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Partie 58

Dans la peau d'Aya:

Je continuais à regarder ces goutes couler, les larmes aux yeux.

Je voyais Djibril parler au téléphone, sûrement pour appeler les urgences.

J'ai pris sur moi et je suis rentrée dans la salle de bain pour me nettoyer avant qu'ils arrivent..

Je crois que c'était la journée la plus horrible de ma vie, après le jours de décès de ma mère.

Quand j'ai quitté la salle de bain, Djibril m'avait déjà aidé avec la chambre.

Il m'a directement prit dans ses bras.

J'avais encore un peu d'espoir..

J'essayais de me rassurer intérieurement.

Je me suis donc couché sur le lit le temps qu'ils arrivent. Je ressentais encore des douleurs au ventre.

Je voulais juste dormir et ne plus y penser ou me dire que tout ça n'était qu'un cauchemar..

Djibril, ça se voyait qu'il n'était pas bien non plus.

J'appréhendais vraiment ce qu'ils allaient nous annoncer 😫

Djibril: j'arrive, ils sont là...

En effet c'était eux. Ils m'ont posé énormément de questions pour savoir ce que je ressentais et comment je me sentais.

Ils m'ont mis en fauteuil roulant avant de me transporter en urgence.

J'ai été directement prise en charge par les infirmiers. Ils m'ont prélevé du sang et m'ont passé encore une fois une échographie, pour voir s'il y avait toujours un enfant ou si c'était mort d'avance 😥

Je tenais fort fort fort la main de Djibril.

C'était interminable on aurait dit..

Dame: je vais chercher un document, excusez moi je l'ai oublié !

Elle s'est levé et à quitte la pièce limite en courant alors que j'étais là à stresser comme une ouf.

Fin je veux un enfant et tout mais moi, c'est plus pour Djibril. Il le montre pas mais je sais qu'il était vraiment content d'apprendre qu'on allait enfin avoir un enfant.

Djibril: peu importe le résultat, au moins on sait qu'il y a des possibilités que tu puisse en avoir un jours et tu sais on peut même adopter !

Je sais qu'il essayait de me rassurer mais au fond je sais aussi qu'il essayait de se rassurer lui même.

- je veux pas le perdre Djibril...

Il à passé sa main sur mon visage pour essuyer mes larmes.

Djibril: ne t'inquiète pas...

chronique d'Aya: mon mariage forcé!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant