NUMÉRO INCONNU TOME 3 [HS] - TERMINÉ

Chapitre 49 [ Harry ]

RU - Londres
19 mai 2018
02h06

Me retrouvant seul dans les couloirs pales de l'hôpital. Je me suis installé sur une rembarde. La tête indignement baisser vers le bas. Je me remet en question.

- Harry ?

- Oui, Vanessa ?

- Tu devrais rentrer chez toi. Tu es fatiguée, dit-elle en posant une main sur mon épaule.

- Non.

- Tu vas bien ?

Elle est stupide, où... Je ne préfère même pas continuer ma phrase. Je risquerai de dire des méchancetés.

- Tout es de ma faute comme d'habitude. J'ai trouvé une femme que j'aime vraiment avec qui je veux faire ma vie mais j'ai peur de la perdre en la fessant souffrir ainsi. Je baisse la tête. Je ne peux pas rester avec elle.

- Ce n'est pas de ta faute, tu ne pouvais pas prémédité cette accident et encore moins l'empêcher.

- C'est moi qui aurait dû souffrir car je ne suis qu'un putain de monstre qui détruit toutes traces de bonheur sur son passage, m'énerve-je.

- Ce bébé, n'était juste pas destiner à être à vos côtés.

- Laisses-moi, tu racontes que des conneries.

Je me suis retourné, la laissant seule derrière moi entrain de râler comme à son habitude. Elle ne changera donc jamais.

Après quelques minutes de marche, mon corps se retrouve dans la chambre d'hôpital d'Alyson étendu dans un lit les yeux fermer. J'avais oublier à quel point, elle était belle quand t'elle dort.

Je m'installe sur une chaise en metal à côté d'elle, levant ma main droite pour lui caresser la joue mais une hésitation tétanise ma main qui tombe aussi tôt sur le matelas dure.

Je mords ma lèvre inférieure pour étouffer mes sanglots.

- Étrangement, bébé. J'ai l'impression que je ne peux plus t'avoir, n'y te toucher et n'y t'entendre.

J'avale ma salive difficilement.

- C'est la première fois que je verse au tant de larme pour une personne, rigole-je. Mais tu n'es pas une personne, tu es mon unique amour.

Un léger bruit de ronflement me répond. Son ronflement tellement adorable, va me manqué. La voire dormir va me manqué. La regarder va me manquer. L'embrasser va me manquer. La voire manger à sa façon va terriblement me manquer. Je pourrai continué ma liste ainsi indéfiniment car j'aime tout chez elle. Elle est parfaite pour moi.

- Même si je tente de le dissimuler par dessus mes aires de gros connard arrogant. Tu es devenu une parti de mon cœur.

Des larmes coule le long des mes joues.

- Tu penseras au moins une fois à moi quand je partirai et aussi à nous au moins de temps en temps. Le temps que nous nous rencontrons de nouveau, hein ?

Je me sens tellement stupide de parler à une personne qui dort à point fermer mais cela me fait étrangement du bien, un sentiment de retirer un poids lourds de mon cœur s'évapore dans les aires.

- J'attendrai, bébé.

Je l'embrasse tendrement sur le front, les larmes dégoulinants à flot tout en déposant une lettre blanche sur son chevet où une heure avant je lui avais déposé des roses rouges, ses fleures préférés.

- Ne m'en veut pas, c'est qu'un au revoir temporaire.

Je pense.

Mes pieds s'avancent difficilement vers la sorti. Une fois la poignet entre mes mains, je lance une dernière phrase tout en restant droit.

- Au revoir mon amour.