Chapitre 21

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Quand ils furent de retour, Rosie l'avait suivi à l'étage le cœur battant, il l'avait raccompagné jusqu'à sa chambre, sur le pas de la porte, il s'arrêta en dardant un regard intense sur elle.

Elle voulait qu'il l'embrasse passionnément, mais resta un bon moment sans parler.

- Merci pour cette belle soirée Salvatore. Murmura-t-elle en se mordillant la lèvre.

Il pénétra enfin dans la chambre englobant son visage de ses mains et l'embrassa, Rosie ferma les yeux en savourant le goût de ses lèvres. Son bras entoura sa taille et son corps fut collé au siens. Elle expira par le nez en se laissant submerger par le désir qui naissait entre leurs deux corps.

Les lèvres collés, il la poussa légèrement au milieu de la chambre et la fit tournoyer comme au restaurant.

Puis s'arracha de ses lèvres.

Quand elle ouvrit les yeux il était retourné près de la porte.

- Bonne nuit Rosie.

Elle cligna des yeux pour reprendre ses esprit et le suivit alors qu'il s'en allait en direction de sa chambre.

- Comment ça bonne nuit ?

Il se retourna et put le voir déglutir.

- Je vous l'ai dit Rosalie, je ne suis pas un Play boy donc je vais me coucher, ainsi quand vous comprendrez que mes intentions son tout à fait honorables, je vous ferais l'amour.

Il plissa les yeux avec arrogance, fière de la laisser sur sa faim.

Il la laissa plantée au milieu du couloir la bouche en feu.

En colère, elle claqua la porte de la chambre et marcha en long et en large les joues en feu.

Après s'être calmée, Rosie enfila une peignoir de soie et roula sur le lit et se mit en boule.

Elle venait de se faire piéger et tout était entièrement de sa faute. S'il elle n'avait pas émis l'hypothèse qu'il était un homme multipliant les conquêtes.

Elle pesta dans son lit à la fois furieuse contre elle et contre lui. Elle se redressa et se leva du lit bien décidée à avoir sa vengeance.

Elle ouvrit sa valise et fouilla dedans à la recherche du cadeau reçu pour ses vingt-quatre ans, un cadeau audacieux, un cadeau qu'elle avait emmené sans savoir pourquoi. Mais quand elle le sortit de sa valise, Rosie se mit à sourire en le considérant d'un œil espiègle.

- Nous allons joué monsieur Cortezy.

Elle enfila la lingerie avec la plus grande délicatesse, elle joint les bas au sous-vêtements en dentelle. Quand elle fut prête, Rosie d'admira dans le miroir en sentit malgré tout son ventre se nouer. Il fallait qu'elle dépasse sa timidité, elle inspira, se dirigea hors de la chambre d'un pas décidé.

Salvatore sortit de sa douche froide qui eut enfin un effet sur lui, son désir était faiblement partit, c'est avec les dents serrés qu'il enfila son caleçon et se dirigea vers le lit, alors que les lèvres sucrés de la jeune femme étaient encore inscrite sur les siennes.

Il se frotta les yeux pour faire la disparaître de son esprit mais au même instant, alors qu'il pensait qu'elle dormait paisiblement, elle pénétra dans la chambre. Salvatore se leva d'un bond en la découvrant vêtue d'une lingerie fine, avec des bas attachés. Un body une pièce en dentelle magnifique laissant ses courbes se dévoiler entièrement. Sa peau laiteuse, ses seins fermes.

- On peut savoir ce que vous faites ! Demanda-t-il en essayant de garder ses yeux dans les siens.

Elle posa ses mains sur ses hanches.

Il dut s'armer de courage pour ne pas laisser son érection se dévoiler.

- Je fais ce que tu m'as fait tout à l'heure.

Elle tira sur sa pince et secoua ses cheveux.

- quand tu m'as laissé brûlante de désir, laissant mon corps s'embraser, pour ensuite me laisser dans cet état. Expliqua la jeune femme d'une voix terriblement sensuel.

Il baissa ses yeux sur ses cuisses. Il dut déglutir plusieurs fois pourquoi se retenir d'exploser.

- Donc ! S'écria la jeune femme avec une voix sensuel.

Elle tourna sur elle-même en lui montrant ses fesses, puis ses hanches, pour enfin planter son regard dans le siens.

- Ceci ! Reprit-elle en lui montrant son corps.

- tu n'es pas prêt de le revoir !

Salvatore s'avança d'un pas les dents serrés. Bien qu'elle soit en colère, quand elle baissa les yeux sur son corps musclé, aussi magnifique que dans ses souvenirs, Rosie rougit quand elle découvrit son érection. Feignant d'être insensible, elle se glissa petit à petit près de la porte et butta dedans en clignant des yeux.

- Bien je te laisse maintenant bonne nuit !

Son corps vibrait, elle ouvrit la porte pour revenir dans la sienne et sourtout... pour changer de tenue au plus vite. Et malgré son audace, Rosie avait fléchit devant ce corps sculptural, émanant une sensualité renversante.

Elle enfila son peignoir et s'arrêta en face du miroir, quand elle écarta les pans du peignoir en grimaça.

- Seigneur Rosie qu'est-ce que tu as fait !

Au même instant, la porte s'ouvrit et rebondit contre le mur, laissant place à l'homme la dévorant avec appétit. 

Éprise d'un MilliardaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant