ch2 • mendes' house

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-PDV DANAË-

Un rayon de soleil vint se déposer sur mon visage ce qui me réveilla.
J'étais dans un lit, on a dû me transporter jusqu'ici, je ne vois que cette explication.

Mais... Où suis-je ?

Je me levais et allais en face du miroir, installé dans cette pièce inconnue, voir ce que l'on m'avait fait en dessous de mon épaule.
Je souleva mon t-shirt et vis des numéros tatoués, j'avais raison.
"202".
J'ignorais ce que cela voulais dire mais ce que je sais c'est que j'ai ça incrustée sur moi pour ma vie entière et ça me faisait extrêmement mal à l'omoplate.
J'étais dégoûtée mais ce qui me préoccupe pour l'instant c'est où je suis et pourquoi je suis là.

J'ouvrais timidement la porte pour voir s'il y avait quelqu'un et je tombais nez à nez avec un mec sortant d'une salle de bain.
Il était torse nu entrain de se sécher les cheveux avec une serviette.
Le voyant je refermais directement la porte et vins me rassoir sur mon lit morte de honte.

Garçon: Mam' la fille s'est réveillée !! cria-t-il à travers la maison.

Suite à ça une femme rentra dans la chambre avec un tas de linge propre.
Laissant la porte entre ouverte elle posa le tas sur le lit et s'assit à coté de moi.

Moi: Qu... Qui êtes vous ?

la femme: Je m'appelle Karen, ne t'inquiètes pas je ne veux pas te faire de mal.

Moi: Ne vous approchez pas de moi. Ça fait combien de temps que je suis là ?

Karen: Ça fait 3 jours que tu es ici, nous t'avons trouvé inconsciente sur un trottoir et t'avons amené chez nous.

Moi: Pourquoi vous m'avez amené ici ? Vous n'auriez pas pus me laisser là bas ?

Karen: Je sais très bien que tu n'es là que depuis quelques heures car on t'as "adopté" et je sais aussi qu'on l'a fait pour une raison précise.

Moi: Quoi ? C'est vous qui m'avez adoptés ?

Karen: Non, pas moi mais un ami et... Il va falloir que tu ailles le voir avec mon fils, c'est pour ça qu'il t'a adopté.

A ce moment là je vis le garçon en question qui regardait timidement la scène à travers la faible ouverture de la porte.
Je le regardais vite fait et redéposais mon regard sur la femme se trouvant en face de moi.

Moi: Pourquoi j'irais là bas ? continuais-je.

Karen: On t'en dira plus en temps voulut mais ce que je peux te dire c'est que... Ils ont peut être retrouvés les assassins de tes parents.

Cette dernière phrase a particulièrement retenue mon attention.
J'étais prête à tout pour les retrouvés mais... ce que je ne comprenais pas c'est que mes parents étaient morts, du genre décédé.
Je voulais découvrir ce que ces gens savaient sur mes parents.

Moi: On y va quand ? soufflais-je.

Elle: Dans 3 heures. Si tu veux on en parle pendant que tu prends ton petit déjeuner?

Moi: Oui, si vous voulez. Mais d'abord j'aimerais aller me laver.

Karen: Oui bien-sûr, si tu veux c'est la porte d'en face.

Moi: Merci mais je crois que je sais où c'est. dis-je en regardant le garçon installer à côté de la porte.

Celui-ci rougit et regarda le sol en se passant une main dans les cheveux.
Je pris le tas de vêtements et partais en direction de la salle de bain quand une personne m'attrapa le bras.

Deux-cent-deuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant