Épilogue

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Bonsoir, 

Merci pour vos nombreux commentaires c'est toujours un bonheur de les lire , j'espère que l'histoire vous a plu. je suis plutôt fière d'avoir trouvé le bon rebondissement à cette histoire. Merci beaucoup merci. comme d'habitude nouvelle histoire postée. 


Rosie lisait le magasine tout en marchant dans le couloir pour rejoindre la chambre de ses filles. La stupéfaction se peignit sur son visage, mais quand elle s'arrêta sur le pas de la porte, elle laissa retomber son bras qui tenait la magasine tout en souriant. Jamais elle ne se lasserait de cette image. Son cœur se gonfla de joie et resta en retrait quelques minutes.

- C'est inutile d'esquisser le même sourire pour me piéger, je vous reconnaîtrais même dans la pénombre. Dit-il en boutonnant leur body.

- Melinda toi tu ne peux pas m'avoir tu sais pourquoi ? Tu as le même reflet de couleur dans les yeux que ceux de ta mère.

Elle fit une bulle en agitant ses jambes. Rosie rit en silence.

- Quant à toi Mélina tu as son regard. Murmura-t-il en embrassant ses petits doigts.

Rosie pénétra dans la chambre, aussitôt il sonda son regard au siens.

- Regardez qui est là....

Elle se pencha pour déposer un baiser sur le front de Melina.

- Regarde chéri tu ne vas pas en croire tes yeux.

Il pencha la tête tout en boutonnant les pressions du body.

Il secoua de la tête.

- Il a n'a aucune limite, il a réussi à trouver une femme assez stupide pour combler son compte bancaire.

Il avait une telle hargne pour son père qu'il lui était difficile de cacher ses émotions.

- Peut-être qu'il a changé tu devrais songer à....

- Rosie ? Coupa-t-il alors qui reposa la tête de sa fille délicatement.

- Oui ?

- Qui était là quand tu souffrais ? Qui était avait nous pour te tenir la main quand Melinda était en siège et que tu étais en douleur jusqu'à la fin ? Qui était là pour me donner des conseils ? Qui était là pour nous soutenir alors que nos filles étaient dans des couveuses et que nous ne pouvions pas les serrer contre nous ?

Il marqua une pause.

- Ton père ou le miens ?

Rosie baissa les yeux.

- Le miens...

Ses doigts se pressèrent contre ses joues pour lui offrir un baiser fougueux.

- C'est bien ce qu'il me semblait.

Elle ferma le magasine pour tourner la page de cette histoire et le jeta sur la chaise à bascule.

- Viens par-là mon ange !

Elle prit Melinda dans ses bras et respira son odeur.

- Elles sont tellement belles. Murmura-t-elle alors qu'il avait pris Melina pour la caler contre son épaule.

- Vous êtes ma famille maintenant, je n'ai besoin de rien d'autre que vous trois.

Elle s'avança pour se blottir contre lui. Son cœur était gonflé d'amour pour lui et pour ses deux petits être merveilleux.

- je t'aime Rosie Cortezy.

Elle ferma les yeux et entoura son bras contre sa taille pour serrer sa chemise.

- ti amo anch'io. Murmura-t-elle.

Salvatore ferma les yeux, en savourant sa voix douce , murmurer ses mots dans sa langue et la pressa contre lui.  

Éprise d'un MilliardaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant