Coloc Surprise *Castiel*

Chapitre 1 - L'arrivée de constance.

  Je m'appelle Constance Briac. Ma vie à débuté, il y a maintenant 19 ans. Je vie dans un petit village en plein milieu de la campagne. Ma ville natale s'appelle Benicia, je suis Californienne, d'origine Italienne. En cadeau pour mes 18 ans, mes parents mon offert un billet d'avion pour que je puisse rentrer à l'université Sweet Amoris de New York. C'est mon rêve depuis très jeune et il va enfin se réaliser !  J'ai trouvé un petit appartement à quelques pas du campus. Me voilà maintenant arriver à l'aéroport District où un taxi devait m'attendre à 14h10... Il est 14h15  mais il n'y a personnes. Une voiture de sport rouge, arrêté, me fait face lorsque la vitre avant, côté passager, se baisse laissant apparaître un jeune homme aux cheveux rouge qui me dévisage avec insistance.

Je balance mon regard autour de moi quand je m'aperçois que je suis seul dans l'aéroport. Je m'avance en direction du véhicule, ma valise traînant derrière moi, puis me penche à la vitre.

-Constance: "Excusez moi, vous attendez quelqu'un ? "

-???: "Ouais, une certaine Constance Brac..."

-Constance: "Briac ! "

-???: "Je te demande pardon? "

-Constance: "C'est Constance Briac ! Pas Brac. "

Il me regarde un instant en haussant un sourcil puis m'ouvre la portière.

-???: "J'en conclu que tu es la personne que j'attends. Monte !"

J'hésite un instant. Pourquoi devrais - je lui faire confiance ? Après tout , je ne le connais pas, qui me dit que ce n'est pas un psychopathe ?

-Constance: "Non, un taxi devrais venir dans quelques minutes, maintenant. Je vais l'attendre."

-???: "C'est moi le taxi que tu attends, alors monte."

-Constance: "Pourtant ta voiture me dis le contraire. Je reste là ! "

-???: "Vraiment ? Je suis curieux de voir comment tu te débrouille toute seule. Mais si tu insistes... Et puis, tu as de la chance, il fait un temps magnifique dehors, se serait dommage de ne pas en profiter."

Je me retourne et regarde le temps à travers la vitre. La pluie s'abat sur le village. On pourrait presque s'attendre à une tempête. Il a raison, je ne peux pas rester ici. Je ne connais pas le paysage, je risquerais de me perdre. Avec tant de bien que de mal, je me baisse pour m'asseoir dans la voiture.

-Constance: "Tu as gagné. Mais je te préviens, si tu tentes quoi que ce soit, je te le ferais regretter !"