Bonus #3

26.3K 1.5K 55
                                    

DÉSIR ÉVEILLÉ

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.


DÉSIR ÉVEILLÉ

Marteau en main, j'essayais d'accrocher le magnifique tableau qu'Ivy m'avait peint.

- Les récompenses de la Fédération de Boxe, c'est de la merde à côté.

Elle rigola, gênée. Ses joues s'empourprèrent, elle était tellement mignonne.

- Tu veux boire quelque chose ? Lui demandais-je.

- Tu as du thé ?

- Non, mais Jason peut aller en acheter.

- Non, c'est pas la peine, ne le dérange pas. Tu pourrais y aller toi, me nargua-t-elle.

- Dans ce cas là, tu viens aussi.

- Quoi ? Mais c'est moi l'invitée !

- L'invitée qui veut absolument du thé, alors tu lèves tes jolies petites fesses rebondies et on y va.

Elle soupira et se leva, résolue à me suivre. Elle posa ses petites mains sur ses fesses et je rigolais de sa naïveté.

- Pour éviter que ton regard ne dérive vers mes « jolies petites fesses rebondies ».

- Chérie, je te les palpais y a de ça 10 minutes. Je peux te dire que j'ai pas fait que les regarder.

Et j'avais adoré ça. Putain, qu'est-ce que j'avais aimé la sentir contre moi. Son parfum avait envahi mes narines et le désir s'était emparé de mon corps. Alors, oui, je n'oublierais pas, et je ne risquais pas d'arrêter de la mater.

Une fois dans le magasin, elle se rendit immédiatement dans le rayon des boissons, et choisis plusieurs thés. Je soupirais devant ses bras chargés.

- T'es au courant que tu seras la seule à les boire?

Elle haussa les épaules avec désinvolte et me fourra le tout dans les bras.

- Tant qu'on est là, j'ai besoin de nouvelles bandes de cires.

Je grimaçais, l'imaginant s'arracher les poils et hurler à la mort.

- Dans ce cas là, je vais racheter des capotes.

En revenant du rayon, j'attrapais un chariot et le traînais derrière moi, rejoignant Ivy. Elle déposa ses affaires et en relevant la tête, elle me lança un drôle de regard.

- Ah ouais, t'exagères pas toi.

- Sachant qu'à chaque fois que je couche, on remet le couvert deux ou trois fois...bah, je finis vite le paquet.

Elle leva la main pour me stopper.

- Je m'en fiche de savoir avec combien de fille tu couches, ou même combien de fois. Je sais pas à quoi tu joues, mais arrête.

- T'es trop susceptible.

- Connard, murmura-t-elle.

Je levais les yeux au ciel alors que j'arrivais à la caisse pour payer. Après ça, Ivy voulu absolument aller faire les magasins dans la rue marchande d'à côté.

Retrouvailles Où les histoires vivent. Découvrez maintenant