Anime Character x You

XII ◆ Han Jumin (MysticMessenger)

NDA : Oui, je sais, j'étais censée écrire et poster un Hinata x Reader (qui avance bien d'ailleurs) mais j'avais de la famille à la maison jusqu'à hier et honnêtement j'étais pas à l'aise d'écrire un lemon avec ma petite cousine de 13 ans qui dormait à coté (spoiler oui, ce sera un lemon)... Du coup j'ai juste profiter d'avoir mes petits moments le matin après avoir joué à MysticMessenger d'ailleurs) pour écrire et j'ai écrit cette chose sur Jumin du coup. J'adore ce mec d'ailleurs. Beaucoup trop. Mais ne vous inquiétez pas, Yoosung reste le premier in my heart (tmtc Naomie, ce petit = Un rayon de soleil).

Ce n'est pas rare que tu te réveilles la première le matin, même si tu attends Jumin tout les soirs avant de te coucher, tu te doutes que ses journées sont bien plus fatigantes que les tiennes (que tu passes souvent dans le penthouse, parce que Jumin n'aime pas trop que tu sortes pour aller autre part que dans l'immeuble).

Tu tentes de te dégager des couvertures sans le réveiller, mais c'est sans succès, il passe un bras autour de ta taille et te ramènes contre lui. Tu souris, refermes les yeux et profites de son étreinte, sachant que Jumin n'est pas aussi tactile (mais toujours aussi affectueux) en dehors du lit. Distraitement, tu caresses son bras nu de tes doigts.

« Où allais-tu ? »

Sa voix rauque et endormie te tires un petit frisson, tu aimerais qu'il soit un peu moins sexy tout le temps, ça en devenait dur à vivre pour ton petit cœur fragile.

« Nulle part, je voulais simplement aller préparer le petit-déjeuner pour mon fiancé adoré. À moins qu'il ne préfère appeler le chef ? »
« Ne dis pas de bêtises, ta cuisine est de loin la meilleure. »

Tu ris doucement, l'amour rendait bien aveugle si il préférait ta cuisine à celle d'un chef renommé, mais ça te faisait plaisir qu'il le pense.
Tu avais toujours un peu de mal à réaliser que tu sortais avec Jumin, encore plus à réaliser que tu lui avais promis le reste de ta vie tout comme lui, t'avais promis la sienne. C'était allé rapidement entre vous, trop rapidement même. Il y a quelques semaines, tu ne le connaissais même pas et voilà qu'aujourd'hui vous planifiiez votre mariage.
Honnêtement, tu ne savais pas ce qui t'avais pris de dire 'oui' aussi facilement, mais tu l'avais fait. Peut-être parce que tu n'avais jamais rien ressenti d'aussi fort que cet amour que tu ressentais pour lui.

Tu te retournes pour lui faire face et lui sourire tendrement, plongeant ton regard dans le sien en essayant de ne pas t'y perdre.

« Tu pensais que j'allais m'enfuir ? »

Il détourne le regard.

« Ce n'est pas que je ne te fais pas confiance, c'est juste que j'ai peur que tu changes d'avis. »

Tu avais appris que c'était l'une de ses angoisses les plus récurantes : que tu t'en ailles. Tu pouvais le comprendre, aux vues du nombres de belles-mères qu'il avait eu et peut-être par rapport à Rika (mais tu n'étais pas vraiment sur des sentiments qu'il avait pu lui porter).

Tu poses une main sur sa joue et la caresse doucement, te rapprochant jusqu'à venir poser tes lèvres sur les siennes dans un baiser des plus doux. Bien sûr, ton fiancé réponds au baiser alors que ses doutes se dissipent.

« Je t'aime, Jumin. Plus que je n'ai jamais aimé auparavant. Tu n'as à avoir peur de rien, parce que je ne serais pas ici si j'avais des doutes. Je n'aurais jamais accepté cette bague sans être complètement sûre de ce que je veux. »
« Et qu'est-ce que tu veux ? Dis-le. »
« Je te veux toi. Je veux passer ma vie avec toi, me réveiller tout les matins dans tes bras... Te préparer le petit déjeuner aussi. »

Tu reviens au sujet initial, un sourire en coin sur les lèvres.

« En parlant de quoi, j'aimerais savoir ce que tu voudrais pour le repas. »

Il réciproque ton sourire et caresse doucement ta hanche sous la nuisette que tu portais (et tu n'avais aucune idée de quand sa main était passée dessous).

« La seule chose qui me fait envie actuellement, c'est toi. »

Son visage s'approche du tien pour un nouveau baiser.

« Si la future Madame Han me permet... »

Tu ris de nouveau avant de parcourir les quelques millimètres qui séparaient vos lèvres. Tu lui permettais, et lui permettrait tout les matins de votre vie à deux.

Le petit déjeuner pouvait bien attendre.