{Mettez que la musique qu'à un moment précis que je dirai}
Les jours ont passées et j'ai recommencé à voir ma mère, aujourdhui, elle va me présenter une personne de chère à ses yeux, je me demande qui ça peut bien être...
Nous arrivons chez elle, nous sonnons mais personne réponds, un papier est collé près de la sonnette.'Rends toi au laboratoire le plus proche de chez toi si tu veux revoir ta pauvre et chère mère en vie !'
La lettre n'est pas signée...
Aka et moi essayons de nous téléporter jusque sur place mais impossible...
Certains lieux empêchent la téléportation.
On décide de s'y rendre le plus rapidement en courant puis en utilisant la vitesse vampirique jusque la bas.
Nous entrons en fracassant la porte, nous entendons des cris, des cris provenant d'une salle et ceux de ma mère.
On court jusqu'à la pièce et nous entrons.
La salle est immense, ma mère est attachée à une table, blessé de partout avec une homme tenant un couteau.??? : Ma chère fille, tu es enfin là ! Avec ton copain en plus ! *sourit*
Moi : Qui êtes vous ?!
Marie : Partez !
Léon : Le nouveau copain de Marie, Léon, et toi tu dois être ma nouvelle fille ? Charmente de savoir que ma fille est comme moi. *sourire de psychopathe*
Aka : Je m'occupe de lui, occupe toi de ta maman.
Sur ses mots, Aka se fait projeter contre un mur.
Je n'ai pas le choix que d'attaquer, je prends un couteau et lui plante dans le bras pour le déstabiliser mais ca ne fonctionne pas et le fait par la suite projeter dans le mur d'à côté.Léon : Des enfants qui veulent faire la loi ! *rire*
Marie : Laisse les partir Léon ! Je t'en pries !
Léon : La fête ne fait que commencer ma douce !Nous arrivons pas à bouger de ces murs.
Il se retourne vers ma mère et la prends par la mâchoire.Aka/ Moi : Lâchez là !
Léon : Écoute les, essayer de te protéger, mais ils oublient qu'un blocage de n'importe quels vampires et hop ! C'est finis pour eux. *rire de psycho*Je le voit prendre une paire de ciseaux et couper le t-shirt de ma mère jusqu'en dessous de la poitrine.
Léon : Alors là je vais ouvrir ton ventre pour pouvoir prendre ton coeur pour planter un couteau dedans, juste devant tes yeux et donner le reste de ton corps a ces jeunes enfants qui ont l'air assoiffés...
Il nous regardent, Aka n'est pas assoiffé car il prends encore de mon sang mais moi je ne tiens plus en place à cause de l'odeur et de la vitesse auquelle le sang coule.
Moi : Lâchez nous bon sang !
Aka : On va vous tuez pour le massacre que vous faites sur Marie !Voir le visage terrifié de ma mère me rappelle le souvenir d'il y a quelques années, il y avait eu une dispute pour je ne sait quelle chose mais elle avait le même visage, ce visage terrifié...
Je le suis jurer que quelconque homme refait revenir ce visage, je le tue, c'est ce que je m'apprête à faire.
Je réussi à me libérer, Aka aussi, surment qu'il a trop été déconcentré, trop occupé avec ma mère que nous.
Avec ma vitesse vampirique, je lui saute au cou et je craque sa nuque, ce qui le fait tomber endormi au sol.
Aka tant qu'à lui, libère ma mère.Aka : Vous allez bien...?
Marie : O...oui, merci...
Aka : Gwendoline, rentrons.
Moi : J'en n'ai pas fini avec lui... *sourire de psycho*{Musique} Je n'étais plus la même personne, comme ci quelqu'un m'avait possédé, pourtant, je suis toujours la même fille, la même fille qui est devenue juste psychopathe en voyant le visage de sa mère terrorisé pour la terreur et la douleur.
Aka : Gwendoline !
J'ecoute plus Aka, je prends la main de Léon et le traine jusqu'à une salle d'opération, je le porte malgré son poids, le met sur la table, plantant une dague à ses poignets et chevilles pour pas qu'il parte et plus qu'à attendre son réveil.
Quelques heures plus tard Aka et ma mère n'ont pas voulu rentrer, il a déjà soigné ma mère mais ne préfère PS entendre le massacre.
Il ouvre ses yeux, regardant partout dans la salle.
Moi, je suis assise sur une chaise, ayant déjà préparé tout le matériel de massacre pour lui sur la table en face.
Je suis devenue folle ?
Peut-être mais c'est pour les gens qui comptent pour moi que je suis comme ça.Moi : Enfin debout ?
Léon : Où suis je ?!
Moi : J'ai remarqué qu'une petite opération te ferais le plus grand bien...Il me regarde.
Je fait de même avec un grand sourire.
Je me lève et va près de lui mais celui ci me crache dessus.Léon : Lâche moi petite conne !
Je m'essuye et le regarde.
Moi : Moi qui voulait un ami...
Léon : Va te faire soigner et lâche moi !
Moi : Si Léon ne veut pas être mon ami, alors je vais commencer.Je prends une pince et me dirige vers lui.
Moi : Je vais devoir t'arracher les dents...
J'ouvre sa bouche et lui retire dents par dents, je le sens en train d'essayer d'attraper un outil tout en criant de douleur mais il ne va pas réussir, il a les dagues qui l'empêche.
Moi : Tu veux peut être savoir le programme ?
Il fait signe de tête non, mais je m'en fou de son avis, il va payer pour ce qu'il a fait à ma mère.
Moi : Je vais quand même te le dire. Tu vas payer pour ce que tu as fait à ma mère. Alors je t'ai arraché toutes tes dents, je vais maintenant arracher tes ongles puis je vais t'arracher les cheveux car ils ont besoin de soin... Il faut être beau quand on est en train de mourir. Ensuite je vais te couper la langue, j'aime pas qu'on me dérange pendant mon opération. Je vais aussi prendre tes yeux et les arracher à la porte, les portes ont des yeux pour surveiller l'extérieur. Te couper les oreilles et les mettre aux murs comme on dit ''Les murs ont des oreilles'' ! Pourquoi pas... Te démanbrer ? Couper tes doigts. Ouvrir ton ventre. Prendre tes organes et t'etouffer avec. T'arracher la tête. Et pour finir planter une dague en plein cœur ! *sourire de psycho*
Son visage est si terrifié que ça m'amuse mais je n'ai pas de temps as perdre.
Je commence le massacre, dans l'ordre croissant de ce que je lui ai annoncé.
Tout ses cris m'amusent de plus en plus et me pousse à l'extrême, les cris se font entendre dans la salle où se trouvent Aka et ma mère.
Ma mère doit sûrement être terrifié à l'idée de me voir comme ça...
Aka doit sûrement être en train de lui expliquer le pourquoi du comment pour la calmer et la soulager en disant que je fait ca que pour elle.
Les heures passent et au bout de 2h30 de travail, je fini enfin en lui plantant la dague.
La pièce ressemble plus à une salle d'opération mais a un macabre, mes vêtements, tachés de sang, mon sourire de psycho qui se décompose ayant assez jouée.
Je lâche tout objet ou membre et je quitte la pièce.
En rejoignant la pièce, ma mère a du mal à me voir comme ça mais elle n'hésite pas à me prendre dans ses bras pendant qu'Aka est heureux.
3 mois plus tard, c'est l'anniversaire d'Aka, son 265 ème anniversaire.
Ma mère n'a pas voulu vivre avec nous voulant laisser notre liberté vampirique mais elle nous a promis de ne plus être avec quiconque pour ne plus avoir la même farce.
C'est déjà la soirée, nous sommes que 3 mais nous nous amusons, à danser toute la nuit, faire des karaoké, à nous amuser, tous ensemble comme avant.Moi : Venez on fait une photo !
Aka : Ah oui !
Marie : Je suis pas photogénique...
Aka : Allez belle-maman ! Bien sur que si !Il la prit et la met à côté de nous.
Aka/Moi : 1... 2... 3 !
Cette photo simbolise la petite famille, cette petite famille dont personne ne pourra séparer, quoi qu'il arrive.
Si je n'avais pas rencontré Aka ni le réveiller, rien de tout ça se serait passé, je serai sûrement encore dans cet internat à être harcelée par tout le monde et à être malheureuse.
Mais là je suis heureuse, vraiment heureuse.
VOUS LISEZ
Rouge Sucré
VampireDéménagement, nouveau lycée, dur de s'y habituer. Mais réveiller un être surnaturel de plus de 264 ans en est une autre...