Narnia:L'âge de Crystal[En correction]

Chapitre 7:

*Pdv Peter*

Nous sommes à présent en train de suivre le castor entre les arbres ensevelis par la neige.

Je ne comprends pas encore bien ce qui vient de se passer. Nous entrons dans une armoire comme une porte ouverte et nous sommes à présent dans une immense forêt à la recherche d'une créature extraordinaire.

Je ne comprends pas tout mais j'ai pris la décision de suivre cette étrange créature parlante.

-Ne traînons pas personne n'aimerez se trouver ici à la tombée de la nuit, dit alors le castor alors que le soleil commence déjà à disparaître.

On presse le pas. Le soleil vient de virer au rouge et dans très peu de temps il laissera place à une nuit noir et glaciale par ce froid de canard.

Nous sortons d'une crevasse, suivis de mon frère et de mes deux sœurs qui se collent contre moi. Lucy est vraiment heureuse car pour elle, c'est merveilleux.

-Ah ! Madame castor à mit une casserole sur le feu ! s'exclame-t-il. Nous arrivons attend pour le thé.
-C'est magnifique ! s'exclame Lucy.

Devant nous s'étend une grande pleine enneigé qui est tout simplement sublime. Au milieu, une petite maisonnette faites bois trône au milieu.

-Oh c'est une humble demeure, répond le castor flatté. Elle n'est pas terminée, il y a encore beaucoup à faire mais j'ai été beaucoup occupé ces derniers temps, dit-il en se dandinant.

Nous marchons dans la neige qui se colle à nos pantalons et à nos chaussures.
Nous arrivons enfin devant un portail fait de bois puis derrière une maisonnette ou une fumée grise sort.

-Castor c'est toi !? demande une voix. Je pense que c'est la dame castor. Je me suis fait un sang d'encre, se plaint-t-elle, si j'apprends que tu es encore allé traîner avec blaireau je...

Elle n'a pas le temps de finir sa phrase que l'on est déjà devant elle. C'est une femme castor qui est comme son mari à l'identique.

-Oh...ce ne sont pas des blaireaux, dit-elle émue. Je n'aurai jamais cru vivre assez longtemps pour voir ce jour.

Elle s'approche alors en se dandinant vers son mari. Elle est souriante et émue de nous voir. Mais pourquoi ?
Cette question me brûle les lèvres mais je m'abstiens de poser la question.

-Regardez-moi cette fourrure, dit-elle en regardant son mari et en s'essuyant sa fourrure brune, tu aurais pu me prévenir quand même !
-Je t'aurais prévenu une semaine à l'avance que ça n'aura rien changé ! rétorque-t-il en riant ce qui nous fait bien rire.
-Venez, entrez ! Nous allons vous servir à manger et vous offrir une compagnie un peu plus agréable ! dit-elle en se dandinant tout en s'approchant de la porte de leurs maisons.

Mr. castor se met à rire tout en pointant sa femme qui vient de s'engouffrer dans leur maison. Il a l'air amusé. Suivit de mes sœurs j'entre à mon tour dans cette demeure.

C'est une petite maison très coquette qui est faite comme n'importe quelle maison que nous connaissons.

Nous sommes dans le salon à attendre plus d'explication de leurs part. Mme castor nous sert un thé à base de plante.

Elle est à présent en train de préparer un plat de leurs pays. Nous sommes attablés sur une table auprès de Mr castor, mes sœurs à mes côtés et Edmund toujours en train de bouder dans les escaliers.

-Que peut-on faire pour Mr Tumnus ? demande-je.

-Ils l'ont emmené dans la maison de la sorcière, me répond le castor. Et vous savez ce qu'on dit, les gens qui franchise ces portes n'en ressorte rarement vivant, dit-il en regardant Lucy ce qui me déplais au plus au point.