Eres Mía [LUTTEO]

CHAPITRE 34

PDV LUNA :

Couché sur le matelas que Nina m'a préparé, je n'arrivais pas à dormir . Après notre tacos , elle m'a proposer de venir passer la nuit ici et j'ai accepté en espérant voir mon bel italien , mais malheureusement, il était déjà au lit . Je pense beaucoup trop à lui , et au message que je lui ai envoyé, comme je l'avais prédis, il n'y a pas répondu, mais je sais qu'il l'a lu . J'aimerais tellement savoir ce qu'il en a pensé.

- Tu ne dors toujours pas , Luna ?

- Non , mais toi non plus .

- À vrai dire , je viens de me réveiller .

Un silence gênant s'installe, je ne savais plus quoi dire . Soudainement, j'entendis un bruit de verre cassé , ça venait d'en bas . Mon regard croise celui de Nina , on se lève puis on se dirige vers la porte et au moment de l'ouvrir, des cris firent leur apparition. Apeuré, je couru jusqu'où les hurlement me menait et j'atterris dans la cuisine .
Matteo se roulait sur le sol en criant, et il avait l'air d'avoir mal . Je me baisse à sa hauteur et prend sa tête entre mes mains , complètement paniqué . Je ne sais pas ce qu'il lui arrive, j'ai peur, j'essaie de le calmer mais il ne doit pas m'entendre.

- Nina !!! Qu'es....qu'il...

- Il fait une attaque de panique Luna !!!!

- Quoi ?! Mais c'est quoi ça ?! Comment on fait pour arrêter ??

- Je sais pas...heu...j'ai vu dans une série qu'il faut qu'il arrête de respirer...!

Il doit arrêter de respirer ? Mais je ne vois pas comment . J'ai du mal à le tenir en place , on dirait un malade mental. Il faut agir, vite .
Sans réfléchir, je pose fougueusement mes lèvres sur les siennes . Il se calme progressivement, et au fil du baiser , il se détend entièrement . Je souris en le sentant y répondre faiblement. Ça me fais du bien de l'embrasser à nouveau, et pourtant je ne dois pas prendre de plaisir, il faisait une crise, mais c'est plus fort que moi . Impossible de me décoller de sa bouche .

- Qu'es qu'il se passe ici ?!

C'était la voix d'Ana , qui est accompagné d'Alfonso. J'arrête le bisou et je les observe, gênée. Matteo nous fixe avec incompréhension, bon dieu , j'ai encore envie de goûter ses lèvres.

* * *

La mère de Nina s'était habillé, puis elle avait embarqué Matteo dans sa voiture pour l'emmener à l'hôpital. Après vérification, elle a confirmé qu'il avait fait une crise de panique . Mais elle veut s'assurer qu'il n'ait rien d'autre , je l'espère sincèrement. Alfonso est retourné se coucher , il en a vraiment rien à foutre de son fils . Ça me fou en rogne . J'ai essayer de convaincre Ana de nous emmener moi et Nina avec , mais elle a refuser . Nous sommes donc retourné dormir . Enfin , pour ma part , j'ai fais une nuit blanche . Trop inquiète pour mon melon , et bien trop occuper à pensé à mon...quatrième je crois , baiser avec lui . Il n'était pas en état de me repousser , et c'est pour ça qu'il ne l'a pas fait , mais je suis certaine qu'il a répondu au baiser , et j'ai envie de croire qu'il y a encore une infime chance entre nous deux . Je me demande bien qu'elle est la raison qui a provoqué sa crise , et surtout , était ce la première ? Trop de question turlupine dans ma tête , il faut que je me la vide  .
Nina me donne une tasse qui dégageait une exquise odeur de chocolat chaud .

- Je t'adore .

- Je sais que tu aime le chocolat chaud alors je t'en ai préparer un . Comment tu vas ?