Chapitre 9

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Chapitre 9

J'ai quitté son bureau avec une pulser d'adrénaline théâtral inégalante dont je viens de découvrir l'existence. C'est n'est pas dans ma nature de m'énerver ainsi, Il se prend pour qui de fouiner dans ma vie ?

Le plus révoltant c'est d'apprendre que celui avec lequel je partage mon bureau n'est pas mon collègue mais en réalité mon demi-frère. J'étais sous la pluie inconsciente et sans même m'être rendue compte, je suis à présent au volant de ma voiture. Je tourne en rond, J'hésite.

Ma réaction a-t-elle été abusif ? Je pense avoir comportement excessif, j'en ai profité pour le remettre à sa place une bonne fois ! Je n'ai aucunement l'intention de m'excuser quitte à perdre mon emploie. J'ai été engager dans l'une des plus grosses entreprises de Londres cependant le succès ne m'intéresse pas !

Je suis totalement désorienté par mes pensées. Complètement indécise dois-je y retourner ? ou bien rentrer chez moi ? J'aperçois un bar sur ma route. Je décide de m'y arrêter afin d'y prendre un verre. Le barman me demande ce qu'il me sert à boire et fus étonné lorsque je lui demande un Whisky. Qui une fois servis j'avale cul sec.

- Faite attention ma petite demoiselle... c'est de l'alcool pas de l'eau fis le barman.

Je lui adresse un simple sourire puis recommander un autre. Je ne serais dire combien de verre j'ai bu mais j'ai déjà la tête qui tourne mais même étant soule : Je ne pense qu'a une seule personne ! Marco barattieri est un homme qui me rend dingue... Il m'attire peu à peu dans ses griffes et je déteste ça.

Il est sans aucune doute aussi l'un des plus beaux hommes de Londres. La démarche fière de sa corpulence castard munis d'une amplitude gracieuse. Un visage qui sous toute cet froideur, j'en suis sûre est probablement très doux. Ses yeux flamboyant me iris le poil lorsqu'il se pose sur moi. J'ai déjà frissonner au simple contact de ses mains musclé sur mon corps. Il est très instruit, ambitieux mais aussi cruel et insupportable. Il est loin d'être hideux et me rend dingue avec sa jolie gueule.

En parlant d'hideux, Il y en a un qui me dévisage depuis un petit moment. Il est loin d'être déplaisent mais même bourrer Mr. Barattieri occupe mon esprit. Ses prunelles me dévorent que j'en profite pour rompre le silence.

- Quoi qu'es que tu as ? Toi aussi, Tu comptes me baiser dis-je furieusement en ayant de bien articuler.

- Hein quoi ?

- Ouais, Tu m'as bien comprise ! Vous été tous les mêmes

- Nous... Mais, je lui coupe la parole avant qu'il ait terminé sa phrase.

- Tu comptes m'offrir un verre ou dois-je le commander moi-même ?

Une voix s'adresse à l'homme qui me tiens faussement compagnie ; Hé Antonio, Tu drague encore de jolie demoiselle. Je me retourne et vois un regard la mâchoire serer s'assombrir lorsqu'il découvre mon visage. Je suis surprise en voyant celui que j'ai quitté dans la journée. Marco me reluque, Il s'avance vers moi puis me retire le verre que je tiens.

- Qu'es que tu fais ?

Il s'adresse à moi en levant le ton comme si j'étais sa copine ou a ce qui y ressemble. Je fais la sourde oreille, Je savais que je devrais l'affronter a nouveau mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit aussitôt. Je m'empare de mon sac prête à quitter le bar. Antonio observe sa scène avec un air étonné ou apeuré de m'avoir dragué je n'en sais trop rien...

Quand à Marco, il essaie de s'emparer de mon bras dont j'arrive à me dégager. JE SUUIS TROP SOULE POUR REPRENDREE LA VOITURE. Heureusement qu'il n'y a pas beaucoup de trajet à faire du bar à mon appart. J'essaie d'être la plus prudente possible. Il est tard pour trouver une place de parking, je suis contrainte de parquer ma voiture plus loin que prévu.

