Partie 19 Je te hais...

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Je me réveille d'un long sommeil, le réveille à côté de moi affiche treize heure... Je me suis encore endormi à cinq heure et demi hier soir, et cette fois-ci il n'y avait pas que Yōko dans mes pensée, ce que m'as dit Riko m'as complètement choqué, comment peut-il être amoureux d'une fille qu'il connaît à peine... C'est stupide! Je me lève et vois soudain Light entrer dans ma chambre. Light est le chat que ma grand-mère à adopter lorsque je suis partie, elle ne ce sentait pas de revivre sans compagnie lorsque mon père et moi sommes retournés à Tokyo. C'est encore un chaton, il n'a même pas deux ans, il miaule et saute sur mon lit. Je caresse sa petite tête noire et il commence à ronronner bruyamment.

- Tu as l'air bien joyeux Light aujourd'hui. Il me regarde et miaule. Après tout pourquoi te ne le serais pas, tu as la belle vie toi... Je repose ma tête sur mon oreiller et soupire, il ce lève et se couche sur mon visage. Je rie et le soulève pour le poser par terre. Je me lève et m'habille et prend mes affaires pour faire mes devoirs.

Après une bonne heure j'entends ma grand-mère m'appeler. Je descends, Light sur mes talons, et je la vois me sourire.

- Il y à quelqu'un pour toi dans le salon. Sans vraiment le vouloir j'imagine Yōko assis devant la table basse, une tasse de thé à la main et son sourire narquois au visage.

Mais alors que je rentre dans le salon, c'est une femme que je ne connais pas qui se trouve assise en train de boire une tasse de thé. Elle a de longs et fin cheveux noir, elle semble âgé d'une vingtaine d'années tout au plus, ses yeux sont d'une couleur mi noir mi grise et elle me sourit amicalement et se lève lorsqu'elle me voit entrer.

- Rui-chan? C'est bien toi? Je hoche la tête et elle me salut gracieusement. Cette femme est vraiment belle. Je m'appelle Kumi Takumi, j'aimerais que nous discutions toi et moi. J'ai déjà entendu ce nom quelque part et je me souviens soudain de l'entretient que j'ai surpris entre Yōko et son père. J'ouvre grand les yeux en comprenant qu'il s'agit de sa sœur et je n'arrive même pas à parler, je hoche seulement la tête. Elle rit et pose sa main sur ma tête. Tu n'as pas à avoir peur de moi, je ne mords pas.

- Ou-oui... C'est juste que je ne m'attendais pas à ce que vous refassiez surface. Enfin je veux dire...

-Alors tu as compris qui j'étais... Tu es une jeune fille intelligente, ça ne m'étonne pas des agissements de mon frère alors...

- Il est arrivé quelque chose à Yōko ?! Je cris presque et un sourire rieur étire ses lèvres peinte d'un rouge à lèvre rouge.

- J'aimerais que nous sortions pour discuter toi et moi. Je hoche la tête et préviens ma grand-mère.

Nous marchons pendant de longue minutes interminables, une boule serre ma gorge en imaginant qu'il est arrivé quelque chose à Yōko, elle s'arrête soudain devant le grand lac et regarde l'étendue d'eau en inspirant une grande bouffée d'air.

- C'est si paisible ici... Elle s'assied sur l'herbe verte en tapotant à côté d'elle. Je m'exécute et demande d'une voix peu sûre.

- De quoi vouliez-vous me parler?

- Tu t'inquiète pour Yōko n'est-ce pas? Je détourne les yeux et hoche la tête. Après tout c'est le rôle dune petite amie, je ne sais pas ce que je ferais si mon mari partirait aussi loin de moi...

- Yōko n'est pas mon petit-ami! Je crie presque et mes joues se teinte en rose et je baisse la tête. Il est juste, un ami...

- Hum... je pensais qu'il y avait plus pour qu'il s'enfuie de nouveau...

- Il s'est encore enfui?! Elle soupire et hoche la tête.

- Et oui... Mais cette fois-ci je ne pense pas que l'on va le retrouver, j'ai reçu un mail de lui il y à une semaine pour me dire qu'il allait disparaître de la vie de notre idiot de père et que personne ne devait savoir où il était et il m'a dit que je devais te faire savoir qu'il allait bien.

Tu es tout ce que je voisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant