Quand j'arrive sur le pont j'assiste à un étrange spectacle. Piper et Hazel sont entrain de paniquer, Annabeth est penché au-dessus de Percy qui et lui-même allongé sur l'entraîneur, Frank est entrain de respirer bruyamment - ne vous inquiétez pas il doit faire une crise de panique - et Jason et Léo arrivent avec des sandwichs à la main et ils observent le spectacle.
- Cest pas du tout bizarre comme situation, dis-je.
- Keskispasse ? demande Valdez un bout de salade coincé entre les dents. On peut plus bouffer tranquille, ou quoi ? y a blême ?
- Ah ! Léo parfait ! sexclame Frank qui na jamais était aussi ravie de voir le Mécano. Faut qu'on se tire dici. On est suivi !
- Suivi par qui ? lui demande Jason.
- J'en sais rien. Des baleines ? Des monstres marins ? Porky et Kate ?
Par mes dieux mais qu'est-ce qu'il raconte ? Comment il veut qu'on soit poursuivi par des baleines alors que notre bateau n'est même sur locéan. Au dernière nouvelle les baleines n'ont pas de jambes ou de pattes. Pauvre Frank. Il a dû prendre un coup sur la tête.
- Ça ne veut rien dire ! s'énerve Annabeth qui s'est relevée. Léo décolle dès que possible.
Valdez la salue comme si elle était sa cheffe et il se précipite derrière son tableau de commandes. Il fait apparaître sa manette de jeux et lArgo Il décolle. Annabeth se précipite à la poupe et revient quelques minutes plus tard nous informant qu'il n y a personne à notre poursuite. Mais ça na pas l'air de rassurer Percy, Frank et M'sieur Hedge. Ce n'est que quand Valdez annonce que l'on est à plus d'une heure d'Atlanta que l'entraîneur se remet sur ses pattes et que Frank respire de nouveau naturellement.
- Charleston, déclare Percy. On doit aller à Charleston.
Bien qu'il semble apaiser il a toujours un regard fou et il arpente le pont en essayant de se clamer devant nous qui comme nous sommes restés à bord n'avons aucune idée de ce qui s'est passé et je sais pas pour les autres mais moi je voudrais bien savoir ce qui s'est arrivé quand ils ont visiter Atlanta. Peut-être qu'ils ont tombés sur des Rodeurs ?
- Charleston ? répète Jason.
On entend clairement dans sa voix qu'il préférer prendre la batte de baseball de Msieur Hedge et se fracasser le crane lui-même avec plutôt que de mettre les pieds à Charleston.
- Bon c'est pas que je veux être chiante. Mais quelqu'un peut mexpliquer pourquoi on doit aller à Charleston et pourquoi vous avez tous les trois l'air davoir vu un fantome ? Qu'est qu'il y avait à Atlanta ?
Frank se tourne vers moi et je recule, son regard fait froid dans le dos. Ils ont dû visiter une maison hantée très réaliste pour revenir comme ça.
- Des pêches au sirop, des T-shirts, une boule à neige et des euh menottes chinoises, me dit-il.
Ok, il a vraiment pris un coup sur la tête.
Hazel s'approche de lui et tente de le prendre dans ses bras. Je dis bien tente car bon c'est pas facile pour Hazel, Frank fait au moins deux Hazel de haut et de large.
- Et si vous commenciez par le début ? propose Annabeth d'une voix posée.
Les deux garçons hochent la tête tandis que M'sieur Hedge ne nous partage pas son avis. Ils se lancent alors dans récit se relayant chacun leur tour aidé de temps en temps de M'sieur Hedge qui ajoute de petit commentaire vachement important pour l'histoire. Cest bien évidement de l'ironie. Enfin pour résumer ce qui s'est passé, ils ont été emmener à l'aquarium d'Atlanta - seul endroit de la ville où il a de l'eau salée - par une dame qui leur a offert des pêches au sirop, ils ont été accueilli par une certaine Kate qui est en fait la mère de tous les monstres marins, elle les a emmener dans la boutique souvenir où Frank a récupérer des T-shirts et un piège à doigt chinois. Ah et ils ont fait la connaissance de Porky qui en fait et Phorcys qui a voulu les tuer. Voilà voilà. Et j'oublie que le méchant Porky a enfermé des créatures marines dans un aquarium.
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Leia Castellan Tome 2 La Marque D'Athéna [TERMINÉ]
FanficNom : Castellan Prénom : Leia Mère : May Castellan Père : Hermès Autre : TDHA - dyslexie - cleptomane Voilà ce que mes amis savent de moi. Et aussi que je suis sarcastique à l'extrême. Enfin, peu-importe je suis de retour ! Léo a finit de const...