir de la même couleur.
Sa soeur n'avait pas tord , il avait un tein bazané des yeux verts émeraude et une musculatures à couper le souffle. Mon Dieu je bave . Je me dirige vers lui, arrivé à sa hauteur je lui sourit et lui tend ma main. Il regarde ma tenue de haut en bas puis me fixe avec dégout. Okay déja lui il est pas poli!
Frère de Mawda- (froidement) C'est toi Rokia
-(souriante) je pense que c'est Rokhaya et oui c'est moi !
Frère de Mawda- (temperature de frigidaire) Azy m'embrouille pas pour un blaze moi c'est Imran
-Quoi ?!
Frère de Mawda- j'ai oublié que t'étais une bourge juste retiens que je m'apelle Imran .
On se dirige vers la sortie alors que je galairais avec mes valises il etait loiiiiiiiin devant.
Il se retourne l'air en colère (en faite il est tout le temps en colère ce garçon).
Imran- OOH TU TE DÉPÉCHE
- MES VALISES SONT TROP LOURDES!
Ils vient me les soulever . hmm trop mignon!
- Merc...
Imran- (il me coupe ) Azy ton accent il donne mal à la tête.

Enfaite il est pas mignon du tout! On arrive dehors et il m'amène vers une petite audi. Il jette mes valises dans le coffre.
-doucement y'a mon portable dedans
Imran-TA GUEULE T'AVAIS QU'A LES PORTER TOI MÊME
-t'es pas obligé de crier
Imran- J AI DIS TA GUEULE TU CASSES LES COUILLES UNE MIGRAINE LA MEUF !
Il me pousse dans la voiture, claque la portière puis démarre.
Je suis outrée !

Merci pour tous les votes j'ai ecris une très longue partie mais à cause du stress the Voice j ai pas vérifié si Slimane ou M14 ne gagne pas alors je peux plus rien pour la France. Sincèrement les deux autres ils valent rien nak.
ALLEZ SLIMAAAANE

 Rokhaya : L'islam ma Religion ,toi ma passionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant