Unbelievable - LS

Seul.

POV LOUIS :

Je me réveillait avec un mal de dos, doublé d'un mal de tête, triplé d'une douleur à la mâchoire... autant vous dire que je souffrais beaucoup... tout ça à cause de ce connard d'Enzo. Je crève la dalle, alors que j'aurais pue avoir un dîner de roi, si ce fils de pute m'aurait pas voler.

Je me relevais et partis à la recherche du nom de rue dans laquelle je me trouvais.

- Boulevard de Virio... putain !

Je me retrouve à l'autre bout de la ville... super... !
J'ai dû changer de ruelle, lorsque j'ai remarquer un groupe de mecs, tous aussi torché les uns que les autres. Ils s'étaient petit à petit approchaient de moi, en me lançant diverses insultes. Avant que l'un deux ne lève la main, je m'était mis à courir, après m'être relever, voulant absolument éviter un coup, qui ne ferait qu'aggraver mon cas déjà désespérant...
Une fois que je les avaient suffisamment semer, je m'était mis à marcher une bonne partie de la nuit voulant trouver un bon coin, où je me saurais en sécurité et tranquille.
J'était donc arrivé ici, sans faire plus que ça attention d'où j'était arrivé.

Je n'avais donc pas le choix de re-traverser la ville afin de retrouver ma ruelle habituelle. Je suis seule et j'aime pas ça, j'ai horreur de la solitude, même si je suis presque chaque jours seul...

J'avais mal au pieds, et ces cons de gens qui me regardaient de travers ne m'aider pas.

Deux bonnes heures après, je fus enfin arrivé au coin de ma ruelle. Qu'elle n'était pas ma surpise quand j'ai vue monsieur beau gosse parfait, assis en tailleur près de mon sac poubelle, attendant le déluge comme un con...

- Qu'est ce que tu fous là toi ?!

Il sursautat ne m'ayant sûrement pas entendu ni vu arriver, puis me répondis :

- Je t'attendais. Hier soir je voulais venir te voir mais tu n'était pas là, je t'ais chercher, puis comme je ne te trouvais pas, je suis rentrer chez moi. Ce matin je suis venu ici t'attendre.

Je restais sur le cul... ce mec à vraiment rien d'autre à foutre que d'attendre un pauvre sdf comme moi à 7h du mat'... je sais pas comment je dois le prendre...

- Je suis là, tu peux te casser maintenant mec.

Mais il ne bougeait pas... pas chiant le beau gosse... je soupirais, puis dit :

- Et bien si tu tiens tant à rester ici, rend toi utile et file-moi mon sac poubelle, plutôt que de l'écraser sous ton joli p'tit cul.

Il se decala donc, tout en rougissant. J'y crois pas, beau gosse rougit pour un truc que je ne pense même pas. Quoique...
Il se decala donc, et me rendis mon sac poubelle avec lequel je m'installais correctement à côté de lui. Je pensais qu'il ne dirait rien et qu'il allé partir en vue de l'odeur et du fait qu'on se fasse clairement chier mais nan... A la place, il me tendis un sac et voyant que je le regardais comme un abruti ne comprenant absolument pas ce qu'il y avait dedans et pourquoi me le donnais-t-il, il me répondis :

- Tiens j'ai était chercher macdo pour toi, c'est pas très équilibré, mais au moins après ça tu n'as plus faim Louis.

Oh putain ! Que j'aime ce mec ! Je me souviens que j'en manger quand j'était adolescent mais avec le temps j'ai complètement perdu le goût que ce fast- food avait.

- Oh putain file !

Il me donnais le sac et me tendis avec lui une bouteille d'eau bien fraîche. Même si j'aime pas monsieur beau gosse parfait, je me rendis vite compte que je ne l'avais toujours pas remercier... d'ordinaire, je m'en battrai royalement les couilles mais pas cette fois bizarrement...

- Merchi merchi merchi Harry.

Je lui dit la bouche déjà pleine, de ce repas exquis. Et oui j'avais retenu son prénom... bon même si j'ai hésiter entre Henry et Harry, mais bon...
Il me répondit :

- De rien Louis, ça me fait plaisir.

Il me souriait, et continuais de me regardais manger, ou plutôt empiffrer.
Ça faisait tellement du bien de manger, surtout qu'il avait pas plaisanter ce con il m'avait donner un énorme sac, sûrement le plus gros menu.

- Pourquoi t'as l'air d'avoir si faim ? Qu'à tu fais du billet que je t'es donner avant-hier ?

Oups... comment dire à ce mec qu'il a claquer 50 balles, qui ont plus servis à un fils de pute qu'au concerné de base, soit moi ? Bon on va y aller méthode Tomo...

- Un connard m'as pris ma bouffe et ma tune.

Ça résumer assez bien la situation, donc c'était plutôt cool.

- Pardon ? Mais il n'as pas le droit !

- Et beau gosse on est pas au pays des bisounours ici, c'est chacun pour sa gueule et si tu te loupe tu la ferme et tu fera plus attention la prochaine fois.

Il ne me répondit rien, sûrement parce qu'il savait que j'avais raison. C'est triste mais c'est la vie ça.
Je finis vite de manger et de boire, puis je le remeciais une dernière fois.
Il restat un peu avec moi, avant de partir travailler, étant donné qu'il n'avait que sa matinée de libre. Je ne sais toujours pas quel métier il fait, je lui demanderai la prochaine fois, enfin si il revient toujours...

Une fois qu'il fut partit, je me retrouvais seul, encore... et j'avoue que monsieur parfait faisait une assez bonne compagnie. Je préparais ma vieille boîte toute trouée, puis je sortis de ma ruelle pour allez à la rue principale ou je m'assit sur le trottoir et commençait à mendier. Même si je savais pertinemment que je recolterais a peine 2€...

Je restais donc seul toute la journée et je le serai sûrement la journée prochaine. Seul.

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Cinquième chapitre ! 😄
Alors la relation Louis / Harry qui a un peu avancer ?
La solitude de Louis qui devient de plus en plus pesante pour lui ?

J'espère que ce chapitre vous a plue, il est légèrement plus long que les autres, mais ça va 😁

Bisous bisous xxx 😄