Chapitre 11

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Que c'était bon de ressentir tant d'amour. Je me sentais vivant, plus seul dans l'ombre de mon frère. Russie, toujours sur moi, ne cessait de m'embrasser dans le cou, ce qui me plaisais fortement. Il descendit ses lèvres sur ma clavicule et je mordis ma lèvre inférieur.

C'est tellement plaisant Russie...

C'est te voir embarrassé qui est plaisant Prusse !

Je t'excite ?

Ô tu n'imagines pas à quel point !

Kesesesese je suis awesome !

Et bien on va voir si tu es si "awesome" que ça Prusse...

Je m'immobilisai aussitôt et il releva la tête, sourire pervers aux lèvres. On aurait dit France quand il voyait Angleterre bourré. Je commençais de plus en plus à réaliser ce que voulait Russie et la peur me saisit. Il n'est pas réputé pour sa délicatesse ! Il enleva mes mains de lui et m'enleva ma chemise. Je regardais ailleurs pour ne pas rougir mais mes joues flambèrent quand il défit ma ceinture et posa sa main sur mon entre-jambe déjà en action.

A-Arrête...

Laisse-toi faire... Tu es déjà dur Prusse.

La ferme !

Il saisit mon organe et commença des va-et-vient. En même temps, il prit en otage mes lèvres et m'embrassa. Sa langue quémanda l'accès à sa jumelle et toutes deux dansèrent, se chevauchèrent, s'entremêlèrent. J'avais chaud, très chaud. Il accéléra son mouvement, ce qui me fis du bien.

R-Russie... J'ai chaud...arrête...

Au contraire. Prusse, tu as vraiment jamais fais cela avant ?

Jamais... Ngh !

Dans ce cas, suis la danse mon puceau de Prussien.

Ton ?!

Da. Tu es à moi, tu ne fais qu'un avec moi... Et maintenant, cesse de parler, tu m'énerves.

AiiiiE !!

Je ne sais ce qui lui est passé par la tête quand il serra brutalement mon membre. Il sourit et lécha mon cou avant de le mordre. La passion et l'ardente envie eurent raison de moi et je passais mes bras autour de son cou avant de fermer les yeux.

Prusse ?

Je... Je veux faire qu'un avec toi...

Tu... Je ne comprend plus, pourquoi tu acceptes si soudainement ?

Je pense comprendre ce qui anime mon frère...

Et qu'est-ce donc ?

Approche et tu sauras... Eh, tu fais quoi ?

S'il faut que j'approche, alors autant que je n'ai pas à me redresser avant un long moment.

Ça sous-entend quoi ?

Il ne répondit rien et, sans prévenir, me retourna. Je le regardais et vit que son sourire pervers avait disparu. Maintenant, il rougissait un peu. Je souris en coin quand il m'enleva mon pantalon, mais je stressai aussi. Je ne sais comment il le su mais il vint mordre mon oreille.

Tu stresses... Pourquoi donc ?

Pourquoi rougis-tu ?

Parce que je t'aime.

Ces quelques mots me rendirent heureux. Il posa sa main sur la mienne et rit un peu avant passer son autre main sous moi. Je fermai les yeux et le laissa disposer de moi à sa guise. En vrai, c'est un peu pervers, mais j'avais souvent imaginé ma première fois. Mais jamais ça n'allait aussi loin. Je sentis quelque chose de dur et réalisa brutalement nos actes. Mais trop tard, il vint me pénétrer.

AiiiiE !

Au début ça fait mal, mais ça passe... Alors, qu'as-tu compris ?

Ahh... Ngh, tu sais.

Je veux t'entendre le dire...

Non.

Prusse...

Quoi ? Tu vas faire q- Ouille ! Ngh !

Qu'est-ce que t'es serré...

Ça change quoi ? Ahh~...

Étrangement, c'est plus agréable... N'est-ce pas que c'est agréable ?

Si, très...

C'est vrai, j'aimais beaucoup ça. Je me sentais libéré d'un fardeau. Il s'amusa à mordiller ma peau et je ris, amusé de son côté tendre. Ses doigts passèrent entre les miens et serrèrent ma main, avant que je ne fasse de même.

Eh, Russie...

Oui Prusse ?

Tu- Ahh~... Tu m'aime vraiment ?

C'est à cause de ce qu'on dit sur moi que tu te méfies tant ?

Bein...ouai, carrément.

Alors fais-toi ta propre opinion, je t'aime sincèrement Prusse.

Je serrais les draps de plaisir et ne répondit plus à ces mots. Je prenais juste plaisir et ne pensait à rien d'autre. Mais à un moment, un de ses coups de reins fut plus fort et plus profond que les autres. Je gémis de plaisir et en redemanda d'autre, les quémandant toujours plus loin et puissant. Le plaisir qu'ils procuraient étaient si bons que je commençai à être épuisé.

Russie... Arrête...

Dit et je te fais atteindre le septième ciel.

Russie !!

Ah, j'aime quand tu cris mon nom de plaisir.

Connard...Batard d'enfoiré arrête !

Dit-le. Dit ce que tu veux.

Ahh~.... Ngh ! Ahh, c'est horrible... Horriblement bon kesesesese ! Yeh c'est trop bon !! Ahhh ! Je t'aime Russie ! Je t'adore Ivan !!

J'implosai de plaisir et de bonheur ! Le Awesome Prusse était heureux; ça allait swinguer dans ce trou pommé maintenant !! Je me fichais de tout, j'aimais ! Et j'aimais jusqu'au point de non retour quand l'extase me gagna ! Jouir, quel exquise sensation de bien-être ! Cette sensation d'exaltation continua quand Russie cessa, ce qui ne me déplut guère. J'adorai son étreinte quand il eu posé les chauds draps sur nos corps fatigués. Je sentis sa main caresser mes cheveux avant qu'il ne pose sa tête sur mon dos.

Alors ?

Quoi alors ?

Je suis bon Russie ?

Oh oui, terrible. Tu es bien Awesome, fatiguant même...

Dit, pour ta tarée de sœur...

T'occupe pas d'elle... Allez dort...

...

Je t'aime Russie...

Je t'aime ma Awesome Prusse...

Briser la glace /YaoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant