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217. Stiles Stilinski

Thème : Amour

Bon, je vais essayer de finir mon avant dernier livre, mais je dois aussi beaucoup travailler sur mon code. J'ai commencé hier et j'ai eu 18/40 😂 Donc je serais moins présente que prévue. J'en suis navrée !
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Je récupérais mon élastique sur le bord de l'évier. Je mettais le chouchou sur mon poignée, pensant qu'il faisait trop froid pour attacher mes cheveux bruns.

Je soufflais, posant mes mains sur l'évier, j'observais les gouttes d'eaux qui continuer à tomber malgré le robinet fermé. Les gouttes s'échappaient rapidement à travers le siphon pour regagner leur liberté, sauf si le manque d'eau dans leur goutte les laissait s'abandonner dans le long tuyau noir.

Je relevais la tête, marquant la chaleur du lieu par la douche chaude que je venais de prendre. Des particules d'eaux vaporeuses voyageaient devant moi. Et malgré cela, j'avais toujours froid.

La buée du miroir me laissait juste voir ma silhouette ma silhouette flouttée. Je pouvais déjà voir que mon teint était plus pâle qu'habituellement. Je prenais un torchon pour les mains. Je le plaçais sur le miroir et frottais une grande partie de la buée.

Je reposais le tissu lentement alors que je me regardais. Je m'évaluais. Je m'inspectais. Mon état se dégradait. Mon teint, qui paraissait pâle avant, l'était bien plus. Mes yeux, qui semblaient encore un peu rouge dû à mes pleurs la veille, continuait à se creuser des cernes presque violettes. Mes joues, qui semblaient rougies par la douche, se creusés un peu plus chaque jour.

Seul chose que je continuais à entreprendre était mes cheveux, qui était soyeux contrairement à toute mon apparence. Je baissais le col de mon pul, tirant sur mes muscles. Je grimaçais mais baissais la suite de mon pull.

Un cercle bleu s'était formé depuis la rougeur d'hier. Je touchais, grimaçant. La douleur se propageait dans mon bras droit, que je secouais pour éliminer les fourmillements.

À chaque instant où je frolais ce bleu, le visage de mon agresseur me hantait. Son teint pâle, ses yeux marrons que j'avais tant aimé et regardé, ses cheveux relevaient où je plongeais mes mains, ses lèvres sur les miennes, son souffle sur ma nuque.

J'avais enclenché mon déclin en même temps que celui de Stiles. Et malheureusement je n'avais plus la force de me battre comme au premier jour. Mais je me batterais toujours pour lui.

Et aujourd'hui, je me retrouvais battue. Battue par cette moisissure de Nogitsune. Après ma blessure au spot de Derek hier, on m'avait ordonné de m'écarter de lui. Certe, j'étais une humaine, Stiles l'était aussi. Mais ce qui nous rendait faible était de nous retrouver face à notre ami, meilleur ami, premier amour.

Je soufflais, réajustant les manches de mon pull jusqu'au début de mes falanges blessées par un cadre photo. Je marchais pour sortir de ma chambre, ne lançant aucun regard à la photo brisée de Stiles me serrant contre lui, me reposant sur son torse.

Je descendais les escaliers, sortant directement de chez moi. Je marchais jusqu'au lycée, ne voulant pas embêter mes amis qui louper les cours pour sauver Stiles.

Sans le voir, cette simple pensée me laissait arriver tranquillement au lycée, en retard comme habituellement depuis deux semaines. Et cela faisait un mois que Void Stiles était en ville, si on ne comptait pas le moment où il était interné pour deux jours à l'hopital.