Il me reste un peu d'esprit pour réfléchir un peu. Je bouge tout objet visible qui pourrait occasionner un vol. En marchant, je suis très stressée. J'entends des sifflements au loin mais je n'y prête pas attention... j'active le pas pour rentrer au plus vite et je heurte un corps flasque. Il n'y a pas un seul homme mais trois qui m'encercle. Mon corps est pétrifié contre du béton froid. Il y en a un qui pose ses mains velues sur ma chair qui frisonne de peur. Ils sont vraiment dégueulasse. J'aimerais pouvoir me débattre néanmoins l'alcool ne ment donne pas la force. Je guète les alentour afin d'appeler au secours cependant l'un des deux hommes restant repère mon stratagème. Il pose sa main sur ma bouche pour étouffer mes cris de détresse. Tandis que la troisième rigole et déboutonne mon pantalon. Mes yeux s'humidifient, J'entre dans une spirale destructrice qui est le trou noir.

La bouche pâteuse. Mes yeux s'ouvrent dans une pièce qui m'est inconnue. Je viens me réveiller dans une chambre qui n'est pas la mienne. Cet endroit ne met pas familier non plus. Je sors du lit me dirige vers la porte qui est verrouiller. La tête en compote, J'essaie de me souvenir tant bien que mal de la soirée d'hier. Des fragments avec les trois hommes me reviennent. Il y a qu'une seule explication, je me trouve surement chez l'un de ses psychopathes.

Je commence à regretter d'avoir abuser de l'alcool. Je cherche désespérément après mon sac que je trouve, Je l'explore pour dégoter mon téléphone. Il n'y est pas... pourtant je l'avais belle et bien dans mon sac. J'analyse la chambre qui dois-je avouer est magnifique équiper d'une salle de bain. J'aurais très bien me trouver dans un endroit lugubre tel une cave. Mon kidnappeur préfère me traiter comme une « princesse ».

J'allume doucement la douche et règle la température de l'eau. J'aperçois un poste radio qui une fois brancher, c'est l'une de mes chansons préférées - New love de Maroon 5. Dans la douche italienne, je me mets à chanter ;

What the fuck, I got nothing to lose

I'm a slave to the way that you move

I'm an addict for all that you do

You're the only drug I wanna do yeah

I can tell that you're needing my love

And all I want is to give it to you

And don't give up on the moment tonight

You'll regret it the rest of your life

Je danse en me savonnant, une fois mon corps totalement recouvert de mousse que je m'apprête à rincer. Mon corps se fige en apercevant une silhouette appuyer contre la feuillure de la porte. Il me dévore des yeux. Avec la buée, j'ai du mal a distingué la personne qui est plutôt amusé part le spectacle. J'essaie de m'emparer d'une serviette pour cacher ma nudité. L'inconnue la prend et me la tend.

- Le spectacle n'était pas déplaisant fis la voix masculine.

Cette voix...Putain... C'est celle de Marco ! Je retourne munis d'une serviette dans la chambre. C'est surement encore l'une de ses idées de payer des hommes répugnant afin de me foutre la trouille. Bien que je croie incapable de faire une chose pareille, Il se bat à la loyal. J'ai toujours su qu'il était très bizarre mais delà a me séquestré pour obtenir ce qu'il veut... Il est complétement dingue ! J'attrape mes habits afin de profiter pour m'éclipser part la porte qui étais fermé. Marco me saisit le poignet et tire avec son autre main la serviette qui recouvre le corps. C'est la première fois que j'entends un rire chaleureux sortir de sa bouche. Ce son est très agréable à entendre.

- Pourquoi suis-je ici ?

- Je t'ai suivi. Tu veux me passer un sermon ou me remercier d'avoir été là au bon moment ? Il se racle la gorge.

De toute évidence, Il est énervé d'avoir vu trois hommes posé leurs mains sur mon corps. D'un geste inattendu, je lui dépose un baiser sur sa joue râpeuse part une barbe naissance. J'en profite aussi pour lui souffler un merci au creux de son oreille. Les yeux de Marco son devenu étincelant de désir. Il me plaque le corps contre le mur. Ses doigts frôlent ma peau nue. Je frisonne a son contact qu'il en souri. Délicatement ses lèvres se pose sur les miennes, Comment décrire le baiser qui m'est offert à part magique !

- Accepterais-tu un second pacte ? Je le regarde perplexe. J'aimerais que tu passes la journée avec moi !

- Pourquoi devrais-je accepter ?

- Parce que j'ai envie de rendre une femme que j'ai rendu triste à nouveau heureuse... dit-il subitement. 


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