(Sur l'air de la chanson de La Reine des glaces : Libérée, délivrée !)Les glaciers fondent doucement sans bruit
L'eau clapote au bas des tours
Les océans saignent et se vident :
C'est le grand compte à reboursLes forêts brûlent partout dans notre indifférence
Avons-nous une chance
D'arrêter ce train ?Prends ton vélo, consomme bio,
Fais attention à pas gâcher l'eau !
Ne jette rien, achète tout,
Donne-nous tes sous !Libérés des banquiers,
On pourrait s'émanciper !
Libérés des banquiers,
On s'remettrait à rêver !
Liberté, fraternité,
Solidarité
Sans eux on retrouverait un peu d'humanitéQuand on pense à ces pêcheurs
Dévastant l'océan ;
Quand on pense aux agriculteurs
Troquant la vie pour l'argent ;Je ne veux plus les laisser faire,
Ces pétroliers qui épuisent la Terre
En condamnant notre atmosphère : j'espère !Libérés des banquiers,
On pourrait s'émanciper !
Libérés des banquiers,
On s'remettrait à rêver !
Liberté, fraternité,
Solidarité
Sans eux on retrouverait un peu d'humanitéLa colère coule en nous comme un feu qui répare :
Elle brûlera toutes ces chaînes qui encore nous séparent !
Nous rouvrirons nos yeux sur de brillants espoirsNous ne cèderons pas :
Il faut les mettre au pas !Libérés des banquiers,
On pourrait s'émanciper !
Libérés des banquiers,
On s'remettrait à rêver !
Liberté, fraternité,
Solidarité
Sans eux on retrouverait un peu d'humanité
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L'actu croquée par les vers !
PoesíaLes médias noient l'info, les politiques cachent les faits : moi je les ronge comme un ver jusqu'à laisser apparaître le squelette net et précis du sens et de nos responsabilités. Du moins j'essaie. Critiques bienvenues, débats vitaux !