Quantico, Département des Sciences et du Comportement.
Une fiction inspirée de la série Esprits Criminels.
Des enquêtes, des rencontres, de l'amour, et surtout de grands changements.
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Immédiatement, elle se précipita au chevet de son compagnon, assis par terre les mains attachées dans le dos. En s'approchant un peu plus près de celui-ci, elle put voir plusieurs filets de sang s'échapper de l'arcade ainsi que du nez du beau brun. Peter Lewis s'avança à son tour et, s'accroupi à hauteur du beau brun, un sourire maléfique sur le visage. Il lui prononça une phrase que Pénélope peina à comprendre.
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La jeune femme passa du revers de sa main sur la joue de son compagnon, lui faisant lever les yeux vers elle. Son regard se faisait toujours aussi froid, mais un fin sourire vint se dessiner sur son visage. Essaya tant bien que mal d'articuler quelque chose, il lui dit ces quelques mots.
Aaron: Qu'est-ce que tu fais là ?
La jeune femme ne su quoi lui répondre et resta là, plantée devant son compagnon, lorsque soudain Peter Lewis s'empara de Pénélope.
Peter Lewis : Mademoiselle Garcia, venez avec moi nous allons bien nous amuser.
Aaron : Laissez la tranquille, prenez moi à sa place.
Lewis : Vous croyez sans doute avoir le choix agent Hotchner ?
Aaron : Ne la touchez pas Lewis !
Lewis : Merci de votre compréhension.
Aaron : Vous n'êtes pas un violeur, vous ne lui ferez aucun de mal sexuellement parlant. Si vous avez besoin d'un cobaye, laissez moi l'être.
Lewis : Tout ceci devient intéressant.
Le psychopathe lâcha le bras de la jeune femme, et, celle-ci, se précipita vers son compagnon. Elle s'accroupi à sa hauteur, et une larme roula sur sa joue. Il gesticula en essayant tant bien que mal de se détacher mais en vain. Soudain, un craquement survint lorsque Aaron fit un geste brusque, les deux adultes se regardèrent dans le blanc des yeux.
Les deux psychopathes, quant à eux, avaient décampés dans la pièce, et, furent maintenant au salon en train de pratiquer leurs choses de grands sur le canapé.
Dans la chambre, Pénélope s'activait pour détacher son compagnon, et lui retirer, les attaches liant ses mains.
Hotchner : Pénélope, dépêche-toi s'il te plaît.
Garcia : Minute je fais ce que je peux.
Quelques instants plus tard, Aaron fut détaché et s'empressa d'embrasser sa compagne, il prit le visage de celle-ci en coupe et y déposa un baiser sur ses fines lèvres roses au goût sucré. La jeune femme, elle, regarda son petit-ami dans les yeux, et passa ses mains autour de son cou pour un tendre câlin. Ce n'est qu'après un court instant que celui-ci entendit les cliquetis de la porte, et se détacha de l'étreinte de sa compagne, il se mit devant elle, et sans qu'elle n'ait le temps de comprendre ce qui se passait, elle vit la porte s'ouvrir et les deux psychopathes ainsi que leur maléfiques sourires sur leur visages s'approchèrent des deux agents.
