Anime Character x You

IX ♦ Kozume Kenma .partie deux. (Haikyuu!)

NDA : J'ai mis du temps à poster parce que mon téléphone était tombé en panne :(

Du coup hum... JE SAIS QUE LA CHRONOLOGIE CONCORDE PAS VRAIMENT AVEC L'ANIME - et faites genre que Reader-Chan a neuf mois d'écart avec Tsukki ok /pan/- mais je sais pas trop où j'avais la tête quand j'écrivais cet OS. Et j'ai vraiment la flemme de me relire parce que je suis malade, que j'ai été malade toute la journée, et que je suis énervée à cause de mon meilleur ami. VOILÀ.

Fondamentalement tu n'avais jamais été contre les relations à distance, surtout que dans ton cas, tu n'avais jamais vraiment rencontré Kenma et ne lui avais jamais parlé autrement que par Skype et par SMS. Vous ne vous étiez même jamais appelés, parce que tu étais vraiment trop mal à l'aise quand tu devais parler au téléphone et que lui aussi. Tu n'avais jamais entendu le son de sa voix mais te l'imaginais parfaitement. Tu t'imaginais juste parfaitement Kenma. Son sourire, la douceur de ses cheveux, la chaleur de ses mains dans le tiennes... Tu avait tellement hâte de le voir. Il te manquais, enfin, façon de parler... est-ce que l'on peut dire de quelqu'un qu'il nous manques alors qu'on ne l'a jamais vu ?

Vous aviez prévu de vous organiser pour vous rencontrer durant les vacances d'été, mais manque de chance tes parents voulaient partir en voyage en famille... résultat les cours avaient repris sans que tu n'ai pu le voir.
Cela faisait maintenant quatre mois que vous sortiez ensemble, et l'occasion de te rendre à Tokyo ne t'avais toujours pas été donnée. Tu n'aimais pas dire que tes études te submergeais, parce que tu ne fichais pas grand chose en cours, tu étais plutôt intelligente... Enfin tu avais du talent, surtout. Kei te disais souvent que si tu étudiais, comme lui, tu aurais de bien meilleures notes, mais être dans la moyenne sans rien faire te convenais.
Ce jour là, tu étais au gymnase en tant que manager de l'équipe de volley-ball et aidais Kiyoko à plier les filets après l'entraînement quand la voix du professeur référant piqua ton intérêt. Il parlait avec le capitaine de l'équipe et se plaignait de ne pas réussir à trouver d'écoles avec qui jouer des matchs d'entraînements, il avait même supplié le coach de Nekoma, l'éternel rival de celui de Karasuno, mais rien n'y avait fait...

« Nekoma ? Le lycée de Tokyo ? »
« Oui, dans le temps nos deux écoles se battaient sans arrêt, amicalement bien sûr, mais depuis que nous sommes en déclin... »
« Si vous voulez, je peux peut-être essayer de les appeler ? Je connais le capitaine de l'équipe et je ne pense pas que Tetsuroo me refuse un match. Et je lui fais confiance pour persuader son coach d'accepter aussi. »

De loin, ton frère souriait en coin.

« C'est vrai que tu as des contacts chez l'ennemi. De quel côté seras-tu ? »

Tu levais les yeux au ciel.

« Du votre, Kei, pour qui tu me prends ? »

Rien n'était moins sur pourtant, tu savais que ton coeur balancerai entre l'équipe de ton petit ami et la tienne. Quoi qu'il en soit, Takeda-sensei t'avais regardé comme si tu venais de lui annoncer la meilleure de toute les nouvelles et te demanda gentiment de faire ça, si ça ne te dérangeait pas. Tu t'étais donc empressée de sortir du gymnase, un peu angoissée à l'idée de parler à Kuroo de vive voix. Tu avais littéralement harcelé Kenma pour avoir le numéro de son meilleur ami, mais vous n'aviez parlé qu'un peu et par SMS.

« (ton prénom)-chan ? »
« Hey Kuro-kun ! Je ne te dérange pas j'espère ? »
« Non, pas vraiment. J'étais avec Kenma, mais il s'est mis sa console dès qu'on a fini l'entraînement... Je suis allé me chercher un truc à manger à la cafétéria du coup. »

À la mention de ton petit ami, tu souris assez niaisement en sentant ton cœur battre la chamade.

« Tu voudrais lui parler ? Je peux aller te le chercher si tu veux. »
« Non, surtout pas ! Enfin, je veux dire que... je suis pas douée pour parler au téléphone et... je suis pas prête. J'ai trop peur de dire quelque chose de totalement idiot sous le coup de la panique. »
« Je vois ! Je trouve que tu débrouille très bien pour quelqu'un qui panique au téléphone. Bref, tu m'appelais pour quelque chose en particulier où c'était juste pour entendre ma sublime voix ? »
« Sublime voix, c'est ce qu'on dit, oui... Je t'appelle parce que j'ai une faveur à te demander. Tu vois, je suis manager de l'équipe de volley-ball de Karasuno... »
« Oui, je sais, Kenma me l'a dit. »
« Ah oui ? Il te parle de moi des fois ? »