Anime Character x You

II ◆ Kozume Kenma (Haikyuu!)

NDA : Cet OS était à la base un Two-Shot, mais finalement j'ai gardé que la deuxième partie. Parce que la première me semblait pas vraiment nécessaire, elle raconte juste ce qu'il se passe avant, avec Hikari (comprendra qui lira). Je la garde bien au chaud quelque part, et je ne sais pas si je la posterais ici un jour, maybe, si vous le voulez bien. Et si ma meilleure amie qui proof read tout donne son consentement /OUT/. Ça fait un énorme bail que j'ai envie d'écrire sur Kenma, je suis sincèrement amoureuse de ce petit. Donc voilà.

Je tiens aussi à préciser que cet OS contient un Lemon, vers la fin, qui est nul et que vous n'êtes pas obligé de lire. (c'est mon premier, soyez indulgents). Oui, j'ai sexualisé Kenma. Oui. Même si c'est un chaton innocent. IL ÉTAIT CINQ HEURES DU MATIN, JE FINISSAIS MON ÉPISODE DE KUZU NO HONKAI, J'ÉTAIS INSPIRÉ ET OK J'AVOUE TOUT JE TROUVE KENMA SEXY.

Kenma était totalement effrayé. Comme pratiquement toutes les nuits depuis presque un an, il faisait un horrible cauchemar. Un cauchemar qui lui paraissait tellement réel... Toute ces atrocités qu'il rêvait, ils les avaient vécues. Mais apparement ce n'était pas assez d'une fois, et il devait revivre encore et encore les attouchements de son ancienne petite amie.

Parce que oui, Kozume Kenma, dix-sept ans, avait été abusé sexuellement, avant que quelqu'un le 'sauve' il y a de cela 348 jours (il avait compté).

Et il n'en avait parlé à personne. Il ne parlait presque plus de toute façon. Pas qu'il ai un jour été bavard mais... Il s'était considérablement replié sur lui même, et c'était compréhensible.

Se réveillant en sursaut, et trempé de sueurs froides, Kenma eu la chair de poule, essayant de son mieux de ne pas éclater en sanglots pour ne pas réveiller la jeune femme endormie à ses cotés. La jeune femme qui l'avait sauvé. Sa meilleure amie. Celle qu'il avait un jour considérée comme le soleil de sa vie, mais qui était à présent aussi la lune qui éclairait ses nuits et les étoiles qui apaisaient un temps soit peu son sommeil. Toi. Son autre moitié. Depuis tout petit, il ne s'était senti bien qu'en ta compagnie, et ça n'avait jamais changé. Et ça ne changerais sûrement pas non plus. Les yeux lourds de sommeil, mais trop effrayé pour penser à se rendormir, le jeune homme se tourna sur le coté de manière à contempler ton visage qui ne resta pas longtemps endormi. Grimaçant, anxieuse, tu clignas plusieurs fois des yeux.

« Encore un cauchemar hein ? Tout va bien, je suis là. Je suis avec toi. »

Tu souris doucement, portant une main à son visage pour écarter une mèche blonde décolorée qui lui tombait sur les yeux. Tu avais toujours adoré ses grands yeux noisettes ambrés, semblables aux iris d'un chat. Tu avais toujours tout adoré chez lui de toute façon, de la manière qu'il avait de te regarder, de te communiquer une infinité de chose rien qu'en plongeant son regard dans le tien, au son de sa voix que tu n'entendais que très rarement (et encore plus depuis quelque temps). Tu aimais sa timidité aussi, sa nonchalance, son intelligence... Si tu avais un jour pu affirmer que tu ne ressentais rien de plus pour ton meilleur ami que de la simple amitié justement, tout avait changé au cours de cette année.

Après que tu l'ai arraché des griffes de Hikari (son ex, que tu n'avais d'ailleurs jamais plus blairer... De toute façon les Hikaris, t'avais du mal à leurs faire confiance), n'osant même pas imaginer tout ce qu'il avait pu subir pour être traumatisé de la sorte, tu t'étais promis de rester à ses coté jusqu'à qu'il recouvre de cette expérience, si seulement c'était possible, et dans le procédé de lui réapprendre à s'ouvrir aux autres et ré-accorder sa confiance, tu étais juste tombée amoureuse de lui. Ou peut-être que tu l'étais depuis longtemps déjà, et que rester à ses coté en permanence t'avais ouvert les yeux. Tu aurais voulu le lui dire, mais tu avais bien trop peur que cela vous sépare. Tu le savais bien, que Kenma n'avait absolument pas besoin de ça. Il commençait à reparler, à te sourire... Tu ne voulais pas que cela cesse.