Chapitre n°31 : A New Case

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[Hotchner : Pénélope, je t'aime]


La jeune femme était toujours bouche-bée, ne savant pas quoi répondre face aux révélations de son supérieur, troublée par celles-ci.


Hotchner : Désolé, j'ai été stupide de croire que ce pourrait être réciproque, j'espère que ta nouvelle relation te rendra heureuse.

Garcia : Je n'ai personne d'autre.


Le beau brun fut surprit de la réponse de sa subordonnée.


Hotchner : D'accord.

Garcia : Aaron, je veux que tu me répondes clairement, tu penses sincèrement qu'entre nous deux ça puisse marcher ?

Hotchner : Pénélope, je crois que ça ne sert absolument à rien de vouloir se lançer dans une relation si toi-même tu n'y crois pas, et si aucun sentiment n'est présent.

Garcia : Alors tu n'y crois pas ?!

Hotchner : J'y crois Pénélope, je te laisse les cartes en mains.

Garcia : Mais moi aussi je t'aime Aaron, tu ne crois pas que ce serait une bêtise ? Je veux dire qu'on est tellement différents... Et je peine à croire que tu puisse me supporter longtemps.

Hotchner : Pénélope ? Ca fait 10 ans que je te supporte.

Garcia : Quel humour, je vois que monsieur est en forme finalement.



Le sourire d'Aaron s'effaça et un air assez sérieux le remplaça.


Hotchner : Pénélope ?

Garcia : Oui monsieur.

Hotchner : Arrete de m'appeler monsieur, ça fait très... bureau.



La jeune femme, un sourire béat sur le visage, se leva, s'avança à pas lents vers le lit, et se rapprocha du beau brun, elle lui prit la main, le beau brun prit l'initiative de la lui caresser de son pouce. Doucement, elle ferma les yeux et effleura les lèvres de son patron. Celui-ci, plus amoureux que jamais ainsi qu'en manque des fines lèvres de sa subordonnée, les captura une nouvelle fois pour un baiser langoureux. Quelques instants plus tard, à bout de souffle, ils se séparèrent et reprirent leurs incessants baisers. Aaron sentit le souffle chaud de sa bien-aimée sur son cou, suivit de baises humides, c'est ainsi que cette douce chaleur remonta jusqu'à son menton, et celui-ci fut rapidement parsemé de doux baisers une nouvelle fois. Leurs lèvres se scellèrent à nouveau, et, rapidement, Aaron demande l'accès de sa bouche à Pénélope, cette requête lui fut de suite acceptée, c'est ainsi que leurs langues s'entremêlèrent, jouèrent ensemble et terminèrent sur un long ballet incessant, et enflammé.


Les deux adultes se séparèrent à nouveau et reprirent leur souffle une énième fois.


Garcia : Désolée, je euh, je voulais pas..

Hotchner : Si je l'ai fait c'est que je le voulais.

Garcia : Vraiment ?

Hotchner : Vraiment.

Garcia : Mais...

Hotchner : Arrête de réfléchir un peu.

Esprits Criminels : The last seasonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant