Ne vous moquez XD : tout ce qui va suivre est des poèmes que j'ai écris sur mon cahier de math cette année (oui en première S !!). Cela ne veut pas forcément dire grand chose, c'est parfois lié aux livres que j'écris, en vrac, mais c'est toujours sympa. Comme je vais jeter le cahier, je les consigne ici :
Tout est subtilité
Qui élève notre âme
Quant à l'habileté
Elle est notre sésame
J'ai soif d'apprendre
Soif d'emplir mon savoir
Et je vais rendre
Ma fatigue pour croire
Rien pire que l'ennui
Rien pire que le rêve
L'attente encor me nuit
Exilée sur la grève
L'ignorance est un vice
Où l'homme se complaît
Mais la science un délice
Qui nous paraît trop laid
Un joli mois de mai
Où tu voles un baiser
Je ne dirai jamais
Que tu m'as embrasée
Un sentiment d'amer
Qui te fait sangloter
Je le retrouve en l'air
Je le sens miroiter.
Vous connaissez la vie
Ne la connaissez pas
Vivant à vos envies
De plaisir au trépas
Le temps est long et las
Courent, tant ! Les secondes
L'ennui vous prend, hélas
Un peu comme une ronde
Illusion l'illusioniste
Et je crois voir un beau sourire
L'illusioniste trismégiste
Bouleverse tout et fait rire
Des paillettes, brillent les yeux
La belle illusion festive
Rend l'avenir moins ennuyeux
L'illusion ment, reste craintive.
Où es-tu, belle amie ?
M'as-tu abandonnée ?
Mon amie, tu blêmis
Mais je t'ai pardonnée
Un homme avançait seul
Un homme était songeur
Un homme fuyait, veule
L'esprit plein de terreur
Un étrange mystère
Dessous l'ombre des bois
Forme comme un éclair
Qui met tout aux abois
Il aurait de l'allure
S'il n'avait sa faiblesse
Il savait la vie dure
Mais aimait la paresse
Elle n'aurait sû dire
Si entre amour et haine
Entre passion et ire
Elle l'aimait sans peine
Lui il a besoin d'aide
Alors je veux l'aider
Entends petit aède
Entends ton cœur aimer
Tu sais mon bel ami
Moi je voudrais aimer
Même mes ennemis
Et les âmes damnées
Piège qui se referme où on ne l'attend pas,
Pourquoi viens-tu troubler mes joies et mes succès ?
Je vis avec des rêves et rêve avec excès
Et le démon prend mes faiblesses comme appâts.
Le paradoxe
De ceux qui savent
Souffrant d'être pédant
Et pris au piège
De ceux qui savent
Il est une image
Pédante et triste et sage
Ils sont curieux, doux et braves
Curiosité
Une qualité ?
Ou un défaut ?
Même pour le beau ?
On m'a appris des choses
Que d'autres me retirent
J'ai cru bien faire des choses
Qui ne sont que satyres
VOUS LISEZ
Mes rêves les plus fous
PoesiaIl était une fois... Un pingouin et une oie. D'un mouvement adroit, J'emmêle tous les rois. Des histoires, j'en ai beaucoup dans mon esprit ; mais peu que je couche réellement sur papier. Voici un petit échantillon des folies de mon esprit, comme j'...
