Chapitre 3

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Chapitre 3




Je me réveil avec un mal de tête atroce, Pour soulager ma douleur je décide d'aller prendre un médicament. En sortant de ma chambre, je fais tout doucement pour ne pas réveiller Christian qui dors toujours dans le salon. Je chipote dans le tiroir de la cuisine après un Anti douleurs qui une fois trouvé avala en buvant une gorgé d'eau quand quelqu'un rentre dans la pièce en fessant sursautant.

- Salut dis une voix rauque qui n'est autre que celle de Christian. Je lui répondis par un bref sourire et n'ayant pas de réponse il poursuit ; Ça ne va pas ?

- J'ai juste un peu mal la tête mais cava lui dis-je.

- Pourquoi tu es sortie dehors hier ? Je te cherchais partout... J'ai cru qu'il t'était arrivé quelque chose.

J'aurais bien voulu lui expliquer mais je me voyais mal lui dire « Ho tu sais deux mecs se sont entre tués pour moi » Il se poserait un tas de questions. Je lui mentis en lui disant simplement que j'avais envie de prendre une bouffer d'air frais mais Christian n'est pas dupe.

- J'étais trop occupé à regarder les mains un peu trop baladeuses de Jason sur le corps de ma sœur dit-il simplement.

- A vrai dire je l'avais compris, Il peut être parfois agaçant à vouloir surprotéger sa sœur même Louisa lui reproche souvent. Celle-ci arrive à son tour et elle a aussi des maux de tête mais elle est également très enrhumée ceci n'est pas une simple gueule de bois car de plus elle n'a pas bonne mine du tout.

- Merde comment je vais faire pour aller travailler avec papa dit-elle en essuyant son nez qui coule.

- Je veux bien y aller pour te remplacer si tu veux ? Elle acquise. Je vais aller appeler ton père pour lui dire.

Avant d'appeler Marc, je décide de m'occuper un peu de Louisa en lui donnant un Dafalgan.

- Hallo marc, C'est Naomie.. Je te contact parce Louisa n'est pas bien et je lui ai proposé de la remplacer pour qu'elle se repose un peu. Ça ne te dérange pas ?

- Non non, Il y pas soucis.

Il tient à ce qu'elle soit en forme pour Lundi car sa vraie vie commencera enfin. Je vais vite me prépare dans ma minuscule salle de bain pour ensuite me rendre au Carson Muséum.

- Tu y vas comment ? Intervient Christian avant même que j'ai franchis la porte d'entrée.

- J'ai appelé un taxi, lui dis en roulant des yeux.

- Hors de question que je te laisse prendre le taxi je t'emmène dit-il d'un ton autoritaire. Je vois ma meilleure amie en train de me faire un grand sourire l'aire de dire « Accepte vous été si mignon ensemble ». Hier elle fessait celle qui s'en fou et aujourd'hui elle réagit comme si elle voulait me pousse dans ces bras. J'accepte donc la proposition de Christian pendant le trajet c'était le silence total. Lui qui a toujours un sujet de conversation. Je le considère comme un frère. Arrivée au Carson muséum, Christian m'accompagne pour aller saluer son père celui-ci étant dans son bureau.

- Bonjour Mr. Carson dis en pénétrant dans la pièce suivis de son fils qui salue également son père d'une poignée de main virile.

- Bonjour les enfants, Naomie pourrais-tu aider dans l'atelier aujourd'hui s'il te plaît ?

Je réponds d'un signe de tête et me dirige vers l'atelier. C'est là où on reçoit les nouvelles pièces d'art ou on les déballe et ensuite elle part dans une autre pièce ou des expert les analyses. Il contrôle ainsi pour savoir s'il s'agit d'une copine ou de l'art authentique. IL est très rare qu'ils reçoivent des copies. Marc fait toujours son possible pour posséder les originales. Après plusieurs heures de tri et de rangement, Je m'occupe de la dernière œuvre qu'il reste. En déchirant le papier qui la protège j'aperçois un tableau magnifique ; Les époux Arnolfini de Jan Van Eyck.

- Belle toile n'est pas... fis une voix d'homme derrière moi. Il s'agit de celle de Marc ou j'en étais.

- Elle est magnifique lui dis-je en admirant la magnifique peinture sur bois de ce peintre Flamand.

- C'est probablement l'authentique... Du moins je l'espère dit-il en regardant lui aussi la peinture avant de poursuivre ; Tu as fini pour aujourd'hui, Merci de ton aide Naomie. Meredith et moi t'invitons à venir manger à la maison se soir.

J'accepte sa proposition. Il me demande donc d'aller chercher mes affaires que j'ai déposé tout à l'heure dans le casier pour se rendre ensuite chez lui ensemble. Après quelques minutes de trajet, Nous arrivons devant un énorme portail noir que le chauffeur ouvre avec une télécommande à distance. La barrière s'ouvre doucement pour aussitôt se refermer derrière nous. La propriété des parents de Louisa et Christian est immense. Une allée illuminé part de hauts lampadaires et un parterre de chaque côté inondé de jolie fleure violette. Et dire que j'avais le même mode de vie avant la mort de ma mère. Le chauffeur me sort de ma rêverie en m'ouvrant la portière puis me tend sa main pour m'aider à sortir de la limousine.

- Naomie dis ma meilleur en m'enlaçant. Elle est un peu moins enrhumée que tantôt il me semble. En m'agrippant le bras, elle me tire jusqu'au salon ou son assis Christian et Meredith que je vais saluer. Après quelques heures de discutions, la gouvernante viens nous avertir que le dîner va être servis. Christian fait ressortir son côté gentleman en me prenant la main pour m'aider à me relever.

- Vous été si beau tous les deux dit Meredith en apercevant le petit brin de délicatesse dont fait preuve son beau-fils envers moi. Louisa elle ne pt s'empêcher de rire avant de prendre la parole.

- Je soupçonne une certaine romance entre ces deux la dit-elle en me fessant un clin d'œil.

- Nous ne sommes pas ensemble. Il est comme le frère que je n'ai jamais eu fis je en lui donnant un léger coup de pied par dessous la table.

Suite à ma phrase Meredith bu la gorgé de vin qu'elle avait dans la bouche de travers, Le regard de Mr. Carson ce dirige vers son épouse comme s'il essayait de la rassurer de quelques choses. J'ai d'ailleurs trouvé leurs réactions bizarres

Il est 22h30, je décide de rentrer à l'appartement Marc demande a son chauffeur de m'y raccompagner étant donné que ces enfants reste dormir à la maison. Je m'endors dans la limousine.

- Vous été arrivé à votre domicile me fit gentiment Neil en me secouant un peu.

Je le remercie de m'avoir raccompagné, Il Vielle à ce que je vois rentré dans l'immeuble avant de redémarré son véhicule. Je cherche mes clés dans mon sac que j'insère dans la serrure et en ouvrant, j'entends un bruit de froissement de papier au sol. J'aperçois une enveloppe de couleur bleu. Pendant un instant j'hésite à l'ouvrir mais ma curiosité l'emporte.

« Je t'aurais »

Pact with the DevilOù les histoires vivent. Découvrez maintenant