Vie Fantôme (Livaï x reader)

Le fantôme du QG

Avant de commencé l'histoire, un petit rappel des codes des x reader :
[t/p] = ton prénom
[t/n] = ton nom
[c/y] = ta couleur des yeux
[c/c] = ta couleur de cheveux
[l/c] = ta longueur de cheveux
[c/p] = ta couleur de peau
[c/f] = ta couleur favorite
[n/f] = ta nourriture favorite
Bon je pense que c'est tout au pire, si j'en rajoute je les expliquerai au fur et à mesure. Sur ce, bonne lecture ^_^

Pdv Livaï
Après avoir passé une journée épuisante, comme d'habitude, je m'étais enfermé dans mon bureau pour ne plus être dérangé. Comme toujours, une énorme pile de papier avec plus ou moins d'importance m'attendait. Celui qui me donne toute cette paperasse, c'est Erwin, le major. Il sait très bien que ça m'irrite au plus au point de remplir ces papiers. Pourtant il continu à se décharger en me donnant tout le boulot. Après tout il n'est là que pour commander les troupes et faire beau devant les civiles. M'enfin, je dis du mal de lui mais je le respecte pourtant énormément pour tout le mal qu'il se donne au sujet du bataillon d'exploration.

Cela fais plusieurs heures que je travaille sur cette paperasse quand soudain je sens une présence qui n'était pas là avant. Instinctivement, je fais mine de rien et attrape discrètement un poignard caché sous le bureau. Je relève la tête vois une ombre dans la pièce, me lève et me précipite sur la silhouette avec une rapidité impressionnante. J'ai attrapé les poignées de l'ombre et ai mis le couteau sous sa gorge. Je l'attire à la lumière et observe l'intrus. C'est une jeune femme, elle a une [l/c] chevelure [c/c], une silhouette fine et des yeux [c/y]. Sa peau [c/p] était dépourvu d'imperfection et brillait légèrement avec le reflet de la lune déjà haute dans le ciel. Elle m'adressa la parole sur un ton calme et assurant:
- Impressionnant! Il doit y a voir une astuce, non ? Bref je ne suis pas dangereuse donc pas la peine de me menacer.
Je resta perplexe, je dois avouer que c'est la première fois qu'on me fais ce coup la.. Bien-sûr, je ne bougea pas d'un poil et elle développa sa précédente phrase:
- Je ne suis pas une menace, parce que contre un soldat d'élite comme toi, (je tiqua au tutoiement) je ne tiendrai pas une seule seconde et tu en a la preuve. De plus si je voulais vraiment m'en prendre à toi, je l'aurai fais à l'instant même où j'étais rentrée dans la pièce.
Je réfléchis et au bout de quelques minutes, je la lâchais, baissais mon poignard mais le gardais toujours dans la main, par précaution et dit :
- Pas faut..
Elle me sourit et fis un pas en arrière.
- N'a tu pas du travail ?
- Ouais. Mais plus important, nom, prénom, âge et raison de l'intrusion dans mon bureau en pleine nuit.
- Je m'appelle [t/p], je ne juge pas nécessaire de te dire mon nom de famille. Ensuite on ne demande pas l'âge d'une dame, mais disons que j'ai passé le cap de la vingtaine et je m'ennuyais.
- Pardon ? Tu t'ennuyais? C'est pour cette raison que tu as enfonçait la porte de mon bureau et t'es introduit dedans ? De plus tu n'a pas l'air d'être un membre du bataillon, donc tu t'es infiltré dans le QG?
- Hum.. Oui bon.. Dit comme ça..! Mais en gros c'est ça!
- Tch.. Les gamins.. Bon, maintenant sors avant que je ne donne l'alerte.
- Non.
Je relevais un sourcil d'incompréhension.
- Je ne tenais pas à en arriver là mais, tu ne me donne pas le choix. Je vais t'arrêter ici et maintenant pour ensuite t'emmener au Major qui décidera de ton sort.
- Ou alors, je reste sagement ici sans te déranger et repars au levé du jour.
- Il en ai hors de question. Tu n'est ni une connaissance à moi ni un membre du bataillon d'exploration, de plus tu vas salir mon bureau.
- Aller ! Je reste sagement dans mon coin et je ne toucherai à rien, donc je ne vais rien salir !
- Tch.. T'es chiante gamine. Je te laisse rester ici, mais si tu es toujours là au lever du jour, ça va mal tournait pour toi.
Elle hocha de la tête et me remercia en souriant.
- Merci, hum..?
- Caporal-chef, Livaï.
- Merci Livaï !
- Tch.. Le respect on t'a pas appris ?C'est caporal Livaï.
- D'accord.. Caporal Livaï.
Je me rassis à mon bureau et lui montra la chaise en face de moi d'un mouvement de tête. Elle s'y assis et regarda le sol. Je me remis au travail. Au bout d'une ou deux heure, elle m'interpella:
- Qu'est-ce c'est exactement ?
Je lui répondais sans relever la tête et en continuant ce que je faisais.
- Des papiers administratifs à la con. Je dois juste les signer ou remplir deux trois lignes avec du blabla inutile.
- hum.. Tu n'aime pas ça ? Remplir des papiers sans importance pendant des nuits entières, c'est pourtant captivant! Dit-elle avec ironie.
Je ne lui répondais pas et continuer. Elle repris :
- Tu dois être épuisé à passer sans cesse des nuits blanches puis à passer des journées très longues et épuisantes.
Je relevais la tête et la regardais dans les yeux.
- Et alors ? Que veux tu que j'y change ?
- Je ne sais pas..
- Tch. Alors ne parle pas pour ne rien dire.
- Puisque tu as trop de papier, tu ne devrais pas demander à quelqu'un de te décharger ?
- Non, puisque c'est mon rôle et que je décharge déjà le Major.
- D'accord..
Je replongeais dans mon travail. [t/p] dit sur un ton qui montrait que c'était une évidence :
- Dans ce cas, tu n'a cas aller te reposer.
Je relevais la tête étonné.
-Mais il faut que je finisse pour demain. J'ai pas une vie aussi simple que la tienne, gamine.
- Va au moins te reposer une heure, il faut que tu dorme un peu. En plus tu as presque fais la moitié!
- C'est vrai mais je peux tenir, je fais ça à chaque fois. Donc merci, mais je n'ai pas besoin de ta pitié et je ne vais pas aller me coucher. Même si je le faisait, je n'ai pas du tout confiance en toi donc te laisser seule dans la pièce avec moi entrain de dormir n'est pas une bonne idée.
- Pourquoi ? Tu as peur que je dérobe quelque chose ? Ou que je tente de te tuer dans ton sommeil ?
- Exactement.
- Ce que tu es têtu ! Puisque je te dis que je ne suis pas une menace !
- Tch, fais pas chier gamine. Je t'ai laissé rester dans mon bureau, pas me dicter ce que je dois faire.
- Pff.. Ça sert à rien on dirait.
- Tu as compris.
Je me replongeais dans ma paperasse.