193. Jack Gilinski

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Thème : Mignon

Je ne pense pas avoir déjà fait G... Au passage, votre petit coup de cœur, c'est plus Jack J ou G ?
*********

Je me réveillais, lourdement affaibli par la veille. Je gigotais un peu, sentant des bras autour de ma taille se resserrer.

Je relevais un peu la tête, découvrant mon petit copain. Son air paisible et endormi me faisait roujours autant craquer. Sa poitrine se baissait lentement, puis remontait lentement.

Je soupirais, reposant ma tête sur sa poitrine. J'entendais son cœur battre sous ma joue. Je souriais, pensant que ce dernier pour moi.

J'embrassais son torse, sentant son cœur battre un peu plus fort. Je le regardais, il dormait toujours.

Je soupirais alors, me plaçant un peu plus près de lui. Je touchais ses cheveux bruns, aimant leur douceur même après une nuit. Je descendais ma main vers joue, la caressant au passage. Sa peau paraissait chaude et douce.

Je souriais, le voyant bouger un peu. Je plaçais un baiser sur sa mâchoire, descendant sur son cou, et descendant à nouveau sur sa poitrine.

Je relevais le regard alors que deux petites perles marrons me fixait.

- Bon matin amour, disais-je en souriant.

- Bon matin princesse, me répondait-il en me retournant le sourire. J'aimais bien tes papouilles, je veux être réveillé comme cela tout les matins, disait-il de sa voix roque.

- Bien, quand le roi aura fini ses caprices, je pourrais peut-être aller me nourir, rigolais-je.

J'empoignais le drap, m'apprétant à sortir. Mais le poid de Jack m'empéchait de bouger. Puis il posait sa tête sur mon ventre.

Je souriais, lui caressant les cheveux lentement. J'aimais cette position. Les matins où nous nous calinons étaient souvent les meilleurs.

Je jouais principalement avec une de ses mèches, la trouvant grande pour enlacer mon doigt autour.

- Ta maman est trop belle, disait-il en se tournant vers mon ventre.

Je souriais.

- Et c'est monsieur Jack Gilinski qui dit cela, rigolais-je.

Il relevait la tête, me regardant d'un air intense. Il me fixait incroyablement ce matin. Je fronçais les sourcils, penchant la tête vers la gauche.

- Un jour, on va se marier. Ouais, on va se marier et encore avoir un enfant, un garçon, pour qu'il protège sa sœur même si elle est plus grande. Et notre mariage sera comme les grands château... Ou non ! Tout simple sur la plage, car tu adores la simplicité. Et on aura une grande maison malgré tout, avec deux chiens -

- Un husky et un golden retriever, le coupais-je.

- Un husky et un golden retriever. Et on les sortira en famille. Claire pourra essayer d'en tenir un mais il la poussera plus qu'autre chose.

- Claire ? Demandais-je en souriant, continuant à toucher ses cheveux.

- Quoi, tu n'aimes pas Claire ?

- J'aime beaucoup. Ça me surprend que tu es déjà pensé à cela. Ça ne fait que deux mois.

- Deux mois de pur bonheur, disait-il en se relevant.

À peine il eut touché mes lèvres que mon cœur s'emballait. Je soupirais avant de lier nos lèvres. Nos langues dansaient lentement mais amoureusement. Je souriais alors que les mains de Gilinski se posaient sur mes hanches.

Je me décalais de lui. Mon ventre gargouillait. Je rigolais alors que Gilinski sortait du lit, l'air sérieux.

- Ok ! J'ai besoin de trois tranches de bacon pour une personne et demi, criait-il en sortant de la chambre.

Je rigolais en sortant du lit, je suivais de près Gilinski alors que mon ventre commençait lentement à sortir de mon t-shirt fin et moulant.

- À vos ordres chef ! Criait Johnson en nous voyant arriver dans la cuisine.

- Vous êtes bêtes, répondais-je en embrassant Johnson sur sa joue droite.

J'ouvrais le frigo alors que Gilinski se plaçait derrière moi, m'embrassant le cou. Je me mordais la lèvre, attrapant trois œufs frais, et du lait.

Je me déplaçais à côtés de Johnson, toujours Gilinski contre mon dos.

- Mais c'est que la petite princesse commence à sortir, disait Johnson en pointant mon ventre, souriant.

- Si tu disais au papa d'arrêter de me coller, on verrait peut-être quelque chose, rigolais-je en taquinant mon adorable copain.

- Non ! Disait ce dernier.

- Desolé Laura. Avec ton copain, on s'est promis que je ne dirais rien sur votre relation. Et puis, je ne veux rien risquer avec une femme enceinte, disai-il en se protégeant.

Je levais les yeux aux ciel, en souriant.

Les baisers de Gilinski me faisait des frissons, il me mordillait le cou, puis m'embrassait la joue.

- Tu te débarasseras pas de moi aussi vite, disait-il en chuchotant à mon oreille.

Je me mordais la lèvre, offrant mon cou, alors que Johnson sortait pour déjeuner dehors.

- Alors laisse-moi déjeuner calmement, et on en reparlera dans la chambre plus tard, souriais-je.

Gilinski sortait de la maison, rejoignant Johnson. Il saluait son meilleur ami, s'asseyant à côté de lui.

Je souriais, me demandant ce que je ferais sans eux. Je soupirais, prenant mon assiette et en rejoignant ma famille à table, profitant de notre belle journée.

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