Chapitre 28

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PDV d'Ivy :

- Bonjour, tu dois être Ivy. Ravis de faire enfin ta connaissance. Je t'en pris tu peux t'installer.

- Bonjour, ravis aussi de faire votre connaissance.

Il paraît sympathique.

PDV de Dean :

     J'ai l'impression que ça fait une éternité qu'elle est rentrée dans ce bureau. Je me demande bien tout ce qu'il lui raconte ou lui demande. En plus, il y a rien à savoir, elle ne connaît rien de sa famille, elle est devenue un loup et le reste je le lui apprends au fur et à mesure.

Elle finit enfin par sortir.

- Vous en avez pris du temps ! Je lui dis. Ça  c'est bien passé ?

- Il m'a tout expliquer concernant la meute et m'a posé des questions concernant ma vie. Même si j'ai l'impression depuis quelques temps que ce n'est pas la mienne. Je ne la connais pas. Après, j'avoue avoir ressenti l'impression d'être compresser et d'étouffer. Mais sinon, ça c'est bien déroulé.

- C'est normal que tu te sois senti dans cet état. Il a dégagé toute sa puissance pour te montrer qui est l'alpha.

- Ah d'accord. Sinon, ta mère n'est pas là ? On ne va pas la voir ?

- Non, elle est morte il y a plusieurs années maintenant. Pas la peine de t'excuser.

Je vois qu'elle se sent quand même mal, mais elle ne dis rien.

- On fait quoi maintenant ? Demande-t-elle.

- Je vais te faire visiter.

     On sort et je lui explique que plus on est loin de ma maison et moins les membres de la meute sont importants dans la hiérarchie. On continue en poursuivant un petit chemin.

- Là, c'est la salle des fêtes, c'est là où nous ferons la réception. Et là que mon père t'ajoutera aux liens de la meute.

C'est une très grande salle. Ensuite, je l'emmène vers un autre grand bâtiment et lui dis que c'est là que nous nous  entraînons. 

- Ton père m'a dis que pour le moment, je n'en aurait pas besoin.

- Ah ! Sans doute parce que tu viens d'intégrer la meute et que tu n'as jamais eu d'entraînement.

Personnellement, je trouve que c'est bizarre. Il veut à tout pris la voir, lui parle seule, il veut pas qu'elle apprenne à se battre. Mais bon, on verra cela plus tard.

Nous retournons vers le village si on peut l'appeler ainsi. Plus on avance, plus on entends des vois. Je vois que c'est le groupe d'amis à Dean.

- Salut les mecs, ça va ?

- Ouais et toi ? Dis l'un d'eux.

- Ça va. Bon, vous connaissez tout Ivy. Et Ivy tu connais déjà Alec. Là, il y a John, Daniel et Dave.

- Salut ! Je leur dis.

- À ce que je vois ça c'est bien passé pour toi hier ! Me dit Alec.

- Ça aurait pu aller mieux et je pense que ça aurait pu être pire, donc oui.

PDV d'Ivy :

Nous sommes en train de parler lorsque j'entends une voiture. Tout le monde se retourne je vois que Dean a le sourire. Une fille qui doit avoir à un ou deux ans de moins que moi court dans les bras de Dean. Je me dis au dépit que peut-être c'est sa petite amie, mais je m'y résigne, il y a une petite ressemblance. Ça doit être sa sœur.

- Emelyn !

- Dean ! Tu m'as trop manqué !

- Toi aussi.

- Et nous alors, on nous calcul pas ! Dis Daniel.

- Mais non, vous aussi vous m'avez manqué !
Tu dois être Ivy ! J'ai beaucoup entendu parler de toi. Moi c'est Emelyn. La sœur de Dean.

- Salut !

Elle a l'ai très gentille et j'aime bien son enjouement.

- T'en as pas marre d'être tout le temps qu'avec des mecs ? Aller viens !

- Emelyn ! Dis Dean.

- T'inquiètes je vais rien lui faire. On va juste parler entre fille.

Puis elle m'emmène sans même attendre de réponse de Dean ou de moi même. Elle m'emmène dans, ce qui je pense, être sa chambre.

- T'habites ici ? Je lui demande.

- Si on veut. C'est chez moi, mais mon père m'a envoyé dans un internat loin d'ici. Je suis rentrée pour le week-end. Je vais en profiter pour faire en sorte qu'il me laisse revenir et terminer mon année ici.

- Ah je vois. Mais t'es dans quelle classe ?

- En première.

- Je me disais.

- Je t'aime bien ! Tu sais si tu as des questions n'hésite pas !

- Ce sera pour pour une autre fois.

Je me retourne et vois que c'est Dean qui vient de parler.

- Je te ramène, tu dois encore te reposer.

Sur ce, je lui dis au revoir et nous y allons.

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