Chapitre 14

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Mr Falahee : Ah c'est vraiment gentille de votre part je vais prendre une boîte de donuts !

C'est une grosse blague ?! Je vais le tuer votre pote le patron me donne l'argent pour. Il y avait bien trop mais il m'a dit de garder le reste. J'avais clairement la haine je lance un regard noire à votre pote la et quand à lui il se contenta d'afficher un sourire victorieux.

Bon bun go cherchée son misérable café et la boîte de donuts.  Je vais cracher dans son café il va voir...

[...]

Je reviens, personne dans les couloirs.... Je m'avance un peu je vois un bureau avec des murs en verre/transparent, il y avait plusieurs personnes autour d'une table.

Vu qu'ils étaient tout deux présent à la  réunion je voulais allez mettre ce que j'étais allez chercher au frais mais Monsieur  Falahee (le directeur ) leva subitement la tête avant de me faire signe de rentrer. Je toqua tout de même avant d'entrer.

Mr Falahee : il se leva . Voici mademoiselle Jacob, elle est chargé  de communication publicitaire.

Tout le monde me regardait de haut en bas quelques sourire s'affichait, mais je vis aussi certaines personnes me dévisager.

Je lâcha un Bonjour au quels ils avaient tous répondu plusieurs à contre coeur mdrr mais bon ça va.

Moi : Voici ce que vous m'avez demandé monsieur.

Mr Falahee : Ah merci mademoiselle.

Moi : Derien

Je me dirige vers son fils. Et lui tend son café, il le prit dans sa main s'en m'accorder un regard. Je lâche le verre  et attend son merci. Il porta sa boisson à sa bouche mais je l'en empêcha.

R. Falahee : Mais qu'est-ce que vous faites ?

Moi : Quand quelqu'un vous donne quelques choses la moindre des politesse c'est de le remercier.

Oui j'avais dit ça devant tout le monde, et alors je m'en fou j'ai raison de toute façon.

Il me regarda longuement un regard froid non excuser moi il était glacial il me fuisillais du regard, mais quand il vit que je tenais son regard il lâcha un brève "merci". Ça avait mit un froid glacial dans la pièce.

Mr Falahee racla sa gorge avant de prendre la parole.

Mr Falahee : Bon vous avez déjà du travail  mademoiselle Jacob, je laisse mon collègue Olivier Durand vous accompagner à votre bureau et vous expliquer votre mission.

Olivier Durand.... C'est un nom Français ça.... Ça serait bien si c'était français marre de parler Anglais a chaque fois mdr.

Ducoup Olivier Durand se lève sourire au lèvres et me serre la main. Après ça nous nous dirigeons vers mon fameu bureau qui était juste en face du bureau de Ryan Falahee qu'elle chance j'ai.....

Je soupira. Et Olivier me regarda avec interrogations.

Moi : je n'aime pas vraiment le président adjoint. Tu parles français ?

Olivier : Oui ! Ah ! Ça m'étonne mdrr d'habitude les nouvelles arrivantes sont fan de lui ! C'est un charmeur pourtant....

Moi : Ah bun pas avec moi mdrr loin de la justement....

Olivier se contenta de hausser les épaules, il me montra quelques petites choses pour le boulot, il me proposa de manger avec moi mais je déclina l'offre puisque je devais voir Keith. 

Midi et demi arriva et j'avais déjà bien entamé mon travail. Je devais réalisé des panneaux publicitaires et des dépliant pour la première d'un film.....

Je sortit de mon bureau et qui sortait en même temps que moi Ryan Falahee....
Qui d'autres ??

Je voulais tout simplement pas lui parler du coup je m'empressa de marchée jusqu'à l'ascenseur.

R.Falahee : Tamara ?!

Je me retourna choquée ! Le gars m'appelle Tamara en mode je suis sa shab non mais gros lol.

Dans la peau de Ryan Falahee

Tamara Jacob : Ne m'appellez pas par mon prénom !  Nous ne sommes pas amis !

Dit elle en agitant son doigt devant moi.

J'attrape son poignet afin de complètement l'immobiliser.

R.Falahee : Je ne suis pas votre enfant,  c'est la première et la dernière fois que vous me manquez de respect que ce soit devant mes collègues, ou lorsque nous sommes seule, je ne vous permet de me dire ce que je doit faire encore ce que je doit dire.

Dans la peau de TAMARA

Il disait ça avec un ton glacial, il me regardait droit dans les yeux qui était devenu sombre, il tenait mon poignet,j'avais comme l'impression que ma peau me brûlait, je déteste qu'on me touche surtout lorsque je n'apprécie pas cette personne.

Je me détacha de son emprise.

Moi: C'est la première et le dernière fois que vous vous permettez de me toucher. 

Sur ses mots je tourna les talons et pris mon ascenseur.....

 

Tamara Où les histoires vivent. Découvrez maintenant